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Balkis Nazem - 100%

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Ven 12 Mai - 23:06
Balkis Nazem


Nom : Nazem.
Prénom : Balkis, l'on m'a donné le nom de l'une de mes arrière-grand-tante.
Âge : 36ans, née le 8 janvier. Un jour d'été australien.
Origines : Iranienne, née en Australie d'où sont originaire certains de mes ancêtres.
Orientation sexuelle : Je suis assexuelle, il est donc plus facile de me qualifier d'homoromantique.
Groupe : Membre de la direction de l'Académie
Emploi : Bibliothécaire.
Dominance : De manière générale je suis quelqu'un de souple, mais je ne me prononce pas d'un point de vue sexuel.
Famille de race mêlée : Une Rain Dragon, de la famille des crocodiles, plus précisément un varan.
Animal de race mêlée : Varan du Bengale, un varan d'Iran né en Australie, contre une crocodile australienne née en Iran.
Appellation scientifique : Varanus bengalensis bengalensis
Quelle catégorie de poids : J'ai rarement été qualifiée de « légère ». Même si je suis de la catégorie des poids plumes.
 

Identité
 

Goûts : Je suis quelqu'un de simple et il ne me suffit donc que de peu de choses pour me satisfaire. D'un naturel paisible, il est tout à fait normal que j'aime le calme et la tranquillité. Je ne me sens guère à l'aise dans les endroits bruyants et bondés et c'est sans réellement m'en rendre compte que je cherche instinctivement à les fuir, pour me retrouver dans des endroits plus calmes. Car même si je suis tout à fait capable de me contenir et qu'il n'est pas dérangeant pour moi de me promener librement dans des endroits avec une forte activité, cela reste assez gênant lorsque je dois me concentrer sur quelque chose.

Le bruit fait office de parasite sous mon crâne et malgré que je ne le montre guère, m'incommode fortement quand cela devient trop insistant et continu. C'est pour cela par ailleurs que je n'ai pu m'engager dans des carrières nécessitant d'importants regroupements, ou même que je me sens chanceuse de ne pas être née dans la branche principale de ma famille en tant que poids lourd. Car même si les rencontres mondaines ne m'ont jamais dérangée, je n'ai jamais supporté cette oppression dont étaient la cible les gabarits influents. Ma condition d'insignifiante de poids légère me convient donc en tant que tel, parfaitement. Même si le regard de ceux voyant en moi une mère porteuse jetable, me fait frémir de façon désagréable.

Alors je préfère simplement m'isoler dans un endroit tranquille, fermer les yeux et profiter de la paix silencieuse qui m'entoure. Pourquoi pas avec un livre dans les mains par ailleurs. J'aime lire. J'aime le touché de la couverture et des pages sous mes doigts et j'aime leur odeur, qu'ils soient neufs ou anciens. C'est peut-être aussi pour cela que j'en ai fait mon métier. En plus de la tranquillité que peut m'apporter les bibliothèques et du plaisir ressenti lorsque j'aide ou conseille une personne pour qu'elle puisse trouver le bonheur dans ce qu'elle recherche. Car quand on me demande mon assistance, je ne la refuse jamais, même si je ne suis pas du genre à moi-même la proposer.

Et même si je n'aime guère la faiblesse due à ma condition de reptile au sang-froid, j'apprécie la pluie. La voir tomber, écouter ses gouttes se fracasser contre une vitre. Je trouve cela apaisant. Mais pas l'orage qui l'accompagne de temps en temps, il vient briser la paix qu'apporte pour moi le bruit régulier des gouttes. Je n'aime pas la chaleur non plus. Ou du moins, pas la chaleur étouffante dans laquelle certains aiment se complaire en pensant que cela les tiendra à l'écart des dérèglements de leur corps. Cela me prend à la gorge et m'étouffe. Tout comme le froid mordant de la Grande-Bretagne. Je n'aime pas les extrêmes. Je préfère un juste-milieu, doux et sans relief. Une légère brise marine qui me rafraîchit et la chaleur diffuse des rayons du soleil sur ma peau.



