Nom : Jonsson
Prénom : Sande
Âge : 17 ans, 26 octobre
Origines : Islande
Orientation sexuelle : Gay
Groupe : Junior
Emploi : 3ème année, secourisme
Dominance : Dominé
Famille de race mêlée : Atavique canidé
Animal de race mêlée : Chien de berger Islandais albinos
Appellation scientifique : Canis lupus familiaris (groupe 5, section 3, n° 289)
Quelle catégorie de poids : Léger
Identité
Goûts : Ce petit mammifère est un grand amateur de températures froides, de fraîcheur et d'eau glacée. Ce qu'il aime aussi, c'est de cuisiner lorsqu'il pleut dehors, ou encore regarder la neige tomber par sa fenêtre, quand il n'est pas dedans. D'ailleurs faites attention lorsque vous marchez avec lui dans la neige, vous pourrez facilement le perdre. Se prélasser devant un film est une activité qu'il apprécie beaucoup, car il est fan de cinéma.
Et ce qu'il adore le plus au monde, c'est les cookies. Vous voulez son affection ? Vous voulez qu'il obéisse ? Donnez-lui un cookie.
En revanche, pour ce qu'il n'aime pas, c'est très clair : il déteste la chaleur humide, lorsque le soleil tape trop fort l'été, ou le feu. Il en a vraiment très peur. La seule exception pour tout ça est quand il cuisine, mais il ne cuisine pas au gaz, limitant ce qui peut toucher au feu. Il n'aime pas non plus qu'on le prenne pour un gamin, qu'on ne lui fasse pas confiance et qu'on le déstabilise. C'est vraiment très énervant.
Caractère : Sande n'a pas un caractère facile à supporter.
Déjà parce qu'il marronne tout le temps, pour tout et n'importe quoi (mais ça reste un signe de bonne santé pour lui, car lorsqu'il ne marronne pas, c'est qu'il a un problème). Il boude facilement à la moindre petite contrariété ou désagrément qui ne l'arrange pas et préfère quand tout va dans son sens. Il n'aime pas écouter les conseils des gens, car encore un peu immature, il croit tout savoir et tout connaitre. Le fait qu'il sache qu'il fait partie d'une catégorie rare n'arrange vraiment rien. Il se permet d'être grognon la plupart du temps, mais qu'on se rassure, ça lui arrive de se lever du bon pied. Sous ses petits airs, il est également quelqu'un de naïf, qui a toujours besoin de quelqu'un (même s'il dira le contraire). Il n'a pas forcément besoin d'être entouré de beaucoup de monde, mais il n'est tout de même pas un solitaire et préfère quand il n'est pas seul. Le seul bémol, c'est sa timidité : le jeune Sande ne s'approche pas des autres rapidement. Il se montre froid et distant, mais craque rapidement quand on s'intéresse un peu à lui. Le fait qu'il soit maladroit n'arrange rien. C'est une créature de la nuit, il ne dort pas beaucoup, mais pète la forme la nuit, tandis qu'il est un peu mou la journée.
Mais je vous rassure, il a des qualités aussi voyons !
C'est quelqu'un de très appliqué (quand il ne casse pas tout), qui a le sens du travail bien fait. Quand il commence quelque chose, il le termine et le fait parfaitement bien. Même s'il est grognon et qu'il maronne, c'est un altruiste qui a le sens du partage. Il n'hésitera jamais à aider quelqu'un (Mais attendez-vous à l'entendre se plaindre par contre, même s'il le fait avec plaisir. C'est pathologique faut croire.). Il ne refuse jamais la compagnie des autres et ne les juge jamais. Ce n'est pas du tout quelqu'un de méchant. Il est, par contre, très joueur et déteste perdre, ce qui en fait qu'un de gentiment filou et très compétiteur. Dévoué aux autres, on peut lui faire confiance en fermant les yeux, car pour rien au monde il ne trahirait quelqu'un, surtout si c'est une personne qu'il apprécie. Passionné de cuisine et de jardinage, il adore inventer des recettes (bon certaines sont bizarres, mais ce n'est pas mauvais !).
Physique : Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il est blanc...
