Mad Max

Goûts : Max est arrogant. Il aime prétendre tout savoir mieux que tout le monde, et provoquer ceux à qui il doit d'ordinaire le respect. Il méprise tout et tout le monde, rien ne compte hormis sa petite personne. Sa considération ne va qu'à son avantage, le reste n'importe pas ou peu. Il est persuadé d'être plus important et plus méritant que n'importe qui d'autre. Grande gueule, Max n'hésite pas à dire ce qu'il pense en face de la personne concernée. Il aime donner son avis, et a même tendance à essayer de parler plus fort que les autres pour être sûr que ses paroles sont prises en considération, puisque de toute façon ce qu'il dit est tellement plus intéressant que ce que racontent les autres ! Condescendant, il parvient toujours à faire sentir à ses interlocuteurs qu'il les méprise, tout en leur montrant qu'il est en train de leur accorder une énorme faveur et donc, qu'ils lui seront à jamais redevables.

Caractère : Max est un fêtard. Le genre qui sort tard le soir et ne rentre que tôt le matin. Le genre qui traîne dans les rues, clope au  bec, et qui aime chercher la merde un peu partout, sans pour autant se mettre en danger. D'ailleurs, le gamin est un p'tit con qui en a, et s'il est assez impassible au premier abord, il n'en n'est pas moins extrêmement violent si on le pousse à bout. Il pourrait briser la nuque de son propre frère si ce dernier se mettait en travers de son chemin. Capricieux, ne vous avisez pas de refuser l'une de ses requêtes, parce que Max est rancunier et c'est peu de le dire. Le gosse est prétentieux, il se croit au-dessus de tout et de tout le monde. Et gare à ceux qui tenteraient de le remettre à sa place. Il pourrait tout autant laisser passer, s'il méprise trop la personne pour considérer son avis ; que passer d'un état d’accalmie à celui de brute épaisse, prêt à tout casser sur son passage. Max ne fait pas dans la finesse. S'il en veut  à quelqu'un, il lui casse la gueule en direct, il ne va pas chercher les petites vengeances en  traître, par derrière. Il est égoïste, ne voit que son propre intérêt et ne réfléchit qu'en fonction de ça. Rien d'autre ne l'intéresse et il se complaît dans cette réputation d'enfoiré qui lui colle à la peau et le précède même, parfois. Il peut également lui arriver de mentir, pour le simple plaisir de voir les gens douter et se demander sans cesse s'il dit la vérité ou non. Il aime qu'on le regarde et qu'on pense à lui, que ce soit en bien ou en mal.

En un mot ? Connard.

Hormis toutes ces "qualités" Max est un jeune homme à peu près banal. Il aime le sport, le sexe et les soirées. Il cache au fond de chez lui une guitare et un piano, dont il ne joue plus mais desquels il ne se séparerait pour rien au monde. Il ne les montrera à personne non plus, mais serait bien incapable de ne pas aller leur rendre visite quotidiennement, sans pour autant porter un moindre contact sur leur bois. Max est un enfoiré qui s'assume, mais il a bien une face cachée que personne ne connaît. Comme tout le monde, en fait. On joue tous un rôle, que l'on a plus ou moins choisi pour s'arranger une vie à notre goût, ou pas.