Caractère : Je suis par nature, une personne calme et pacifiste. Je n'aime pas hausser la voix et ne le fait donc que très peu, même si cela serait parfois nécessaire. Je n'aime guère la violence et ne vois pas en quoi elle peut résoudre les choses. Frappez-moi et je ne le vous rendrai pas. Certains penseront que c'est par peur de représailles, mais pour moi, c'est loin d'être le cas. Je considère simplement que le pécheur regrettera de lui-même, par la suite et que m'abaisser à son niveau ne me fera que lui donner raison. Dans le pire des cas, je le leur rend bien en considérant que ceux qui me manquent de respect, ne sont que des enfants qu'il faut surveiller. Des enfants capricieux, qui ne m'apporte que de la lassitude et peu d'intérêt. Si ignorant de la vie... Je les plains plus qu'autre chose en réalité. 

Car même si je ne suis pas une révolutionnaire dans l'âme, je ne suis pas pour autant une personne aussi soumise qu'on ne le pense et je suis en perpétuelle recherche de compromis. Je n'accepte par ailleurs, que très mal les différences que certains font encore entre les êtres humains. Parce que certains naissent poids plumes, alors que d'autres naissent de gabarits plus imposants, tout comme certaines naissent femmes et d'autres, hommes. Je suis consciente que nous ne naissons pas avec les mêmes capacités et je respecte cela en chacun d'entre nous, mais je n'accepte guerre l'idée que l'on puisse considérer la capacité de l'un, moins importante que la capacité de l'autre. En quoi avoir la capacité de contrôler les autres est-elle plus importante que celle à donner la vie ? Classer les gens ainsi et les réduire à une simple fonction m'a toujours révoltée, même si je n'ai jamais été du genre à élever ma voix contre celle des autres. On ne m'a pas appris à vivre comme cela. 

Je ne suis pas une femme très bavarde et je préfère écouter plutôt que de parler. Surtout si ce sont sur des sujets que je ne maîtrise pas, je préfère écouter, apprendre et me faire ma propre opinion, plutôt que de ne véhiculer de fausses vérités. Je ne m'engage que lorsque je suis sûre de moi et non avant. Ce qui me fait passer parfois pour une personne incertaine, même si c'est loin d'être le cas. Je suis franche et me refuse à m'embringuer dans quelque chose qui ne suit pas ma ligne de conduite et que je ne juge donc, pas juste. Même si je n'ai guère l'étoffe d'une justicière, mais j'essaie le plus possible de protéger les autres de l'injustice, quand elle se déroule devant moi et que j'ai la capacité d'intervenir. Et c'est en cela que je ne me suis jamais cantonnée à une image de femme de petit gabarit, malgré tout ceux qui ont essayé de me repousser à n'être que cela, depuis ma naissance. J'ai toujours considéré que nous étions tous égaux et que je devais respecter les gens comme tel, menant simplement une guerre passive, contre les étiquettes de la société. 

Ma rébellion, je l'affiche en subissant la tête haute et en prouvant que cela ne m'atteint pas. Car au final, je suis de ce que l'on considère comme des forces tranquilles de la nature. Même si cela n'est en rien par ma force physique, je pense avoir une force mentale relativement remarquable, de par ma capacité à encaisser sans broncher. Et sans que cela n'ébranle une seule seconde, mes idéaux. C'est en cela, je pense, que l'on pourrait dire que mes traits de caractères principaux sont donc ma droiture, ma maturité et mon impassibilité. Certains diront également que je suis une personne sage, charismatique et autoritaire, mais je n'aime guère me poser en leader. Ce qui n'est selon moi aucunement dans ma nature, même s'il m'arrive effectivement de parfois m'imposer pour donner des directives, quand cela est nécessaire. 

Et quand c'est effectivement le cas, il est vrai que généralement on m'écoute, mais je pense que cela vient plus du fait qu'il est extrêmement rare de me voir ainsi, plutôt que cela soit dû à un réel charisme.



Physique : On m'a toujours dit que je ressemblais beaucoup à l'une de mes arrière-grand-tantes. Cependant, cela n'a pas toujours été le cas. Certes, nous avions toutes les deux hérité d'une chevelure blonde et des yeux verts profonds de nos ancêtres australiens, ainsi que la peau dorée des pays arabes, mais nous étions loin d'avoir la même corpulence. Là où elle était grande et mince, j'étais moyenne et... Assez épaisse.

Dans le pays d'origine de mes parents et comme beaucoup d'autres, on voyait dans l'embonpoint un signe de fertilité et de bonne santé. Du coup, on a toujours veillé à ce que je mange bien, trop même, afin que mon tour de taille s'arrondisse. Le médecin me classait en surpoids et a longtemps tenté de convaincre mes parents qu'ils ne devaient pas me donner autant à manger et ce n'est que lorsque je devins une adulte autonome, que je pus commencer à reprendre possession de mon corps et veiller à manger plus sainement, ainsi que commencer à faire de sport pour commencer à prendre soin de moi.

