Nom : Lucchese
Prénom : Bella Dona
Âge : 32 ans ( mais en vérité 30 ans ), né le 22/01
Origines : Supposée Italo-turque ( italo-japonaise )
Orientation sexuelle : Homosexuelle
Groupe : Direction
Emploi : Secrétaire
Dominance : Dominée
Famille de race mêlée : Serpent
Animal de race mêlée : Honhabu
Appellation scientifique : Protobothrops flavoviridis
Quelle catégorie de poids : Moyen gabarit
Identité
Goûts : Mlle Lucchese est autant stricte envers ce qu'elle fait que ce qu'elle est. Pourtant, même en se contraignant, on ne peux pas mettre notre être dans une boîte avec des petites cases pour définir qui nous sommes.
C'est un fait avéré, la secrétaire presque parfaite déteste le désordre ! De plus, on trouve de drôles de surprises dans ses tiroirs de bureaux. En plus des crayons et papiers basiques, on observe des petits sachets d'amandes venant d'Italie que notre chère Bella mange pour son plaisir. Entre ça et le café, sont ses mets favoris.
La jeune femme après avoir travaillée à l'académie pendant quelques années, a appris a apprécier ces élèves. Leurs enthousiasmes, leurs problèmes même si être secrétaire dans une école est une calamité au niveau organisation !
Cela peut vous étonner, mais notre Italienne s'habillant toujours de manière stricte et correcte a quelques habits de ville de couleur rose. Cette couleur lui a toujours plu, et la fait toujours paraître plus jeune.
Pour ce qui est des goûts de la jeune femme en matière de personne. Son cœur a déjà choisi sans qu'elle ne s'en rende compte. Cette personne a de beaux cheveux d'or tout emmêlés qui la font rager a l'entretient ; de grands yeux bleus qui font fondre et une personnalité des plus lumineuse.
Caractère : Bella est une femme qui ne sait pas très bien où elle en est. De nature très explosive, elle a l'habitude de parler fort, de dire ce qu'elle pense. Ce n'est qu'après des années qu'elle a apprit a parler de manière posée et de garder ce qu'elle pense au fond d'elle. Si bien que dans des moments de grands bouleversements elle reprend ses mauvaises manies.
Criant sur certaines personnes ( comme notre chère Gwen qui a un don pour la mettre hors d'elle ). Très pointilleuse autant dans son travail que dans la vie courante, elle devient un véritable démon de la propreté lorsqu'elle est en colère. Il n'est donc pas rare d'entendre l'aspirateur rugir furieusement lorsque Gwen rentre le lendemain d'une soirée.
Pour Bella, l'affection est quelque chose qu'elle offre de manière totale. Si bien que la jeune femme est très vite sujette a la jalousie. Pour beaucoup, cette affection sans borne n'est pas visible. Bella ayant été élevée comme un serpent, elle cache cette affection et a peur de la montrer. On peux aussi mettre cette timidité sur le compte de la perte de ses parents.
Si Bella est aujourd'hui La Bella Dona Lucchese connue dans le monde des thériantropes et de la pègre. C'est grâce a sa parfaite immersion dans le rôle de Bella qu'elle a réussie a s'intégrer a ce mode de vie. Elle n'est plus vraiment le double de Bella Lucchese, elle est devenue une autre forme de Bella. Lorsqu'on compare les deux Bella, on voit bien la différence de par leur nature. La première Bella était de nature rusée ( tout comme la plupart des serpents ). Elle voulait devenir une personne respectée et crainte et faisait tout pour. Son charisme était au dessus de sa beauté légèrement exotique. Alors que notre Bella actuelle a beau être excentrique de part ses réaction exagérées, elle est néanmoins beaucoup plus effacée et moins entreprenante.
Physique : Bella Dona Lucchese est une femme plutôt jolie, un jolie minois entourer de fins cheveux noirs court légèrement ondulés, une petite bouche beige, et des yeux en amandes mystérieux. Sa peau toujours légèrement bronzée est de teinte Soleil est totalement en contradiction avec ses vêtements stricte ( tailleurs de couleurs sobre et une chemise ). Toutefois elle aime porter des tenues simple pour ses jours de repos, de préférence de couleur violet ( même si ce n'est pas sa couleur favorite ). Lorsqu'on la voie dans ses vêtements de ville, il n'est pas rare de lui trouver une apparence beaucoup plus jeune.
