Présentation ─ Ekaterina Iasneïev. [ 100 % ]

Goûts :
« J’apprécie énormément écrire. J’aimerai bien écrire un livre sur le handicap. J’aime aussi manger les pâtisseries. Je trouve cela délicieux ! Pour mes amis, j’adore prendre  du temps pour cuisiner. Les voir sourire, et heureux pour moi, c’est le plus important. J’aime aussi donner des cours à mes élèves. Pouvoir leur apprendre ce qui me tient tant à cœur cela
Je n’aime pas que les personnes se moquent des autres. Je n’aime pas que l’on s’en prenne à autrui juste parce qu’il est différent. Je n'aime pas non plus que l'on parle trop vite. Je ne parviens plus à suivre, et cela m'ennuie. Mais je n'ose pas le dire, alors cela me frustre encore plus.
J'ai aussi une phobie. A mon grand désespoir. J'ai une grande horreur des clowns. Cela peut paraître idiot, mais dès que j'en vois un, que ce soit dans un cirque ou dans la rue, je ne supporte pas cela. »

Caractère :
« Je vous écris actuellement ces mots pour vous dévoiler mon caractère. Je suppose que je n’ai pas d’autre choix. Je ne peux ni vous parler, ni vous entendre. Je vous expliquerai probablement plus tard.
Je ne suis pas réservée, mais j’ai des difficultés à me faire des amis. On m’a souvent qualifiée de curieuse, mais aussi de boulet. Je ne suis pas spécialement maladroite, mais mon handicap me donne cet aspect. Je ne fais pas exprès. Mais j’ai tendance à ralentir les gens sans vraiment le vouloir.
Malgré cela, je reste tout de même directe. Je n’ai pas peur d’écrire ce que je pense. Enfin, je ne me rends pas compte de certaines situations. Des conséquences que cela peut engendrer. Malheureusement, je doute souvent de mes actions. Avec tout ce qui se passe autour de moi, je me remets souvent en cause.
Je suis toujours prévenante. Par exemple, dans mon sac, je transporte souvent de quoi me soigner. On m’a souvent parlé d’une patience hors du commun. De toute façon, pour moi, il faut être souvent patient lorsque l’on nait avec un handicap.
Je fais de mon mieux pour être mature. Je ne souhaite pas répandre la tristesse, la douleur, et la haine. Je veux que tout le monde sache que l’on peut vivre normalement lorsque l’on est handicapé. Bien qu’il y a pire. Je veux simplement que mes élèves apprennent à être gentil avec autrui. Que les enfants comme moi ne dépriment pas. »

Physique :
« Je tiens à préciser que je n’apprécie pas que l’on se trompe sur ma taille ; je mesure exactement un mètre soixante-sept et demi. Mes amis étant beaucoup plus grands que moi, je ne complexe pas sur ma taille, mais je n’aime pas qu’ils me retirent mon 0,5 cm.
Quant à mon physique, comment le décrire. Tout d’abord, j’ai des cheveux roux, et une coupe au carré. Au début, je n’en voulais pas. Mais disons que j’ai été distraite, et je me suis retrouvée avec un chewing-gum collé dans les cheveux. J’ai dû me rendre en vitesse chez un coiffeur afin qu’il me coupe tout cela. Au final, j’ai bien aimé cette coupe au carré. Avec mes yeux verts, et une frange, cela me donnait un air plus enfantin. Je ne sais pas si cela est bien ou non. Mais peu importe.
Le teint pâle, je ne prends pas le soleil très rapidement. Tant mieux, je suppose. Je semble quelque peu frêle face à mon poids ne dépassant pas les 55 kilos. En revanche, ma poitrine semble décidée à contredire ce corps ; du 85D. Cela me complexe un petit peu, mais j’évite de la mettre trop en valeur.
Mes vêtements ? Cela vous intéresse aussi ? Hm. Je n’ai pas de style particulier. J’abhorre tout ce qui est trop décolleté. Simplement parce que je n’apprécie que l’on remarque trop mes formes. Cependant, j’apprécie les robes qui montent jusqu’aux genoux. Des robes volantes. Je déteste tout ce qui est moulant. Mais j’avoue qu’une fois de temps en temps, cela peut toujours être plaisant. »




