Charlie T. D'Amours
Nom : Tremblay D'Amours
Prénom : Charlie
Âge : 17 ans, 28 mars
Origines : Franco-canadien
Orientation sexuelle : Homosexuel
Groupe : Junior
Emploi : 2 ème année, club de chant
Dominance : Dominé (enfin lui croit l'inverse)
Famille de race mêlée : Ours
Animal de race mêlée : Pékan ou Martre de Pennant ou Martre-pêcheuse d'Amérique du Nord
Appellation scientifique : Martes pennanti pennanti
Quelle catégorie de poids : Léger
Identité
Goûts : Aime :
Les risques - L'aventure - L'art - Les rêves - La fête
N'aime pas :
La monotonie - Les règles - La violence physique - L'enfermement
Niveau goût, je suis assez simple puisque de nature je sais ce que je veux et je fais tout pour l'avoir. Comme le monde dans lequel je vis ne me plait pas, je mets tout en oeuvre pour le lui faire comprendre en effectuant précisément l'inverse de ce qui m'a été demandé. Oui, c'est être très casse-couille. Oui, j'adore ça et non cela n'a aucunement comme source mon adolescence puisque j'ai toujours été sur cette lancée qui m'est propre.
La plupart du temps, je ne fais pas attention à ce qui me déplaît et le provoque même par des gestes, des paroles et des façons d'agir, de me comporter. Cependant, lorsque je suis moins dans mon assiette, car oui cela m'arrive aussi, et que je ne sais tout simplement pas à y faire face, je me rétracte afin de me cacher dans ma bulle, le seul endroit où je peux rêver sans qu'on ne vienne m'y déranger.
Mon idéal de vie serait de partir avec comme unique objet un sac sur le dos ainsi que tous mes espoirs, mes envies, mes passions et comme seul souci, celui d'être en quête de nouveautés. Les routines banales et quotidiennes de la vie ne m'intéressent pas le moins du monde. C'est tellement plus amusant de voyager, d'être à la recherche d'un nouveau paysage, à la découverte de cultures diverses et variées. A quoi bon se restreindre à exécuter les mêmes tâches, aux mêmes heures, les mêmes jours puisqu'ils finissent par se confondre tellement ils se ressemblent. Il m'est clairement impossible de satisfaire une société basée sur un vide que l'on doit combler par du travail qui, dans 90% des cas, ne nous satisfait pas, à côtoyer des merdes qui nous dérangent plus qu'elles ne nous soient d'une quelconque aide ou utilité pour au final se tasser telle une grosse tarte sur le dépotoir qu'est notre vie, à répéter sans cesse, comme des robots, les mêmes faits et gestes plus ou moins 300 jours par ans.
A choisir, je préfère l'aventure de tous les dangers quitte à attraper le choléra, être amputé d'une jambe, perdre un œil et mourir seul dans la jungle que de me taper l'ennui absolu. Selon moi, c'est du pareil au même donc autant le faire en s'amusant.
Caractère : Bon, c'est ici que ça se gâte pour vous parce que je ne suis pas quelqu'un de très facile à cerner en profondeur. Au premier abord, tout semble simple, je me fais connaître par ma spontanéité. J'agis sur l'instant et ne réfléchis pas aux conséquences de mes actes ou de mes paroles. Ce n'est pas que je m'en fiche... enfin... ça dépend, je ne sais pas vraiment vous le dire. Voilà, si je devais résumer ma personnalité en un mot cela serait "variance" puisque tout simplement on ne sait pas déterminer à l'avance ce que je suis ainsi que ce que je serai susceptible de faire ou de dire. La situation dans laquelle je me trouve, la ou les personnes avec qui je partage ce moment, l'endroit où je suis et mon état d'esprit sont des facteurs qu'il faut prendre en compte pour espérer imaginer ce qu'il se produira.