Le ressentit que l'on a d'elle est d'abord d'une femme droite et stricte, puis on y découvre un petit côté exotique. Quand on comprend que Bella Dona Lucchese a eut une mère d'origine de Turquie on comprend d'où vient c'est doux yeux en amandes. Ils deviennent surtout perçant lorsqu'elle les plissent légèrement sous le coups de la concentration, de plus une petite fossette apparaît sur sa joue lorsqu'elle souris discrètement.
La carrure de Bella a beau être assez fluette, elle est toutefois assez musclé. Mesurant 1m69 pour 60 kilos. S'étant entraînée a l'autodéfense durant son enfance ( en plus des cours particuliers pour ses études ). Elle n'a pas peur de faire face a un élève voulant montrer sa force.
Histoire
Histoire :Sakura Kokkujin :Chapitre 1:Avant d'être Bella Dona Lucchese, on me connaissait sous le nom de Sakura Kokkujin. Née d'une union entre deux hommes, Shirotaro et Thomas ( ou Toma au Japon ) Kokkujin. Papa Shi était d'origine japonaise, le pays dans lequel j'ai grandi. Quant à Papa To, il venait d'Italie. Nous vivions dans un petit quartier d'Osaka, dans un appartement pas loin de mon école. Depuis mon enfance, Papa To m'apprenait à parler aussi bien l'italien que le japonais. Bien que je fusse un protobothrops flavoviridis, un serpent de la race des vipère localisées principalement au Japon. Tout comme Papa To, j'avais ( et l'ais toujours ) un petit côté canin.
Papa To étant un petit bichon bolonais, et moi métisse italienne-japonaise, nous étions dans l'incapacité a nous intégrer à la société. Ma peau légèrement bronzée, et mes traits étrangers se révélaient flagrants. Papa To lui aussi avec sa peau plus bronzé que la mienne et ses yeux verts étaient dénigrés au travail et partout ailleurs. De plus, à cause du stresse occasionné par ces problèmes d’adaptations, j'avais pas mal de difficultés à garder cachée ma queue de serpent. Au début de mon apprentissage j'avais vite progressé, mais avec le temps j'avais commencé à éprouver quelques difficultés. Au finale, nous avons décidé de gagner les côtes italiennes, le pays natal de Papa To. J'eus du mal à quitter l'appartement que j'avais connu pendant les 12 années de ma vie.
Cependant pour me consoler, Papa Shi et papa To m'offrirent l'objet de leur rencontre. C'était une grande écharpe a grosse mailles, dont le temps avait peu à peu transformé le dessein des mailles en des peluches de laine. La couleur rouge commençait à se ternir, et je pouvais voir de petits cheveux se mélanger à certains fils de laines. Pourtant, je l'adorais déjà ! Tout le reste du temps que nous avions passé dans l'avion jusqu'à notre arrivée, elle resta enroulée autour de mon cou.
Bien que le Soleil tapait plus fort qu'au Japon, la chaleur n'y été pas si différente. Seule changée, l'humidité, ici, il faisait très sec. Je pus néanmoins garder sans trop de mal mon écharpe même avec ce temps. La ville de Florence nous ouvrait ses bras immenses et pleins de son patrimoine historique. Tout de suite après l'aéroport de Preretola, nous nous sommes engagés sur l'autoroute Firenze Mare. En passant dans les différentes petites routes pour découvrir la ville, nous découvrîmes la rue Lucchese. Elle était pleine de magasin en ameublement et autres.
Papa Shi surtout se languissait déjà de décorer notre nouvel appartement. Mais avant de faire les boutiques, nous nous sommes arrêtés à l'hôtel que nous avions réservé. Là, nos quelques bagages furent déposés dans notre chambre. Quand ce fut fait, Papa Shi et Papa To voulurent ressortir, en me laissant dans notre appartement. J'aurais dû aller avec eux, mais Papa To souhaitait me voir au lit tôt pour demain. Je devais donc en profiter pour me doucher pendant qu'ils ressortaient.
