Acide sulfurique ♋

Goûts :
Il est assez difficile de connaître ses préférences. A par tout ce qui se rapproche de l'art du combat -que Nocturne apprécie d'autant plus quand il doit être amener à manier des instruments-, le jeune homme préfère ne rien laisser savoir de lui. Mais en creusant un peu, on peut découvrir son amour de la musique, ou plutôt d'un instrument, le piano. Il n'aime pas l'eau, sauf quand celle-ci tombe du ciel. Appréciant la vue du ciel déchaîné, il ne sera pas rare de le voir se poster à une fenêtre, ou à l'extérieur de sa chambre lorsque tout le monde se mettra à l'abri de l'orage. Sinon, Yumi pratique le parkour, discipline dans laquelle il excelle presque plus que les arts martiaux et affectionne tout particulièrement un animal, celui avec lequel sa soeur est mêlé, le loup.
A contrario, le brun déteste être dérangé dans quoique ce soit. Il ne supporte pas le bruit, le sucre et les lâches et fuit la présence humaine comme le choléra.
Mais bien sur, ses préférences ont tendance à se transformer du tout au tout alors ne vous fiez pas trop à ces mots.

Caractère :
Nocturne, c’est ce genre de personnage indescriptible, que tu croises dans le coin d’une ruelle sombre, que tu oublies, puis qui réapparaît au milieu de la foule un jour de fête, comme une tache sombre dans toute cette gaieté.
Tu l’as bien compris, ce n’est pas le mec avec qui tu pourras passer tes journées à jouer à la PS4 ou à chasser des papillons.

Déjà, il faut réussir à l’approcher, ce qui n’est pas une mince affaire. Distant, et d’apparence froide, le jeune homme ne donne pas l’impression de vouloir de sociabiliser. Il est cependant très curieux mais ne supporte pas le bruit, et devoir courir après des gens, ou d’autres choses, ce n’est pas dans son style. Il préfère attendre là, coucher sur la branche d’un arbre à regarder la voûte céleste qu’à assister aux cours comme tout bon petit étudiant qui penserait à ses études, à son avenir ou à sa vie. Il possède malgré tout une puissante capacité d'analyse qu'il n'hésite pas à exploiter.

Si tu veux l’approcher, il y a au moins une chose à savoir. Ce n’est pas un secret, ni un tabou, mais on envisage ce trait de caractère comme un défaut. Pourtant, c’est une facette du jeune homme qu’il faut savoir accepter. Son lunatisme. Ce qui le rend unique c’est bien ça. De temps à autre, il arrive de croiser quelqu’un qui rigole pour un rien et qui juste après paraît tout calme, voir triste. Mais lui, ce n’est pas ça. Ce n’est pas de cette manière-là qu’il faut le voir. Aussi changeant que la mer, le brun est capable de passer d’un état de sérénité absolue à la rage la plus terrifiante qu’il te soit donné de voir. Un vrai fou enragé.

Si on devait parler de cet aspect comme d’une bipolarité, nous pourrions définir deux états bien précis :

Le côté calme et bienveillant du pensionnaire, qui reste malgré tout froid et distant avec le commun des mortels. Mais qui peut néanmoins développer une certaine affection pour quelques élus. Dans ce cas là, il sera protecteur et fera en sorte qu’ils soient heureux et veillera sur eux de près comme de loin. Si quelqu’un venait à leurs faire du mal qu’il soit de nature physique ou psychologique, Nocturne pourrait basculer d’un extrême à l’autre, ce qui nous conduirait à son second aspect (en cas extrême tout du moins).

Immédiatement, le traceur deviendrait d’une agressivité sans nom. Il entrerait immédiatement dans un état de rage tellement intense que dans ces moments-là, on pourrait le qualifier de fou, ce qui n’est pas tout à fait dénuer de vérité. Son sadisme et son machiavélisme serait révélé au grand jour, et, étant violent de nature, le brun n’hésiterait pas à employer la force pour faire payer ses actes à sa pauvre victime.
Homme ou femme. Enfant, ou adulte. Qu’importe pour lui, il ne fait plus la différence, il ne l’a jamais faite. Pour la suite, je te conseille de le découvrir par toi-même. Qui sait, il y a sans doute des facettes que j’ai omis de révéler…

Physique :
Du haut de son crâne jusqu'à la pointe de ses pieds, Nocturne doit mesurer 185 cm. Une bonne taille pour un garçon, en soi. Il ne pèse pas plus de 75Kg, ce qui est relativement léger pour un jeune homme de cette taille.

Yumi possède un visage fin et froid, comme gravé dans un marbre clair, encadré par de longs cheveux couleur encre aux reflets bleutés qui glissent en cascade sur son dos. Ceux-ci sont attachés en catogan au sommet de son crâne en catogan. De sa chevelure raide dépassent deux oreilles aux pointes rondes, la droite étant ornée de deux petits anneaux d'argent qui cliquetaient lors de son passage.

Sa peau est pâle, et dégage une faible chaleur pour cause son envie de fuir la lumière, la supportant mal. Ses deux yeux étranges perçants, brillants d'intelligence presque malsaine sont coulés d'argent pour le gauche et écarlate pour le droit, contrastant avec la couleur de sa peau. Cette couleur anormale provient en fait d'une dépigmentation de son iris (de base marron), suite à une blessure à l'oeil. Une fusillade qui a mal tourné, un mec avec une arme à gaz beaucoup trop près de lui... la blessure a coupé court à la mission, le mafieux ayant failli perdre son oreil. Sa vision se trouve être fortement affaibli de ce côté.
Si on descend un peu, on peut apercevoir son nez fin aquilin et encore plus bas, des lèvres fines et teintée d’un rouge clair, ne s'étirant que rarement en un sourire calme, ou sarcastique selon l'occasion. On peut apercevoir une rangée de dents parfaitement alignées et blanche, dont les canines qui se trouve être un peu plus longues que la moyenne.