Néanmoins, même en faisant maintenant attention à mon corps et ceux, depuis quelques années, j'ai malheureusement gardé les marques de mon passé. Je n'en ai peut-être pas retiré que du mauvais, gardant une poitrine imposante et un fessier rebondis, mais par le passé, elles n'étaient pas aussi fermes qu'elles ne le sont maintenant. Et puis, je garde un certain tour de hanches en chair que je n'arrive que difficilement à effacer petit à petit et la peau de mon bas-ventre a perdu de son élasticité tellement elle fut maltraitée, gardant également des vergetures sur mes hanches, ainsi que mes cuisses. Mon corps n'a donc rien de si enviable que cela, une fois qu'il n'est plus caché de ses vêtements, malgré les muscles que l'on sent maintenant sous ma peau.

Et au final, mon poids se situe toujours sensiblement au-dessus de ma courbe médicale, pesant soixante-sept kilogrammes, pour un mètre soixante-huit.



Histoire
 

Histoire : Je suis née dans une vieille, noble et nombreuse famille de thérianthrope reptile, d'Iran. Enfin, la noblesse je ne l'avais pour ma part, que de nom. Car les véritables nobles de ma famille, c'était les gros gabarits. Des crocodiles du Nil, des marais et de mer comme l'était mon arrière-grand-tante, ou bien des serpents tels que le dhaman ou le cobra royal. Les Nazem de la branche principale, avaient beaucoup de relations, que cela soit au sein des autres familles de thérianthrope, ou bien dans la politique du pays. Ils étaient très proches du Shah et se voyaient comme lui, faire de puissantes alliances avec les Etats-Unis. 

Mais tout ne se passa pas comme prévu. Après l'abdication forcée de son père après la Seconde Guerre mondiale, l'arrivée du nouveau Shah pourtant si ami avec les Américains, ne plu pas à beaucoup de monde, notamment au clergé et au peuple. Et les réponses plus que violentes du nouveau Shah pour mater les mécontents n'arrangea en rien l'état d'esprit du pays... Mais les Nazem s'en fichaient eux, ils étaient protégés et bien installés dans leur petit cocon, à faire prospérer leur famille et chercher à gagner le plus possible d'influence, que cela soit chez les thérianthropes, qu'auprès des politiques actuelles. Et nous les petits et moyens gabarits, nous n'étions pas si mal lotis non plus. Car malgré notre gabarit inférieur, nous restions des Nazem et le sang des plus forts coulaient dans nos veines. 

Nous pouvions donc être de parfaites mères porteuses, si les plus gros venaient à avoir un défaut de procréation. Et nous pouvions par ailleurs, nous-même être offerts à d'autres gros gabarits hors de la famille, si cela pouvait renforcer les liens qui unissaient les familles influentes. Oui, malgré la colère d'un peuple qui grondait, les Nazem continuaient à faire leur petite vie, sans guère se soucier des autres. Puis finalement, le Shah fut déchu et fuit le pays. Alors, pour ne pas subir l’exécution, comme la plupart des collaborateurs de l'ancien souverain, les Nazem fuirent, aux quatre coins du monde. Certains partirent aux États-Unis, les plus puissants d'entre nous pour la plupart, d'autre au Canada, au Royaume-Uni, ou encore en Allemagne. Mes parents et une partie de ma famille, partirent pour leur part, en Australie. Et ce fut là-bas que je naquis. 

Jeune thérianthrope à l'apparence d'un varan du Bengale, je n'avais guère de réelles valeurs aux yeux de ma famille, si ce n'est celle d'être fertile. Et mes deux parents avant moi, n'avaient pas non plus des gabarits plus importants, ma mère étant comme moi une varan et mon père un serpent de poids moyen. Nouvelle famille émigrée, nous ne cherchâmes guère à modifier nos coutumes pour nous intégrer dans ce nouveau pays. Il y avait tellement eu d'immigrés iraniens avant et après nous durant le temps de la diaspora, que nous nous regroupâmes vite en une communauté, dans laquelle je grandis en suivant les coutumes de l'Islam. Pourtant, avec mes yeux verts et ma chevelure blonde qui apparurent de temps à autre lorsque mon aura disparaissait, j'aurais pu facilement m'intégrer en tant qu'australienne dans ce pays. 