Ainsi, je pris ma douche après leur départ, puis je me mis à regarder la télé. 1 heure passa, puis 3 heures et enfin 5 heures. Le Soleil n'était pratiquement plus visible, et l'inquiétude me gagnait. N'y tenant plus, je pris mon écharpe rouge, un gilet et mon portefeuille. Après avoir mis mes chaussures et pris le double des clés, je me précipitais à l'accueil. Là, il me fallut rassembler mon courage. Il me fallait demander de l'aide à des adultes. Mes papas m'avaient toujours dit que dans les hôtels si on voulait de l'aide, il fallait s'adresser à la réception ( ou a la police ). Je me donnais donc la mission d'expliquer que mes deux "oncles" n'étaient pas rentrés depuis bien trop longtemps. Étant un singe, cet homme aurait sûrement des appréhensions face à un couple gay. Le jeune homme comprit la situation et appela son chef pour lui demander quoi faire. On m'amena dans un petit salon il n'y avait qu'un homme bien habillé d'un ensemble veste et cravate.
Celui-ci était d'ailleurs un thériantrope canidé a son odeur. L'homme dû lui aussi comprendre que j'étais une thériantrope. Il me prit un peu à part pour que je lui explique la situation. Mes paroles un peu précipitées durent être assez explicite. Il comprit que mes deux papas étaient sortis pour une petite heure et qu'ils ne seraient jamais sortis pour plus de deux heures. Quand je lui ai dit que Papa Shi et Papa To avaient prévu d'aller dans la rue Lucchese, il a semblé pâlir et me demanda de rester ici une minute.
Chapitre 2 : Les adultes commencèrent à faire des allés et venus dans le petit salon avec des mines sévères. Certains essayaient de me rassurer vite fait avant de repartir, je commençais à avoir peur. Puis finalement un homme arriva, tout dépareillé. Il semblait être un homme soigné qui avait couru un marathon. Il s'approcha de moi en me tendant les bras et commença a parler en italien :
- Oh Bella ! J'ai cru que tu étais dans l'accident ! Quand j'ai vu ta photo aux infos, mon sang n'a fait qu'un to ...
- Mais qui êtes-vous ! Lui ais-je dis.
- Bella, c'est ....
- Je ne m'appelle pas Bella, mais Sakura.
Dans la confusion la plus totale, plusieurs personnes nous encerclèrent et commencèrent à nous expliquer ( à l'homme mystère et a moi) la situation. L'homme c'était trompé, il avait cru que reconnaître sa fille aux infos.
- Pourquoi serais-je aux infos ?
Avec une grande patience, on m'expliqua qu'il y avait eu une fuite de gaz dans l'un des petits magasins de la rue Lucchese et que cela avait occasionné une explosion. Mes papas ainsi que les vendeurs et d'autres clients étaient morts. Les autorités essayaient encore d'identifier les corps des clients morts dans l'explosion quand le propriétaire de l'hôtel avait appelé pour signaler la disparition de deux jeunes hommes dans la rue Lucchese. Devant la réalité, des larmes froides perlèrent aux coins de mes yeux. En moi-même, tout c'était figé et glacé. Un homme avait été mis de côté dans toute cette agitation, aussi furtivement, il se rapprocha de moi.
Cet homme si soigné qui m'avait prise pour sa fille, se tint devant moi. Il me regarda un moment en silence avant de commencer a parler :
- Par quelle magie ... Jeune fille, te sens-tu seule ?
Que répondre a ça ? Je ne comprenais pas, mes papas étaient encore là pour moi, ils ne pouvaient être partis. Pourtant, pourtant ... Je n'aurais plus leurs caresses ni leurs sourires ... Je voulais de la tendresse, qu'on me prenne dans des bras chaleureux, je ...
- Je veux mes papas ! Papa Shi ! Papa To !
Je me mis a pleurer, a hurler, et deux bras m'entourèrent. Ils étaient froids, mais je m'accrochais a eux. Ils avaient quelques choses qui me réchauffaient intérieurement.
Pendant quelques jours, l'hôtel et les autorités ne savaient quoi faire de moi. Je n'avais pas de famille, il fallait avertir la protection de l'enfance, clarifier ma nationalité et autre. Tout semblait ne pas vouloir se mettre en place et se fut donc l'homme qui m'avait consolé qui s'occupa de moi.
L'Ombre:
Chapitre 1 :Il me ramena chez lui, me présenta à toute sa " famille ". Il se présenta comme étant Mr Basilio Lucchese, un homme " d'affaires ". Sa maison entière était remplie d'hommes à la mine patibulaire. Perdue dans cette grande maison ( ou plutôt cette forteresse pleine de gorilles ) se trouvait la fille de Basilio. Quand je l'ai rencontrée, j'eus comme un coup dans le ventre. Cette jeune fille ... ne semblait pas réelle. J'avais devant moi mon sosie parfait.