Physique : Il s'extirpe difficilement de sous les couvertures, regarde son réveil qui affiche neuf heures du matin. Il grogne, rejette la tête dans les oreillers et balance l'objet par terre en soupirant bruyamment. Il se lève finalement, quelques minutes plus tard, et traîne les pieds jusqu'au grand miroir mural. Il fixe longtemps son propre reflet, le regard vide. Un corps tout en longueur, taillé dans la finesse des muscles de la plante de ses pieds jusqu'au sommet de son crâne, un mètre soixante-dix-huit plus haut. Il baille à s'en décrocher la mâchoire, dévoilant ses dents blanches et alignées sans même penser à mettre sa main devant sa bouche. Ses lèvres fines tirent la grimace, son regard plissé ne tarde pas à afficher cette lueur vicieuse qu'il arbore habituellement. Il met machinalement son couteau dans sa poche, objet précieux dont il ne se sépare jamais. Ses longs doigts fins lui ont valus pas mal de flatteries en tant que pianiste, par le passé, mais ce temps est révolu et ils ne lui servent plus qu'à ... enfin bref. Le jeune homme de vingt ans s'étire de tout son long, se masse les  épaules une par une et se craque vulgairement la nuque. Il grimace en réalisant que l'haleine du matin n'épargne pas sa Majesté Max. Ses yeux azurs s'éveillent doucement et, sous un timide rayon de soleil qui ose pénétrer entre les rideaux, Max peut apercevoir ses pupilles félines qu'il offre parfois à leurs spectateurs. Le jeune homme finit par s'éloigner, pour enfiler un jogging sans aucune originalité et un débardeur blanc. Il descend, enfile ses baskets flambant neuves et quitte sa chambre pour son habituel footing.




Histoire : Parait que les surdoués sont souvent remarqués par leur sublime échec scolaire. Mais il paraît également, que si trente pour cent d'entre eux sont en échec scolaire, il existe encore soixante-dix pour cent à étudier et découvrir. Trente  autres pour cent sont capables de prouesses, sautent des classes ou rejoignent dès leur plus jeune âge des établissements spécialisés où ils s'épanouissent mieux que n'importe où ailleurs. Et il y a encore un trente pour cent. Ceux qui sont considérés comme des élèves standards, qui parviennent à canaliser leurs notes dans la moyenne parce qu’inconsciemment, ils ne peuvent pas supporter d'être différents des autres. Les dix autres pour cent ? Aucune idée. Nous appellerons ici, les premiers trente pour cent : catégorie A. Les seconds trente pour cent : catégorie B. Et les derniers trente pour cent : catégorie C. Nous avons donc les A, découverts grâce à leur hyper-activité et leurs incessantes mauvaises notes en classe. Viennent les B, surdoués parfaitement à l'aise, découverts souvent tôt et soutenus par tout leur entourage. Puis les C. Ces surdoués que l'on ne connaît pas, qui passent inaperçus. Ces élèves-types qui sont parfaitement invisibles de tous, que personne ne remarque. Un gamin de trois ans introverti, qui déteste l'école et qui s'avère être capricieux et colérique, n'a rien d'anormal dans une école maternelle d'Oakland. C'est un cas, mais par la force on parvient, en apparence, à le canaliser. Il fait le drapeau devant la grille de l'école ? Tirez plus fort, il finira bien par s'en décrocher. Il urine sur sa chaise en fixant la maîtresse dans les yeux ? Punissez-le, il finira par comprendre qu'il ne fait pas la loi. Il refuse toute autorité et se confronte à quiconque ose lui imposer sa loi ? Continuez, vous serez certainement le plus têtu. Il insulte ses camarades de "têtes de babouins" ? Vous finirez bien par le faire taire à force de l'isoler davantage.