Je recouvre un peu toutes les facettes, autant je sais me montrer hypersensible en cultivant un chagrin d'une durée indéterminée, autant je peux me forcer à rester insensible face à des sortes d'atrocités qui, en d'autres temps, auraient été insoutenables pour mes yeux ! Cependant, il y a un juste milieu à tout ça. De nature, pour vous donner une idée globale de ma personne, je me montre très souriant, bon vivant, jovial, optimiste et toujours prêt pour faire des farces et prendre le chemin inverse des règles. En gros, je ne suis pas le petit timide qui reste à l'écart, ni la grosse brute qui force le passage qui sont des stéréotypes ne me collant pas du tout à la peau.
A côté de ça, j'ai un caractère assez explosif donc je m'emporte assez vite ce qui à tendance à rapidement faire resurgir certains côtés sauvages. Des petites oreilles se dressent souvent sur ma tête tandis que du côté de la chanson cela me permet d'y refouler toute ma colère.
Physique : Physiquement parlant, c'est la honte ! Autant je peux me détester, autant parfois je peux m'admirer. Posons d'abord les bases ; je suis un véritable androgyne, comme ça c'est fait. Je sais, c'est le stéréotype parfait du petit agneau blondinet, à la peau laiteuse et aux apparences féminines, bah ouais et alors, que veux-tu que je te dise ? C'est comme ça que j'ai été conçu et même passer sur le billard ne m'arrangera pas le coup partout !
Donc, j'ai les cheveux mi-longs et blonds comme le blé qui sont la cible de coiffures en tout genre, que ce soit du chignon bâclé à la petite queue de cheval en passant par une touffe loin d'être dressée. Mes yeux sont noisettes ou bruns pour les plus terre à terre tandis que mon nez est fin et légèrement retroussé en sa pointe, ce qui peut donner cet aspect mignon.
D'ailleurs, s'ajoute à ça ma taille qui, elle, se rapproche plus des sept nains que de Blanche-Neige puisque je mesure à peu de choses près 1m70 ! Bon... d'accord... 1m66, mais pour 4cm on ne va pas chipoter, n'est-ce pas ? Ma peau est assez blanchâtre et aucune forêt ne s'est décidée de pousser dessus. VIVE LES IMBERBES !
Mes hanches se taillent en buste de guêpe alors que pas le moindre muscle ne se dessine sur mon petit torse. Cela ne veut pas pour autant dire que je suis grassouillet, non, non, non ! Je suis mince, même très mince puisque je pèse dans les alentours de 49kg, ce qui me fait une silhouette de jeune homme frêle.
Pour ce qui est de mes vêtements, j'appuie sur mon côté androgyne en choisissant des pièces qui peuvent porter à confusion et j'avoue même parfois piocher dans les rayons réservés aux femmes. Une particularité lorsqu'on me croise c'est que je me parfume très souvent, là aussi avec des odeurs florales et féminines.
Histoire
Histoire : Je suis né au Canada, là où mes parents vivaient et finirent par m'amener dans leur mignon petit chalet perché dans les hauteurs d'une forêt sombre en plein hiver. Mille et uns flocons virevoltaient sous le souffle glacé du vent qui était visiblement dans un état de colère. J'ai encore le souvenir de maman qui me serre contre sa poitrine tout en essayant de m'apporter un quelconque intérêt sur ces lucioles blanchâtres qui tombent par paquets tandis que je prends un malin plaisir à jouer avec une sorte de petite poupée en tissu et à la déchirer sous mes dents. (
ouais, elle tenait plus un veau qu'un enfant 8D)
C'est le souvenir le plus lointain qui m'est resté en tête. Après ça, aucun événement marquant ne refait surface, certainement parce qu'il ne s'est réellement rien passé d'incroyable ou d'excitant. Je suis enfant unique et mes parents m'aimaient de tout leurs cœurs. La situation financière de maman et papa n'avait aucun soucis à se faire en tant que, respectivement, professeur d'histoire de l'art et avocat de l'art à l'université de Montréal. Ils avaient ensemble déménagés au Canada alors que j'étais déjà en train de prendre de la place dans leur vie si remplie (
en gros, maman enceinte, quoi). Mon père est français de souche tandis que ma mère est canadienne, cependant elle a longtemps exercé ce même métier, mais en France. C'est lors de ce voyage à la capitale de la mode, qu'ils se sont rencontrés et ont décidé de fonder une famille en me souhaitant, moi !