Elle se présenta comme Bella Dona Lucchese, la fille unique de Basilio. Son père m'expliqua alors qu'il était rare de trouver deux personnes qui se ressemblent autant sans appartenir a la même famille. On appelait cela un " sosie ". Et comme nous n'étions pas sœurs, nous n'avions pas le même âge. De deux ans mon aînée, elle avait pourtant la même taille que moi. Passé notre première surprise, Bella me souriait tranquillement et passa la journée avec moi.
Le lendemain, Basilio m'installa dans la chambre de Bella. Il avait fait venir des meubles exprès pour moi, ainsi que des affaires appartenant a mes papas. L'attention me fit très plaisir, mais pas autant qu'a Bella. Très vite, j'appris que Bella pouvait sortir a sa guise, alors que moi, je devais rester dans l'enceinte de la maison. Je découvris la chaleur avec laquelle me traitait Basilio et la froideur de Bella. Le temps passait à une vitesse folle tandis que je prenais des cours particuliers pour être au même niveau que Bella. Au fil du temps que je passais chez les Lucchese, je réussis a maîtriser mon aura animale. Le calme de l'endroit et l'amour que me donnait Basilio mis fin a mon problème.
Mai, bientôt un an que j'étais chez les Lucchese. J'avais réussi à me faire accepter, plus ou moins, par tous les hommes de confiance de Basilio. Toutefois, les hommes en dessous de ce titre ignoraient tout de mon existence. C'était ... assez particuliers. De plus, Bella était un mystère pour moi. A présent, elle me souriait, discutait avec moi, mais elle me paraissait si lointaine. Comme si je n'avais pas la bonne personne en face de moi.
Trois jours après mes 13 ans, je vis une chose exceptionnelle. Cachée dans les fourrés, j'ai suivi Bella, là, je l'ai vue. Elle était dans les bois, entourée d'hommes de tout âges. Comment je pourrais dire, ils avaient tout le même air que les hommes de Basilio, froids. C'étaient des hommes de main, au service de Bella.
Chapitre 2 :Sortir m'était toujours interdit à condition que je me cache. Cette contrainte de Basilio me pesait et me rendait triste. Mais lorsque je demandais quelle en était la raison, Basilio me répondait toujours :
- Si d'autres personnes savaient que tu es ici, ils te prendraient pour Bella et ... Je n'ai pas envie qu'il t'arrive quelque chose.
Moi non plus, je ne voulais pas que quelque chose leur arrive. A présent, c'était eux ma famille. Grâce a l'enseignement suivi à la maison, j'avais pu continuer mes études a distance, et même à atteindre le niveau de Bella qui était mon aînée. Elle commença à prendre de l'intérêt pour moi, en ne me voyant plus comme un simple caprice de son père. Ainsi, nous nous sommes rapprochées, jusqu'à ce que je devienne sa confidente. Au début, elle ne faisait que des insinuations sur ses activités en dehors de la maison. Puis elle ne me cacha plus rien, et me décrivit clairement les choses. Avec sa bande d'amis, elle semblait s'entraîner à les diriger, et a rassembler plus de monde. Certaines de ses personnes entraient dans la "famille " Lucchese en tant qu'hommes de main et d'autres restaient dans l'ombre.
Pour autant, elle avait beau me raconter sa cruauté envers ses hommes, je sentais un énorme vide en elle. Jamais elle ne se plaignait, elle ne faisait que de raconter des faits. Alors j'ai décidée que pour la comprendre, il fallait que je sois-elle. Je ne sais comment cette idée a germée dans mon esprit, était-ce parce qu'en secret, je rêvais d'être comme elle ? Ou alors un désir de combler autant le vide dans mon cœur que le siens ? Étais-je devenue folle a force de rester enfermée dans cette maison ?
Quoi qu'il en soit, je me mis d'abord à mimer ses gestes, sa posture et ses tics de langage. Ainsi, peu à peu, je devins véritablement l'ombre de Bella. Me mouvant dans la maison comme elle, on me prit pour la jeune fille du parrain. Un jour lorsque j'avais 16 ans, Bella s'en rendit compte et vint me trouver. Elle s'installa comme à son habitude sur une pierre du jardin et me demanda :
- Sakura, es-tu sûr de ce que tu fais ? Si tu veux devenir moi pour me remplacer, ou si c'est par jalousie, je te tue sur-le-champ.