Éreintant, n'est-ce pas ? Et pourtant, vous autres, adultes qui l'entourez, vous continuez. Trop bornés pour accepter de voir au-delà ses crises de nerfs, trop fermés pour imaginer une autre cause qu'une éducation ratée par des parents incompétents -une mère surchargée et un père absent, toujours saoul sans que cela n'inquiète personne pour le petit-, vous vous plaisez au fil des années à torturer ce gosse qui vous en fait voir de toutes les couleurs et qui refuse de se soumettre depuis sa plus tendre enfance. Rares sont ceux d'entre vous qui parviennent à lui faire écouter quoi que ce soit, et ce n'est pas en l'enfermant dans le bureau de la directrice de l'école de Portland chaque midi qu'il mangera davantage ses légumes. Tous les soirs il rentre chez lui en n'ayant pas touché à son assiette, et vous perdez une manche. Mais dès le lendemain vous recommencez, et tant pis s'il doit passer son année entière sur cette foutue chaise avec une assiette de tomates devant les yeux ! Le temps passe, le môme devient amer mais, à force de détermination de votre part, ses colères diminuent. Il se mure dans le silence, croise les bras et boude jusqu'à la fin de la journée. Il ne parle plus à personne, ne fait plus le malin et ne joue plus au plus borné avec vous. Il accepte les punitions sans broncher, se contentant d'un regard sombre et d'une mine fâchée. Mais soit ! Au moins il n'embête plus le monde, autour, et pendant que lui attend la fin de la journée assit sur sa chaise, le reste du monde peut continuer sa vie en paix. En classe, il maintient ses résultats dans la moyenne. Il reste dans son coin, renfermé, ne va pas vers les autres. Il s'intéresse parfois aux enfants plus âgés, mais il sait que personne ne l'apprécie alors il ne s'en approche pas. Il n'agresse plus personne, se fait même persécuter dans l'ignorance de tous, puisque désormais, plus personne ne le voit. Chez lui, le gosse est une calamité mais peu importe, c'est le problème des parents. Et il peut demander autant de fois pourquoi les autres enfants changent de tête, ça ne sortira pas sa mère de ses problèmes. Elle se contentera de lui dire de faire taire son aura comme elle, et finira par la sceller maladroitement de sorte qu'il ne voit plus les singes. Même si n'ayant pas les compétences, celui-ci les verra tout de même par moment, pensant à des hallucinations temporaires dues à la fatigue lorsqu'il abuse des sports de combat qu'il pratique avec frénésie, comme une drogue.

Les années passent, l'enfant est persuadé que le problème vient de lui. Renfermé, persécuté durant toute la scolarité primaire, il devient silencieux et terne. Il se met à haïr les cours. Au collège de Salt Lake City, il ne va plus en classe. Il devient froussard, il a peur de tout mais le cache à la perfection, trop fier pour demander de l'aide et puis, il n'attend plus l'aide des adultes depuis de nombreuses années. A toutes ses angoisses s’ajoutent un être scellé qui hurle et remue dans ses entrailles, un sentiment d’étrangeté plus grand encore que sa personnalité hors du commun. Il haie ses hallucinations d'enfance qui le persécutent et qu'il n'est pas capables de contrôler malgré toutes ses tentatives. Il déteste marcher dans la rue. Il cache ses poings dans ses manches, baisse les yeux, prie pour que les plus âgés ne le prennent pas pour cible, parce qu'il est persuadé d'être un faiblard, une victime. Il ne se rend pas compte qu’en réalité, ce que les autres regardent, c’est une toute autre chose que sa peur ou sa démarche. Il ne réalise alors pas l’aura qui danse autour de lui, incapable de se souvenir de son existence, mais désormais trop importante pour être contrôlée même volontairement. Il rêve d'avoir un chien, parce que les chiens sont fidèles et ne se moquent pas de la différence. Lui, il se sent différent et il ne comprend pas pourquoi. Il pense qu'il a un problème dans la tête. Il cherche sur le net. Cancer, tumeurs cérébrales, schizophrénie, troubles du comportement,  borderline ... Il cherche et finalement, s'arrête sur sa dernière recherche. A dix-huit ans, il se proclame Borderline. Tout correspond. Il est renfermé, a peur de l'abandon, déclenche la perte des rares amis qu'il parvient à se faire, fait tout son possible pour souffrir en faisant souffrir son entourage... C'est lui. Il est persuadé d'avoir trouvé ce qui le ronge, et le fait est, que cette maladie mentale est souvent déclenchée par une enfance difficile. Lui, entre sa mère battue et son père alcoolique et violent, il pense avoir eu une enfance difficile. Alors, le trouble de la personnalité limite, c'est un peu une délivrance, pour lui. Une réponse, enfin ! Il apprend qu'il va pouvoir guérir, en consultant un médecin spécialiste. Un psychologue. Mais voilà, le gosse réfléchit trop. Après quelques jours, il se demande ce qu'il sera, lorsqu'il sera guéri ? Dix-huit ans qu'il vit en étant borderline. Dix-huit ans qu'il est malade mentalement, et maintenant il découvre un remède ? Il n'a pas le courage d'essayer. Peur de changer, de devenir un autre. Peur de perdre le peu de choses qu'il aime chez lui. La musique, les animaux. Peur de naître si tard. Il reste ainsi.