Des cheveux aux pieds, avec son déficit de production de mélanine lié à son albinisme, tout est blanc. Seuls ses yeux ont une couleur qui tranche avec tout ce monochrome : le rouge. Loin du rouge sang terrifiant, c'est plutôt un rouge apaisant proche de la couleur du rubis. Son regard est très expressif et ses yeux brillent souvent. Mais tout ça fait qu'il ne voit pas très bien (ne vous vexez pas s'il ne vous reconnaît pas dans la rue). Ses cheveux sont abondants et épais l'hiver, tandis qu'ils sont fins lorsque vient l'été. Il ne se coiffe jamais (au mieux, il démêle ses cheveux) et préfère les garder lâche. Sa peau a tendance à être toute douce et fraîche en n'importe qu'elle occasion. Il n'est pas immense, 1m70, mais révèle un corps musclé. Il marche d'un pas très léger et est étonnamment discret. Son corps ne supporte pas l'exposition directe au soleil, vous le verrez rarement à la plage, il privilégie donc l'ombre lorsqu'il est à l'extérieur. Il n'est que très rarement découvert (vous ne trouverez pas facilement de t-shirts ou de débardeurs dans son placard), et ne se sépare jamais de sa veste, car il doit protéger sa peau et ses yeux du soleil. Ses indispensables ? Des lunettes de soleil et de la crème solaire ! S'il reste plus d'une heure au soleil, il attrape de nombreux coups de soleils, jusqu'à avoir des cloques. Ce n'est pas pour autant qu'il reste le plus souvent possible dehors - mais à l'ombre.
Dans sa forme originelle de berger islandais, il est également albinos. Ses yeux sont d'un rouge un peu plus foncé, mais son pelage blanc ressemble à de la neige que personne n'aurait jamais souillée. Même s'il n'est pas très grand - 42cm au garrot - sa coloration le fait souvent remarquer. Grâce à ses poils longs, il est un peu plus protégé du soleil que sous sa forme humaine, mais vu qu'il a rapidement trop chaud, il se fourre à l'ombre plutôt rapidement.
Histoire
Histoire : C'est dans la ville d'Husavik, au nord de l'Islande, que tout a commencé. La famille Jonsson est une famille très ancienne, qui a toujours été très pure. Ils ont toujours tenu à se reproduire qu'entre bergers islandais, les étrangers étant très mal perçu à leurs yeux. Les enfants sont toujours allés dans de belles et grandes écoles spécialisées, bref, pour rien au monde ils ne se seraient mélangés. Faisant fortune grâce aux créations de routes commerciales, la famille ne manquait de rien, même s'ils ne vivaient que dans de jolies maisons et non pas dans de somptueux manoirs. Race assez répandue au nord de l'Islande, la lignée était perpétuée à chaque génération.
Mr Arent Jonsson était très différent. Rêveur, c'était un passionné qui rêvait de voir le monde. Il rencontra un jour une jeune demoiselle originaire du sud de l'Islande, qui avait beaucoup voyagé, et en tomba raide dingue amoureux. Le seul problème est qu'elle était 100 % singe. Arent a dû cacher sa liaison, son identité ainsi que le nouveau-né qui fit son apparition quelques années plus tard. Arent décida de quitter sa famille et voyagea durant de longues années avec sa femme. Lorsqu'elle tomba enceinte, ils décidèrent de revenir dans leur pays natal, dans la ville de Gardur, au sud, où était née la jeune Benia.
Le passé si pur des bergers islandais se fit complètement oublier à la naissance de leur enfant, le petit Hans, qui se trouva être un singe. Jamais son père ne repensa à la lignée, et finit par l'oublier complètement.
Le jeune Hans perdu son père quelques années plus tard, lorsqu'il avait 19 ans. La vieillesse avait emporté le dernier berger islandais Jonsson. Attristé et au plus bas, c'est une jeune femme nommée Abela, une femme singe, qui l'aida à surmonter sa peine, et qui fut près de lui quand tout allait mal. Les deux tourtereaux tombèrent petit à petit amoureux, et c'est dans ce contexte qu'est né Sande.
Lorsqu'il vint au monde, ses parents comprirent rapidement que la vie de ce jeune homme ne serait pas comme les autres. En effet, leur petit garçon était né tout banc. Le docteur ne mit pas longtemps à diagnostiquer l'albinisme de l'enfant. Ce qu'aucun d'entre eux n'avaient pu percevoir, c'était que leur fils avait hérité des gênes purs de son grand-père, et était né Atavique. Bien évidemment, Sande grandit en tant que singe, et ne se douta pas une seule seconde de sa véritable identité de berger islandais. Il fit son entrée à l'école à ses trois ans. Les enfants le trouvèrent bizarre dans un premier temps, n'osant pas vraiment rester avec lui, mais s'habituèrent rapidement à sa couleur blanche et ses yeux rouges. Il grandit paisiblement, personne ne le jugeant ou le regardant de travers. Ses profs avaient même eu la gentillesse de prévoir un intervenant spécial lors d'un cours sur l'albinisme, ce qui conforta Sande dans le fait qu'il était normal. Il adorait se rouler dans la neige quand le soir commençait à tomber.