La menace dite, je n'ai pas réagi. A présent, je la connaissais assez pour la comprendre. Elle me mettait en garde, me signifiant que ce n'était pas un jeu. En me tournant vers elle, la réponse que je cherchais depuis que j'avais commencée mon jeu de mimes me semblais enfin limpide :
- Je crois qu'au début, c'était par envie. Je voulais être comme toi, charismatique, belle et pouvoir aller où je voulais ... Mais tu sais, ce que je voulais par-dessus tout ? C'était de comprendre ton vide dans ton cœur. Je ne comprenais pas comment toi qui avais tout pouvais se sentir aussi seule que moi. Puis j'ai compris, toute ta vie, tu as été assignée au rôle de chef. Tu as des désirs, mais tu ne peux pas les montrer, tu dois être cruelle et plus forte que les autres pour te faire respecter. Enfin de compte, tu es comme moi, une ombre.
Bella ne dis rien, mais pour la première fois, je la vis pleurer. Je savais que c'était mal ce qu'elle faisait, mais ici, il fallait savoir se faire respecter par la cruauté, ou vous étiez bon pour disparaître. Par la suite, Bella et moi primes la place de l'autre. Au yeux des hommes de Basilio j'étais Bella, et la vraie pouvait partir faire accroître son pouvoir dans la rue avec ses acolytes. Personne ne fut jamais au courant de nos échanges, jusqu'à mes 17 ans. Basilio nous trouva alors que Bella filait par la fenêtre et que moi, je me préparais pour prendre sa place. Après une brève explication, il me regarda dans les yeux et me dit :
- Écoute Sakura, j'ai toujours souhaité que tu vives recluse de ce monde ... de mon monde parce que tu es ma deuxième petite fille. J'ai toujours souhaité que Bella devienne a la fois une jeune fille qui deviendrait mère et aurait une existence heureuse ... et aussi qu'elle devienne le prochain Parrain des Lucchese. Seulement, je ne pouvais lui assurer qu'un seul destin avant de te rencontrer. Aujourd'hui, c'est possible grâce a ta présence Sakura. Donc, je voudrais que tu m'excuses de t'avoir enfermée ici. Je voulais seulement que mon souhait de voir ma fille ... mes filles heureuses et qu'elles puissent vivre chacune sa destinée.
Bella Dona Lucchese :
Chapitre 1:C'est ainsi que je compris que Basilio était comme Bella. Il ne vivait que pour le clan, mais il avait aussi des rêves. Ainsi, Basilio me laissa aller à l'extérieur en tant que " Bella ". Je devais la remplacer pendant son cursus dans un Lauréat. Bien que Basilio eût fait disparaître toutes traces de Sakura Kokkujin, il souhaitait me faire réinstaurer la société. En préparant une carte d'identité et des papiers, j'aurais pu à la fin des études de Bella, et des miennes alors. Reprendre une existence normale très loin d'ici, dans un autre pays où personne n'aura entendu parler des Lucchese.
Cependant, la vie n'est pas souvent tendre avec nous. Un conflit éclata avec un autre clan de la mafia italienne, pendant des mois la tension monta puis, se fus le cataclysme. Un soir que j'étais sortie incognito me promener avec un sweat-shirt, le clan ennemi attaqua la maison mère des Lucchese. Encore une fois, je fus épargnée par le massacre. Tous les hommes proches de la famille ( composés de thérianthrope petits gabarits et de singes) furent tués.
En rentrant de ma promenade, j'ai découvert la maison à sac, les domestiques avaient prit la fuite, les assassins étaient partis. J'ai tourné dans cette maison vide longtemps, a chercher s'il y avait des survivants. Au bout d'un moment, j'ai trouvé une pièce où se trouvaient Basilio mort, et Bella. Très abîmée, elle respirait mal. Dans un souffle roque, elle me dit :
- Je t'en prie .... Je ne pourrais plus diriger les Lucchese ...
En reprenant son souffle, je vis plusieurs impacts de balle dans le torse de Bella. Instinctivement, j'avais sortie mon portable et disais à Bella :
- T'en fais pas ma grande, j'appelle les secours ...