Je grandis donc paisiblement, quoi que dans une famille qui restait tout de même misogyne et sectaire, malgré le continent occidentalisé sur lequel nous vivions. Bien que j'eusse naturellement plus de chance que les générations avant moi, sur ce point de vue. J'étais déjà à cette époque-là, une petite fille sage et silencieuse. Obéissante auprès de mes parents et du reste de ma famille, je n'en étais pas moins vive d'esprit, même si rare étaient les fois où j'ouvrais la bouche pour discuter un ordre que l'on me donnait. J'appris également assez tôt à contrôler mon aura, voyant en celle-ci un signe de faiblesse que ma famille ne cessait de mettre en avant. Enfin, je n'étais, bien sûr, pas la seule ciblée, nous l'étions tous. Car rare étaient les Nazem de poids lourd à avoir émigré en Australie avec nous. Je savais déjà que ma fonction principale pour la famille, ne serait plus tard que pour procréer, si l'occasion se présentait. 

Et à six ans, j'avais déjà lu suffisamment de livres de mon âge sur le sujet, pour être profondément dégoûtée de la chose. Même si cela n'influença en rien mon désintérêt total pour les relations charnelles. Je surpris une fois même, mes parents s'accoupler à travers la porte entrebâillée de leur chambre, alors que je venais leur demander de faire moins de bruit. J'avais été curieuse, mais pas assez pour ne pas me détourner, afin d'aller prendre un verre d'eau et me recoucher avec un livre, une fois que j'avais compris ce qu'ils faisaient. Et un cousin en pleine puberté n'arrangea en rien mes affaires, lorsqu'il me demanda de jouer à des expériences avec lui, parce que ces hormones de jeune adulte le poussaient à assouvir sa curiosité de découvrir le corps d'une fille. Ou d'une cousine de cinq ans sa cadette. Et je l'avais suivie par simple curiosité, me laissant faire comme un pantin. Des jeux d'enfant, rien de plus, rien de moins. Ma mère avait été scandalisée en nous découvrant.

Je me souviens avoir pris une claque mémorable ce jour-là. Et mon cousin passa probablement la pire journée de sa vie, quand ma mère en informa son père. Dans une famille aussi religieuse que la nôtre, la fidélité et les pratiques en-dehors du mariage étaient péchés. Même si cela n'avait rien de réellement grave. Je repris le cours de ma vie sans que cela n'y change quoi que ce soit, allant à l'école, écoutant les enseignements et faisant bien mes devoirs. Je n'étais pas la meilleure élève de mon école, ayant des difficultés dans quelques domaines, notamment les mathématiques et l'art plastique, mais j'étais cependant de loin la plus sage, ce qui faisait que les professeurs fermaient les yeux sur mes difficultés et ne me gondaient pas, là où d'autres auraient subi une humiliation en public. Enfin, une humiliation à l'échelle d'un enfant, une simple réprimande sans importance, à l'échelle d'un adulte. 

Je poursuivis ainsi ma vie, tentant de faire du mieux que je pouvais dans les matières scientifiques, mais n'obtenant que des notes moyennes malgré mes efforts, mais excellant de plus en plus dans les matières littéraires. Je voulais devenir plus tard une romancière, que je disais à mes professeurs, même si je savais bien que je risquais de changer d'avis pour un métier plus terre-à-terre et financièrement intéressant, lorsque je serais devenue plus mature. Ce qui fut effectivement le cas plus tard, désirant alors devenir bibliothécaire. Mais en attendant, je continuai mon collège avec mon idée d'écrire des livres, jusqu'à ce que mes parents décident de m'inscrire dans une académie de renommée, uniquement pour les thérianthropes et se situant au large des côtes du Royaume-Uni. Ils espéraient ainsi que je ferais de grandes études et que je puisse y faire des rencontres intéressantes pour les Nazem. 

Mais ma scolarité, là-bas, se fit dans le calme. Je rencontrai des gens avec lesquels mes parents s'empressent de chercher à faire connaissance, mais sans plus. Je me fis quelques amis, les perdis, en eus de nouveaux, passai mon diplôme, une vie normale, avec simplement des parents omniprésents. Mon embonpoint de l'époque me complexait déjà depuis le collège et j'avais veillé à faire plus attention à mon équilibre alimentaire en étant, toute seul, dans cette académie. Mais bien sûr, à chaque repas de famille, on me trouvait trop « maigre » et on s'empressait de me faire regagner les quelques kilos que j'avais laborieusement perdus. Je finis par laisser tomber pour le reste de ma vie d'adolescente et retournai en Australie pour faire mes études, afin de devenir bibliothécaire. Ayant toujours eu du mal à couper le cordon qui me reliait à ma famille, j'étais revenue auprès d'elle après mon cycle de lycée à l'académie. 