L'entrée au collège fut beaucoup plus douloureuse. Très bon élève, il avait été accepté dans une haute école, mais aucun de ses amis n'avaient pu y avoir accès. Il s'était retrouvé seul, dans un lieu complètement inconnu, et c'est là qu'il comprit à quel point les gens pouvaient être cruels, même en 6e.
Sande se retrouva isolé dès les premiers jours, sans comprendre pourquoi dans un premier temps. Mais les insultes régulières et jeux de mots déplacés sur sa couleur eurent vite raison de lui. Chaque matin se trouva être un supplice pour lui, aller en cours n'était plus une partie de plaisir comme avant. Cette époque-là était terminée.
Au début, il était "simplement" mis à l'écart, personne ne lui parlait. Puis quand on commença à lui adresser la parole, lors de sa deuxième année de collège, se fut pour sortir des méchancetés à toute heure de la journée, même dans la rue. Suivirent les coups de plus en plus violents quand il eu 14 ans. Le garçon ne comprenait pas d'où venait cette haine, se refermant petit à petit sur lui, il ne cherchait même plus à comprendre.
C'est un soir que tout changea.
C'était en plein hiver, il faisait nuit lorsque les cours se terminèrent, et le petit albinos venait d'avoir 16 ans. Sande rentrait à pied, comme d'habitude, passant par le même chemin. Ce qu'il ne savait pas, c'était qu'un groupe de gars l'attendait. Au début, le jeune homme n'y avait pas prêté attention, et avait simplement accéléré le pas quand il entendit quelques insultes. Un des gars le rattrapa, le saisit au col et le ramena près du groupe. L'un d'entre eux filmait. Ils avaient forcé Sande à s'asseoir, et commencèrent par l'insulter et donner de petites baffes. Les coups se durcirent petit à petit, les gars frappaient de plus en plus fort, s'y mettant à plusieurs. Impuissant, Sande hurlait, mais personne ne semblait vouloir réagir.
Le coup de trop arriva quand le plus costaud des gars se munit d'une barre en fer, et tapa violemment Sande à la tête. Il s'évanouit directement et s'étendit sur le sol enneigé, taché de perles de sang. Le groupe, persuadé que le petit était mort, s'était vite tiré, laissant le corps inconscient de Sande par terre.
Sande se réveilla à l’hôpital au bout de deux jours. Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il hurla. Pendant près de 20 minutes, sans s’arrêter.
Une tripotée d'infirmières et de docteurs le regardèrent, les yeux grands ouverts. La seule chose que voyait Sande, c'était des singes. Pleins de singes autour de lui. C'était pareil pour ses parents, les autres patients, et les piétons dans la rue. Vu que tout le monde semblait oublier lorsqu'il parlait de ça, il se dit qu'il était fou, et qu'il devrait vivre avec cette folie en plus de son albinisme. Quand il sortit de l’hôpital, il ne comprenait pas pourquoi tout le monde semblait le regarder intensément. On lui parlait, on le caressait, souvent un peu trop intimement, en pleine rue. Le jeune homme s'était alors enfermé dans sa chambre, dans l'intention de ne plus jamais en sortir. Il avait même suivit des cours par correspondance pour ne pas avoir à sortir de chez lui. C'est toujours mieux d'éviter les viols.
Bon, il fit l'exception quand les premiers flocons de neige tombèrent quelques jours plus tard. Il sortit de chez lui, en début de soirée, toujours en veillant à ce que personne ne soit là, et se jeta dans la neige. Le froid apaisait ses blessures et son cœur. Il ferma les yeux et se mit à rêvasser. Pourquoi voyait-il des choses bizarres ? Et pourquoi les gens étaient différents avec lui ? Et surtout, pourquoi est-ce qu'il cumulait autant de mauvais karma !?! C'est quand il sentit une présence qu'il ouvrit les yeux et bondit sur le côté. Des oreilles et une queue blanches étaient apparus, il se mit alors à courir dans tous les sens. L'homme d'une quarantaine d'années face à lui le saisit au vol et le calma. Sande sentait quelque chose de différent, et ressentait en lui un gros félin -il ne comprit que plus tard que c'était grâce aux phéromones qu'il avait pu ressentir son aura. L'inconnu était apaisant, et le jeune homme l'écouta attentivement lorsqu'il lui parla de Thérianthropes. C'était fou, insensé, mais ça paraissait soudainement évident au jeune islandais.