Et puis, sa mère craque. Ses crises de colère, ses changements brusques d'attitude que lui-même n’explique pas malgré cette sensation à l’intérieur d’être si différent de tous, si étrange –il ne comprend pas ce qu’il est, ne connait pas d’autres thérianthropes et a l’impression de se noyer dans sa différence, ses comportements irrationnels et son incapacité à assumer ses propres responsabilités alors qu’il a pourtant l’âge de le faire. Mais il est persuadé de ne pas être responsable. C’est là, au fond de lui, et ça l’empêche de vivre ... Par toutes ces choses, toutes ces difficultés incompréhensibles, sa mère est dépassée. Elle l'envoie voir un spécialiste alors qu'ils viennent de déménager une énième fois pour tenter de fuir son paternel. Pas le bon spécialiste, puisque ce dernier est persuadé que le gamin a une vie parfaite. Chaque fin de séance est identique : "Mais c'est génial, tout ça ! Que des bonnes choses !" Oui, mais alors pourquoi le gosse se sent-il si seul ? Pourquoi ne parvient-il pas à s'intégrer au monde ? Pourquoi n'est-il pas comme les autres, un simple singe, même si il ne comprend pas le thérianthrope qui gronde en lui ? Pourquoi est-il si mal dans sa tête ? Pourquoi sa propre mort l'obsède-t-il à ce point ? Et pourquoi n'a-t-il le droit d'en parler à personne, pas même à ce spécialiste stupide qui n'est pas plus imposant que lui, pauvre singe qu'il est ? Il entre en internat, où il restera pendant trois ans. L'école est loin de la maison, il n'est plus suivi. Il fait la connaissance d'un garçon qui, rapidement, gagne sa confiance. Il ne sait ni comment ni pourquoi, mais ce garçon est ancré dans son cœur, à jamais. Durant ces trois années, les semaines de cours sont les plus belles de sa vie. Loin de son tyran de beau-père, loin de sa sourde de mère, loin de ses demi-frères et sœurs insupportables et mal élevés qu'il ne supporte plus. Mais chaque week-end il est obligé de rentrer, et durant la première année, il tente une première fois de se suicider. Il avale des cachets, rien ne se passe. Quantité trop insignifiante, il suppose. Ou peut-être l'animal en lui est trop vivace pour se laisser détruire si facilement ...

Deux ans plus tard, il obtient son diplôme. Grosse remontée de moral avant le retour à la maison, dans le stress et l'inconfort de la famille -un beau-père qu'il ne supporte pas, des frères et sœurs qu'il n'a jamais demandé et qu'il ne parvient pas à tolérer. Il n'a jamais ouvert un cahier. Il n'a jamais révisé un seul cours et pourtant, il obtient tous les diplômes qu'il passe. Pas haut la main, pas non plus à la limite. Il est moyen. Un élève qui passe inaperçu et qu'on pense bosseur pour le minimum. Mais non, il ne travaille pas. Il est feignant, les cours l'ennuient et il va aux devoirs avec ses propres connaissances. Il passe son temps libre à lire et à écrire. A jouer et à s'occuper de ses animaux. Il prépare ses oraux la veille au soir, tout au plus. Il collectionne les pandas en peluche et dépense tout son argent dans de nouveaux romans. Et puis, un jour, il rechute. Six mois passés chez lui, dans sa famille, sans aucune coupure. Pas de travail, pas d'occupation. Juste l'angoisse de cette famille morbide et la solitude qui le rend dingue. C'est trop. Sa mort le prend aux tripes, il ne voit qu'elle comme solution. Plus rien ne le retient. Pas ce garçon qui l'a aidé pendant trois ans, pas son chien qu'il a attendu quinze ans parce que sa mère n'en voulait pas. Pas son chat, ses lapins ou ses rats. Rien. Pas même cet homme, rencontré sur le net, qui l'a pourtant rendu dingue. Un homme qu’il a mis peu de temps à aimer, qu’il a mis peu de temps à prendre en confiance. Il s’est confié à lui, lui a raconté toutes les souffrances de son quotidien. Et puis, le verdict est tombé : thérianthropie, tout comme le Berger Blanc Suisse de gabarit moyen qu’était Lucas depuis toujours. Max s'est jeté à corps perdu dans cette relation à distance parce qu'il se sentait enfin compris et entendu. Et toutes ses fuites d'aura, il a appris à les contrôler, découvrant aux côtés de cet aîné toute la rudesse de leur particularité, et il s’est enfin senti mieux. Mais même s’il a appris durant un an à contrôler son aura, il n’en demeurait pas moins toujours insatisfait, avec ce manque de quelque chose qu’il ne parvenait pas à identifier. Il lui fallait davantage de réponses et la seule qu’il voit, toujours, c’est sa propre mort, sa disparition définitive de ce monde cruel.