- Sakura ... Tu dois prendre ma place ... protéger le clan ... Le clan est toujours le ... le plus important...
- Tais-toi, j'appelle les secours
- Bella .. tu es ... Bella
- Bella, attends les secours !
" Service d'appel d'urgence, j'écoute .... "
" Une fusillade a eu lieu au **** venez vite, il y a pleins de mort et des blessés !"
Bella ne respirait plus.
" Ne raccrochez pas madame, décrivez moi ..."
J'ai raccroché.
Chapitre 2:Quand les secours sont intervenus, ils ne me trouvèrent qu'une heure plus tard. On me trouva après un long moment dans le jardin. Assise sur une pierre, un parterre de belladone aux pieds. Lorsqu'on me demanda mon nom, je répondis avec une voix enrouée :
- Bella Dona Lucchese ...
Le corps de Bella avait " disparu " et je devins la nouvelle Bella aux yeux de tout le monde. Le seul survivant de ce massacre était le bras droit de Basilio: Diego. Étant le dernier membre des personnes influentes du clan, il était au courant pour moi et il me proposa un marché. Je restais Bella et il ne disait rien au clan, en contrepartie, je devais l'appuyer pour devenir le nouveau chef. Chez les Lucchese, on ne faisait confiance qu'aux Lucchese pour devenir le parrain.
C'est ainsi que j'ai pu continuer mes études sans devenir le parrain, mais en continuant a protéger le clan en le perpétuant. J'eus à mes 18 ans mon Lauréat( 20 ans dans la légalité vus que Bella était en étude pour son Lauréat ), puis je fis un master de management en international jusqu'à mes 20 ans. Mes deux autres années, je passais un master dans l'innovation des entreprises. Tous ces diplômes en main a 22 ans ( ou supposer a 24 ans ), je me mis a chercher un travail qui correspondait à mes attentes.
J'obtins un travail de secrétaire à la prestigieuse école de SPA en Angleterre. En même temps, le fier Diego vint me proposer un autre marché tout aussi avantageux que le premier. Pour renforcer le pouvoir des Lucchese et étendre son emprise au-delà des frontières italiennes, il fallait des alliés. Diego avait alors entrepris un pacte avec des canidés gros gabarits en Allemagne. En échange d'une aide financière, ils donnaient en mariage une de leurs " filles ".
Par la suite, j'appris que c'était en réalité la fille d'un de leurs domestiques. Ils assuraient la considérer comme leur enfant, mais tout ça semblait très louche. Après une rapide enquête, j'appris que cette famille de loup ne souhaitait que se débarrasser d'une jeune fille trop impétueuse. Je pris la décision d'accepter toutefois cet arrangement et de signer les papiers de fiançailles. Libre à nous ensuite de nous marier ou non ( je pressentais plutôt que la pression viendrait lorsque la jeune fille tomberait enceinte ).
Je ne l'avais jamais vu, mais j'étais promise à elle. Notre première rencontre fut des plus explosives. Un mois après mon entrée à la SPA académie, une furie entra dans mon bureau et le renversa littéralement ! Blonde, les yeux bleus, une bouche rose qui ne mâchait pas ses mots. Oui, cette jeune fille était ma promise... Le lendemain, je me fis la guerre pour aller la voir, ainsi que le jour suivant, et les week-ends. Nous devions apprendre à nous connaître pour mieux vivre ensemble. Mais l'accueil ne fut pas vraiment ce que j'attendais ... Qu'importe, je n'ai pas abandonné et j'ai continué à multiplier les propositions pour que nous nous voyions. Finalement (OH MIRACLE ! ), elle vint chez moi. Il était normal qu'elle me repousse ainsi, je le savais, et c'était pour améliorer notre situation que je n'abandonnais pas.
Pour le bien du clan, je devais faire au mieux pour le faire grandir. Mais ce marché ne me convenait que peu et profitait plus à Diego ( l'infâme ! ). Gwen n'était pas souvent présente, elle était en vadrouille a droite et à gauche. Si au début cela ne me faisait ni chaud ni froid, cela commença à me faire ressentir quelque chose. Je devais la protéger de tout, des renvois possibles ( grâce à ma position et à mes contacts ), de son état lorsqu'elle rentrait ... Elle avait besoin de moi, et étrangement, je ressentais que ça me fait du bien. Je n'arrivais pas toujours à la comprendre, néanmoins lorsque je la voyais endormie dans son lit, j'ai ressenti une attraction envers elle.