Quoi de plus simple comme attirance en ayant une mère possédant la même race animale que la mienne et un père venant d'un ours brun européen, donc un très gros gabarit. Enfin... je ne parle pas de... hein... enfin, j'ai pas été vérifier, quoi !
Comme dit plus haut, mon enfance se passe sans trop d'encombres, sauf qu'on remarque que dès mon plus jeune âge que je suis un casse-couille de service qui peut s'y mettre quand l'envie le prend, que mes racines d'ourson plus que chiant reprennent facilement le dessus... Je peux vous dire qu'ils n'ont pas chaumé pour m'apprendre à me maîtriser !
Enfin bref, je quitte à contrecœur, et c'est ce qui me sera plus tard fatale, ma terre natale qui est le Canada, endroit où je me sentais bien, chez moi, totalement relaxé et détendu, peace and love avec mes potos les ours, pour regagner celle de mon papa, la France ! (
1789 izzi pizzi) Pas de bol pour eux, j'ai les nénés qui poussent (
enfin peut-être pas), la bebar qui me pend au menton (
ça non plus) et les hormones qui me grattent le trilili. Ça y est,
the puberty is here pour tous royalement vous exploser les couilles. Qui dit l'arrivée des 15-16 ans, dit âge rebelle. (
Oui, moi c'était à cet âge là) Je commence à littéralement péter un plomb et décide, vu que l'on m'a privé de mes passions et de mon bonheur, d'en faire de même pour les autres tout en ayant comme seule devise de ne plus faire ce que l'on me dit ou me dicte.
Ce passage était assez... assez... comment dire... éprouvant, voilà ! (
pour eux, pas pour moi) Et bien, ce fut clairement la merde pour mes parents de m'inculquer l'art de la maîtrise de l'aura. (
bah ouais, les hormones, les phéromones, tout ça, tout ça... Et oui j'ai appris tard ! Je voulais pas, on m'y a forcé.) Deux cas de figures se posaient parallèlement l'un par rapport à l'autre et se disputaient afin de savoir lequel des deux allait prendre le dessus. Premièrement, je n'en faisais qu'à ma tête et décidais seul si j'avais envie d'apprendre ou non à contrôler mes "transformations" et mes "pulsions animales". Deuxièmement, les facteurs du jeune âge et mon caractère en plein développement mettaient tout en oeuvre pour littéralement dérégler le peu de conditionnement qui m'avait été instauré, notamment par des crises de colères, de larmes ou de joies un peu trop excessives.
Les cours devenaient une catastrophe tandis que ma peine, qui s'était désormais transformée en colère, commençait à sérieusement mettre mon bien-être en péril, ce qui a rapidement fait réagir mes parents qui ont décidé de m'envoyer, quelques mois plus tard, dans un établissement réservé aux "personnes comme nous". C'est-à-dire les attardés, quoi. Enfin... les... spécimens... je veux dire les... les types du style "je ne suis pas tout seul dans ma tête"... ni dans mon corps, d'ailleurs.
Arrivé dans cet école, je savais déjà plus souvent contrôler mes ardeurs. On va dire qu'avant que je parte pour l'île située non-loin du Royaume-Uni, je m'étais décidé à quand même faire un effort. L'envie y était, mais mon caractère rendait le self-control plus compliqué que prévu avec quelques situations à encore travailler, mais je m'en sortais. Néanmoins, ma façon de penser ne divergeait pas, et je finis par développer par la suite un intérêt pour l'art sous toutes ses formes, ces derniers me servant de tranquillisants.
Mais ma quête de bonheur et de justice n'avait pas achevé son chapitre final et je compte bien boucler l'histoire dans les années qui arrivent !
Autre : Je suis un petit biscuit.
Suppléments
Le code : Validé.Ton pseudo : Bah... A vous de choisir !
Ton âge : 18 ans, bibiche !
Notre découverte : Je vous connais déjààà (
c'est malaisant)
Ta présence : Coquin, vas ! On se connait à peine ! (
tous les jours s'il faut !)
Ton avatar : Mamura - Hirunaka no Ryuusei
Tes références : Oui, vuq !
Un rajout : Rien, pour le moment !