Le gars se nommait Adrien, et Sande apprit plus tard qu'il était une panthère des neiges, lorsque le félin lui montra exceptionnellement son aura. Même si ça ne changeait rien pour Sande. Un gros chat c'est un gros chat, ce qui n'avait pas l'air de beaucoup plaire à Adrien. Celui-ci avait été rapidement attiré par son odeur, mais voyant à quel point le jeune chien était perdu, il se mit en tête de l'aider. Une belle complicité c'était installée entre les deux. La panthère resta près d'un an à ses côtés, lui expliquant de temps à autre qu'il n'était qu'un gentil petit chien tout mignon rare - c'était généralement à ce moment là que Sande se jetait sur lui pour le mordre, mais il se faisait rapidement remballer par le poids lourd - donc tout le monde voudrait se jeter sur lui, mais qu'il pourrait vivre "normalement" s'il se trouvait un partenaire. M'enfin c'est ce qu'il voulait faire croire à Sande. Car Adrien se révélait être assez possessif, et ne voulait pas que son élève se focalise sur quelqu'un d'autre que lui.
Et d'autres temps il lui parlait des différences entre Thérianthropes et singes, pourquoi les ataviques sont si recherchés ou encore pourquoi les gros gabarits sont plus attirants que les petits ou vice-versa, selon les goûts et les envies de chacun. Il eu droit a de petits cours théoriques, et de temps à autre de pratiques. Adrien le mettait dans des situations gênantes, difficiles ou encore faisait en sorte de le rendre fou de joie en pleine rue, le meilleur endroit pour s’entraîner selon le félin.
Les deux avaient littéralement parlant une relation "chien et chat". Ils aimaient se taquiner, s'envoyer des piques et se bagarrer.
Le jeune homme ne tarda pas à tomber amoureux de ce mystérieux et séduisant Adrien, qui de son côté ne voyait en lui qu'un petit toutou affectueux. Néanmoins, l'homme lui donnait rendez-vous plusieurs fois par mois pour lui expliquer la vie des Thérianthropes Ataviques et lui donner des cours théoriques et pratiques.
Les pertes de contrôle de Sande devenaient moins fréquentes qu'au début. Même si la plupart du temps ses oreilles n'étaient pas rentrées, il ne se transformait pas entièrement à la moindre vague trop forte d'émotion. Le progrès était dans le fait que ni sa queue ni son museau n'apparaissaient. Mais c'était toujours autant exaspérant pour Adrien. Il se souvient particulièrement d'une fois où, suite à un caprice de la part de Sande, la panthère lui avait refusé un cookie. Rouge de colère, l'islandais s'était directement transformé en pleine rue, devant la boulangerie de quartier, et aboyait dans tous les sens. Les singes voyaient un jeune homme se rouler dans la neige en hurlant, les thérianthropes eux avaient pu admirer une magnifique et ridicule perte de contrôle. Et le pire, c'est que ça lui arrivait souvent de se transformer pour un rien. Surtout quand il y avait des pigeons pas loin. Manie qui arrivait à s'atténuer au fil des mois. L'Islandais avait même regardé des vidéos sur internet pour apprendre à méditer et à faire le vide dans sa tête, afin d'arriver à ne pas retrouver sa forme initiale.
Bref, Adrien avait souvent l'impression de ne pas avancer avec ce petit truc qu'était Sande.
Au bout d'un an, Adrien, qui était journaliste, dû partir d'Islande pour se rendre en Afrique. Sande avait eu le cœur brisé, même s'il savait que c'était un amour à sens unique, il savait très bien qu'il ne le reverrait plus.
L'homme lui donna un dernier cours avant de partir, et conseilla ainsi à Sande de se rendre à l’académie. Lui qui avait prit gout aux cours à distance, l'idée de réintégrer un lieu scolaire ne lui plaisait vraiment pas. Mais au fond, il savait très bien que la solitude le pèserait sans Adrien, et après tout, grâce à lui, il avait changé petit à petit. Il s'était ouvert au monde.
Le jeune Islandais, au début pas vraiment sur de lui, avait commencé par en parler avec ses parents. Eux par contre n'avaient pas hésité longtemps pour lui recommander d'aller dans une école, qu'importe laquelle, du moment que ça lui permettait de rencontrer de nouvelles personnes. Inquiets pour lui, ils n'avaient pas vraiment cherché à comprendre pourquoi cette école là en particulier -surement qu'un ami y était déjà s'étaient-ils dit - et l'avaient accompagné dans toutes ses démarches pour rejoindre l'école, même si certaines choses leur échappaient parfois.
Et c'est comme ça que l'Atavique avait débarqué à la spa, valises en main. Fraîchement arrivé, il est encore un peu perdu et intrigué par l'endroit.
Autre : //
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Le code : ValidéTon pseudo : Halo
Ton âge : 20 ans
Notre découverte : Complétement par hasard !
Ta présence : Tous les jours
Ton avatar : Subaru Sakamaki dans Dialolik Lovers
Tes références : OAV vu | Lu les premiers tomes du manga !
Un rajout : Pas d'idées pour l'instant ^^