Mais une fois mes études terminées, je décidai de m'émanciper et quitter le foyer familial pour m'installer toute seule. Cela fit hurler beaucoup de gens, dont ma mère qui voulait me garder auprès d'elle tant que je n'avais pas de mari. Et ce fut très dur pour moi de lui résister, mais je tins bon. Je me trouvai un petit emploi dans une librairie le temps d'acquérir un peu d'expérience et commençai enfin à reprendre mon corps en main et à réellement maigrir. D'une certaine façon, je commençai enfin à m'épanouir, malgré les pressions familiales qui étaient toujours très présentes. Je vivais dans la même ville que mes parents et donc je les voyais que trop régulièrement. Je vécus ainsi quelques années, passant de bouquiniste à bibliothécaire dans une médiathèque et finalement, je trouvai l'occasion de quitter le pays en envoyant une candidature auprès de l'académie que j'avais fréquentée durant mes années de lycée. 

Aucun poste n'étant à pourvoir, je dus encore patienter quelques années en travaillant en médiathèque, avant qu'ils ne m'informent qu'une place s'était libérée et que je pouvais postuler. Ce fut donc pour moi l'occasion de plier mes bagages et de quitter le pays. Là-bas, le climat était moins aride que je ne l'avais subi jusqu'ici, bien que plus frai et qu'il allait donc falloir que je fasse à nouveau attention à mon corps. Au moins allais-je plus fréquemment pouvoir profiter du doux son de la pluie… Et j'allais être loin de ma famille trop envahissante, sans être si éloignée que cela. Ils savaient où j'étais et je ne doutais pas une seule seconde que je n'allais pas être la seule Nazem à passer par cette académie, même si c'était sous des noms de famille différents. Ce fut donc à mes trente et un ans que je partis pour le Royaume-Uni pour la seconde fois et cela fait maintenant cinq ans, que j'y travaille paisiblement.



Autre : J'ai eu par le passé, une arrière-grand-tante nommée Balkis Al-Mansûr, une thérianthrope crocodile de mer de gros gabarit mariée à un émir arabe et qui ont séjourné au manoir des Adamovitch.


Suppléments
 

Le code : validé
Ton pseudo : Alister.
Ton âge : 22ans dans pas si longtemps que ça~
Notre découverte : Une cousine. Qui ne peux pas s'empêcher de reprendre des forums et de harceler ses propres pour qu'ils la suivent.
Ta présence : A peu prêt tous les jours =3
Ton avatar : Tia Harribel ; Bleach
Tes références : Je les ais lu et vu, même si les charadesign sont mille fois plus appréciables en OAVs...
Un rajout : Non  =3

Balkis Nazem
Invité
Anonymous
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Sam 20 Mai - 1:49
Bonjour~

Fiche très intéressante, ça fait du bien de voir ces conditions de vie d'une famille ancienne de gabarits inférieurs. On en manquait un peu.

Je te re souhaite bon jeu parmi nous.~

♣ Tu es validé(e) ♣


Va maintenant faire ta fiche de relations pour pouvoir faire plein de liens différents avec les autres membres du forum, ainsi que ta fiche de RPs pour que tu puisses tout de même savoir où tu en es dans tes aventures sur le forum ! Une demande de logement peut-être intéressante aussi, si tu veux avoir un petit chez toi et surtout... si tu n'es pas un étudiant et que tu en as les moyens~ Et pourquoi pas une demande de parrainage si tu es un junior qui a besoin d'aide ou un senior qui veut proposer son aide ? Tiens ! Nous te donnons même la liste des parrainages pour que tu puisses voir qui est libre ou non ! Allez, va vite faire une demande de RP pour pouvoir découvrir de grandes aventures !
De plus, tu peux maintenant accéder au Discord du forum, pour découvrir de nouvelles plateformes de discussion !

Raphael J. Wardeck
le Barman nommé Désir
Raphael J. Wardeck
Animal : Balkis Nazem - 100% 1419087522-chien-loup-icone
Race : Chien loup de Saarloos - moyen gabarit
Orientation : Bisexuel
Messages : 343
Humeur : Neutre
Emploi/loisirs : Barman
Localisation : Peut être derrière son bar ~

Carte d'identité
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Poids: Environ 92 kg
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