Mais il s'accorde une dernière chance avant de passer une seconde fois à l'acte pour, cette fois, ne pas se louper. Il demande de lui-même à sa mère, de lui trouver un psychologue. Elle l'envoie chez un spécialiste qu'elle trouve proche de chez eux, peu importe sa spécialité. Le môme se rend au rendez-vous sans conviction, mais il sent qu'il doit se forcer. Il sait qu'il regrettera, s'il n'y va pas. Même s'il est persuadé que le psy verra sa vie en rose, il veut essayer. Une dernière fois. La séance avance lentement. Il explique pourquoi il est là, comment il se voit, comment il se comporte. Elle l'écoute, s'étonne parfois, argumente et pose des questions. Et puis, elle parle d'intellectualité précoce. Non, le gosse n'en n'a jamais  entendu  parler.  Est-ce qu'il a sauté une classe ? Non. On a envisagé cela lorsqu'il était en primaire, mais ça n'a jamais eu lieu. Il a doublé deux classes, plus tard, au collège. Trop d'absences. La psychologue  s'illumine. "Ne cherchez pas, vous êtes précoce."  Le gamin s'interroge, hausse un sourcil. Non, il n'est pas précoce. Il est seulement paumé et borderline. Obsédé par sa propre mort et par la souffrance qu'il inflige continuellement aux autres. Mais il la laisse dire, il n'emploie pas le mot qui le définit. Il écoute, donne une chance à une nouvelle théorie. Ce n'est pas une maladie, qu'elle dit. C'est simplement percevoir le monde autrement. Finalement, vous n'êtes pas différent parce que vous êtes "moins" que les autres, mais justement parce que vous avez quelque chose en plus. D'accord ...  Mais concrètement, qu'est-ce qu'il peut en faire, ce de "quelque chose en plus" ? Lui il souffre, c'est tout ce qu'il voit. Mais il écoute, il se documente. Peut-être ... Oui, peut-être ... Mais peut-être pas. Il veut des réponses, du tangible. En attendant ce grand jour, il n'a qu'une envie : quitter sa famille de dingues. Alors il finit par s'en aller, trouvant une nouvelle Université sur les conseils de son ami Lucas, le Chien. Il apprend l’existence d’une Académie pour les jeunes comme eux, loin des siens qu'il hait tant. Il entre à la SPA, des rêves et des espoirs plein la tête, se forge une personnalité d'apparence. Il éloigne  le monde pour éviter le danger. Et ça marche. Tant  mieux, parce qu'être seul, tout à coup, c'est carrément flippant.
Bienvenue à la Sex Pistols Academy, Max. Fais donc ta place ...


Autre : Au cas où l'histoire laisserait des questions à certains, Max est donc un enfant surdoué en pleine recherche de lui-même. Il s'est créé un masque de salopard pour être détesté des autres et ainsi "contrôler" la situation en permanence, angoissé par l'idée d'être submergé par l'imprévisible.




Le code : Validé.
Ton pseudo : Raven
Ton âge : 22 ans
Notre découverte : Partenariat
Ta présence : Tous les jours
Ton avatar : Yato dans Noragami
Tes références : Je connais les OAV que j'ai regardé plusieurs fois mais je pense qu'il me manque malgré tout des notions :')
Un rajout : Quelques fautes par-ci par-là, sinon design super !