Ces anniversaires passés à prendre soin d'elle pour ne pas qu'elle fasse un coma, ces soirées à me demander ce que Gwen ferait de son avenir, je les ai vécus parfois dans l'inquiétude ou la tourmente. Enfin tout cela est passé, avec un peu d'aide Gwen a pu entrer en tant que surveillante a l'école. Elle a ainsi un toit, de l'argent et de quoi se nourrir. Elle peut vivre seule si elle le souhaite ... Non ! Elle restera avec moi, je ne veux ... pas. Qu'est-ce qu'il m'arrive ?
Nos disputes nous avaient contraintes à déménager. On pouvait dire aussi que notre niveau sonore dépassait souvent la moyenne ... Nous commencions à parler de plus en plus, à mieux nous connaître. J'avais appris ainsi que le grand-père de Gwen été un héros de guerre et qu'elle en était très fière. Noël été arrivé, lorsque je lui ai offert son premier cadeau, Gwen m'avait laissé un baiser sur la joue. Je croyais alors n'avoir jamais autant rougi de ma vie, quelque chose se passait, mais je ne voyais pas encore.
Des petites attentions, de véritables conversations, tout évoluait à cette période entre nous deux. Nous devenions de plus en plus proches et un nouveau phénomène étrange se produisait. Les personnes blondes étaient les premières personnes que je remarquais, et il m'arrivait de suivre la silhouette de Gwen ...
Cela s'est confirmé un soir alors que j'entendais Gwen ouvrir la porte de ma chambre pour me regarder dormir. J'avais envie qu'elle me regarde, de la regarder, et bien plus ...
J'ai compris que je l'aimais, et ça me faisait mal.
Gwendoline Engel:Bella: Là, je vois une chose inconnue. Un bout de tissus léger. Par terre, il ressemblait à un pétale fané, arraché à sa fleur. Ni moi, ni Gwen ne portions ce genre de fioritures abjectes ! Il y avait donc un inconnu dans cette équation, ou plutôt UNE inconnuE... en lançant des regards à faire fondre un iceberg à cette petite culotte, j'entrepris d'abord de la foutre au feu . Puis après réflexion, je me ressaisis, et choisi d'attendre que Gwen rapplique pour avoir une " petite " explication, elle et moi !
Après deux jours à l'attendre, j'avais finalement lâché prise et envoyer un SMS fleuri, entrecoupé de passages citant des noms d'oiseaux. Mais bien que ce message dût la faire réagir, ce n'est que le lendemain qu'elle se pointa. Mes heures de sommeil se limitaient aux brusques accès de fatigue. Si bien que deux valises tombaient sur mes joues. Les cheveux défaits à force d'y avoir fourragé dedans sous l'action de l'inquiétude et en pyjama shorty. Je devais être à coup sûr un exemple de beauté !
Gwen: C'était le lendemain du SMS assassin, j'avais vraiment peur au début mais bon après la nuit que j'ai passé, j'ai un peu oublié. Je reviens donc à l'appartement comme une fleur, le bonnet de travers, le manteau militaire tombant d'une épaule, sentant le tabac froid et l'alcool. Là, Bella me fixe avec un regard assassin, je l'esquive, lui fais un bisou sur la joue et me faufile vers ma chambre comme si de rien était.
Bella: La porte d'entrée s'ouvre, et s'avance ma jeune fiancée. "Fraîche" et "reposée", elle sent l'alcool et le tabac à 5 mètres au point que l'odeur me fait froncer le nez. A peine le temps de réagir qu'un baiser brusque mais affectueux vient atterrir sur ma joue, et elle tente une sortie en douce par sa chambre. Je l'en empêche, en me tournant vers elle et en disant d'une voix peu accommodante :
-
Bien passé ta soirée ? J'ai d'ailleurs un truc a l'une de tes " Amies " ! Sorts la culotte et la tient a bout de doigt Gwen : Je regarde la culotte en esquissant un petit sourire coquin et je lève un doigt au ciel pour m'exprimer avec une des expressions les plus stupides que mon visage pouvait arborer :
-
Tu sais, c'était un bon coup !Puis en glissant mon pied en arrière, je commence à me faufiler derrière la porte de ma chambre.