Histoire :
« Je suis née dans la ville d’Arkhanguelsk, en Russie. Mais, peu après cela, mon père voulu déménager en Australie. Il avait ouvert quelques entreprises dans mon pays natale, et souhaitait réitérer son geste dans cette terre nouvelle qui nous accueillait.
Je vivais une vie paisible, mais lors des années qui suivirent, mes parents découvrirent une nouvelle qui allait les bouleverser. Quant à moi ? J’étais simplement trop insouciante pour savoir l’avenir difficile qui allait s’ouvrir à moi. J’étais née malentendante, et je risquais de ne pas parvenir à me débrouiller seule au cours de mes premières années d’études.
Etrangement, et contrairement à ce que beaucoup auraient pensé, au lieu de mal le prendre, mes parents se sont faits plus protecteurs. Cependant, ils ne souhaitaient pas que j’entre dans une école spécialisée. Très vite, tous nous avions appris la langue des signes. Au fil des années, j’étais devenue très douée pour cela. J’apprenais vite.
Malgré cela, peu de personne connaissent la langue des signes.
J’ai finalement reçu un cadeau qui allait m’aider ; un cahier. Cela semble anodin, n’est-ce pas ? Figurez-vous qu’à l’aide de ce présent, je pu aisément tenir une conversation.
Dans mon nouveau pays, et dans ma classe, j’ai rencontré un jeune homme nommé Nathanaël. Les autres se fichaient pas mal de ma présence. Bien qu’il avait l’impression que je les ralentissais, ils aimaient voir jusqu’à quel point je n’entendais pas. En dehors de cela, ils n’étaient pas méchants. Ils me laissaient tranquilles. Je ne les approchais pas.
Quant à Nathanaël, comment dire … J’aimais beaucoup sa présence. Mais il était un élève lent. Très lent. C’était peut-être pour cela que je m’entendais avec lui, non ? Je ne sais pas. Enfin bref. Mes parents étaient contents de voir que je pouvais m’entendre avec des personnes normales. Ils étaient fiers de moi.
Le 13 octobre, mon ami m’a invité à son anniversaire. Je me suis donc rendue chez lui, où j’ai pu faire la connaissance Warren Ruby Hoddgard. Un jeune homme assez spécial. Je craignais d’abord qu’il s’amuse de mon handicap. Mais au final, tout s’est bien passé. Et dès ce jour, nous étions tous les trois inséparables.
Les années passèrent. Bien que mon ainé ne soit pas dans la même école et beaucoup plus âgé que nous, je passais assez de temps auprès des deux garçons. Malgré le langage des signes que j’essayais de leur transmettre, nous nous étions tout de même inventé un langage spécial afin d’éviter que nos parents comprennent. C’était amusant. Mais Nathanaël ne suivait pas toujours. Quand il s’agissait d’apprendre, je pouvais surtout compter sur Warren.
Ce n’est qu’une fois au collège où nous avions plus de mal à nous voir ; je n’ai pas pu entrer dans celui de Nathanaël. Mes parents ont préféré me transférer dans une école spécialisée où je pouvais approfondir mes connaissances. Ils se sont bien rendus compte qu’après toutes ces années, il était plus difficile pour la classe de suivre avec une malentendante qui demandait souvent aux autres de répéter.
Après quelques années d’études, je finis par devenir professeur en langue des signes. Ayant subis une éducation sur les thériantropes, puisque mes parents m’ont toujours expliqué ce que j’étais, j’ai directement postulé dans une académie spéciale. Je m’y suis rendue pour un entretien. Malheureusement, ce fut plutôt difficile de se comprendre. Mais rapidement, il a probablement trouvé cela utile de prendre une vraie malentendante pour ce genre de cours. J’ai eu donc la chance d’être acceptée. »

Autre : « Je suis malentendante.
J’ai deux meilleurs amis ; Nathanaël que j’essaie parfois de prononcer. Dans ce cas-là, je le prononce Nana
Quant à Warren, plus âgé que nous, je me contente d’essayer de prononcer deux fois la première syllabe. Wawa. »




Le code :Validé
Ton pseudo : Mac.
Ton âge : Bientôt 20 ans.
Notre découverte : Nathanaël A. Carlton
Ta présence : Au moins deux fois par semaine.
Ton avatar : Nanami Haruka de Uta no Prince-sama.
Tes références : Non, je les regarde ce soir.
Un rajout : Le jaune sur le blanc ça fait mal aux yeux …