Bella: Comme d'habitude, Gwen ne sait pas se taire et écouter gentiment. Elle en rajoute, jusqu'à faire ressortir mon côté explosif.
Je jette la culotte au loin, me précipite sur le toutou alors qu'il se replie vers sa chambre. En plaquant mes deux mains de chaque côté d'elle, je l'emprisonne. La pousse à me regarder, et j'hurle :
-
Tu te fous de moi ! " C'était un bon coup ! " Je t'ai attendu pendant tout ce temps ! Pour que tu m'expliques ce que tu foutais avec cette " pouliche " ! Et toi, tu me sors que tu t'en délectais !?Je met un coup dans le mur.
Gwen: Même si je me fais plaquer contre le mur, je garde un doigt en l'air un peu stupéfaite. La peur me fait lâcher un petit rot alcoolisé alors que mes pupilles se dilatent en se plongeant dans celles de Bella. Je commence à faire le lien même si je ne comprends pas pourquoi cela la met dans cet état.
-
Justement! Ça valait le coup !Bella: Emportée par ces paroles, j'hurle de plus belle :
-
ça valait le coup ?! De quoi ?! Parce qu'elle avait un joli derrière ?!....
Je me penche jusqu'à ce que mon nez se collent au sien.
-
Ou bien pour me faire enrager ! dis-je en grondant doucement.
Tu me rends folle, je n'en peux plus ... Et avant que l'info atteigne le cerveau embrumé par l'alcool du canidé, je l'embrasse brusquement.
Gwen: Ses lèvres entrent en contact avec les mienne, je pose mes mains sur ses épaules en serrant fort mon emprise. J'ai d'abord envie de la repousser puis je relâche la pression pour la laisser continuer. Mes joues rougissent subitement, j'écarquille les yeux avant de me séparer.
-
Pou... Pourquoi?Bella: Je reprend mon souffle lorsque nos lèvres se séparent. Je détourne la tête, pose une main sur sa clavicule de Gwen, et la repousse doucement dans sa chambre en murmurant :
-
C'était une punition ... Va te reposer a présent ... Je me retourne et je vais vers ma chambre.
Gwen: Je prend la punition comme elle est, fait mine d'être dégoûtée et prend un air boudeur.
-
Et alors tu penses quoi de moi? On me dit souvent que j'embrasse bien.Bella: Je ne me retourne pas, ne lui rend pas le plaisir de continuer sur cette plaisanterie, je continue mon chemin. Et je ferme la porte de ma chambre derrière moi. Je traverse la chambre dans le noir, et bien qu'on soit le matin. Je me couche, remerciant le fait que nous soyons samedi.
Gwen: Je m'assois dans le salon et attend un peu bien que la patience ne soit pas mon fort. Après un peu de temps, je me lève et entrouvre la porte. Bella dort...
Lançant un sourire attendri je me faufile avec toute la délicatesse qu'une gueule de bois peux le permettre et vient m’asseoir sur le bord du lit auprès d'elle. Sa main dépasse, j'hésite à la prendre puis je me résigne à simplement la caresser avec tendresse.
Bella: Les paupières closes, l'esprit en éveille. J'entends se glisser, sans discrétion, quelqu'un dans ma chambre. Au bruit de pas, je sais d'avance que c'est Gwen qui me rejoint. Elle le fait souvent. Sauf que cette fois, elle est plus proche, elle s'est assise sur mon lit, et me caresse la main. Je réprime mon besoin de la tirer à moi, et de soupirer d'aise. Pourtant, je ne bouge pas, je continue à faire semblant de dormir.
Autre : Bella a travaillée pendant 6 ans en tant que secrétaire a SPA, elle a des contactes dans la direction de l'établissement encore.
C'est Gwendoline Jealsy qui lui a proposée un nouveau travaille en tant que secrétaire personnelle ( voir les raisons dans un rp prochain ). Ainsi aujourd'hui elle est la secrétaire personnelle de la sous directrice. En ne s'occupant que de l'entreprise de la sous directrice. Suppléments
Le code : ValidéTon pseudo : Clarence
Ton âge : 19 ans
Notre découverte : Je suis là depuis un moment ^^
Ta présence : Je passe souvent sur le forum mais je ne peux poster que toutes les deux semaines ou une fois par mois
Ton avatar : Kirishima Touka
Tes références : J'ai tout lu, tout vu *-*
Un rajout : Je le trouve super !