Son cou, et ses épaules sont musclés finement, ses bras longs et forts, comme le reste de son corps. Sur son poignet gauche, on peut remarquer un tatouage en forme de J et sur toute la longueur de son bras droit s’étale un long tatouage tribal. Malgré sa musculature assez discrète mais non moins présente, le brun possède une assise qui fait rêver les jeunes demoiselles et fait le bonheur des yeux de tout le monde. Pour finir la visite, ses jambes sont aussi longues et puissantes que le reste de son corps.

Le jeune homme porte le plus souvent des habits noirs, blanc ou gris, en grande partie en cuir et longs. Des jeans, des tee-shirts, des débardeurs des joggings... Mais jamais de costard, ça il faut oublier. Il ne porte pas souvent de baskets, mais surtout des rangers, chaussures qui font légèrement mal quand on vient à se les prendre dans la figure lors d'une bagarre. Le seul vêtement véritablement long qu'il porte est un manteau en cuir orné de chaines de métal clair qui lui arrive aux genoux. Ce dernier vole presque comme une cape quand il marche de sa démarche sur de lui et presque envoûtante.
Son visage peut être neutre et sombre comme la plupart du temps, mais il a aussi ce quelque chose qui attire l'attention sur son corps. Une sorte d’aura au caractère velouté et attirant, dont il n’a pas vraiment conscience, et dont il se moque bien d'ailleurs. L’un des moments le plus impressionnant quand on le croise, est le moment où l’on entend le timbre de sa voix. Grave, fluide et tellement agréable à l’oreille.




Histoire :

6 décembre /

-Debout Jen’ !

Un garçon brun, d’une quinzaine d’années en apparence s’évertuait à secouer celle qui reposait paisiblement dans leur lit. Celle-ci le repoussa en grognant, et se renfonça sous les couettes. Le garçon émit un léger grognement de mécontentement en fronçant les sourcils, avant d’ouvrir en grands les volets de la chambre, qui ne tarda pas à baigner de la lumière terne d’un temps hivernal.

-Jen’ fait pas ta feignasse. On est le six, alors bouges tes fesses un peu.
Immédiatement, la dormeuse se redressa, balançant ses jambes d’albâtre hors du lit aux draps aussi clairs que la neige qui recouvrait le jardin visible par les carreaux, et planta son regard étrange sur le jeune homme. Ce dernier esquissa un sourire avant de prendre sa main et de souffler :

-Joyeux anniversaire ma Jeni.

12 mars /

Dans la forêt qui bordait le manoir qui surplombait une petite ville dans la banlieue de Milano, une ombre se déplaçait à une vitesse fulgurante. En y regardant bien, on pouvait se rendre compte que la silhouette humaine courait à travers les arbres, poursuivit par une autre forme, plus svelte, plus élancée et plus souple. Sortant du couvert de la verdure, la plus grande ombre se précipita dans les rues de Milan, faiblement éclairé par l’éclairage nocturne.
En passant sous une lumière, on pouvait percevoir les traits durs et concentrés du jeune homme de 16 ans qui filait comme une flèche au travers des rues étroites. Arrivant face à un cul-de-sac, le brun aux cheveux longs ne se démonta pas. Il sauta à l’aide des murs le plus haut possible, se propulsant avec une force maîtrisée sur le haut du muret, qu’il enjamba afin de se remettre à courir. La course poursuite continua ainsi jusqu’à ce que le jeune adulte fut obligé de se rabattre sur les toits, sautant de plateformes en plateformes, coupant le choc de son atterrissage par une roulade maîtrisée avant de se remettre à courir.

Il n’entendait plus le bruit de la glissade de la semelle derrière lui, alors, par curiosité, le brun tourna la tête derrière lui. Personne.
Ses sourcils se froncèrent, et il pila net aux bords d’un immeuble, retournant sur ses pas, le regard tourmenté d’inquiétude. Quelques secondes plus tard, il était au sol, sur le dos, une douleur cuisante aux fesses et une demoiselle à la longue chevelure ébène assise sur son bassin.
Un sourire mince se dessina sur les lèvres de celle-ci alors que le brun laissait tomber ses bras au sol en signe de défaite totale, une moue déçu plaqué sur le visage.

-J’ai cru que j’t’avais distancé.

Un rire doux comme la caresse d’une plume s’éleva alors que la jeune fille se relevait, dardant son regard vairon sur le jeune homme aux allures déçues.

-On ne distance pas une traceuse. Je suis meilleure que toi là-dessus Nocturne.

Le susnommé sourit doucement à sa sœur en se relevant. Oh, oui elle était meilleure. Bien meilleure que lui dans tous les domaines qu’il avait en commun. Mais le brun ne possédait pas ce trait de caractère qu’on avait tendance à nommer ‘jalousie’, encore moins si la source de cette potentielle émotion se trouvait être la belle brune. Le vaincu libéra ses longues mèches encres afin de les rattacher plus facilement. Ils étaient étrangement semblable, même cheveux, même visage fins marqués de dureté, même regard brûlants aux iris bicolors. La seule différence se trouvait, si je peux le dire ainsi, dans leurs pantalons respectifs. Presque du même sang, certes, mais jamais deux personnes ne s’étaient ressemblées autant que ces deux-là.

La traceuse tourna le dos à son demi-frère et descendit par un escalier transversale à la rembarre métallique, brisées par endroit. Le vieux quartier délabré de Milan était leur coin de jeu préféré. C’est ici qu’ils avaient commencé à tracer, c’est ici qu’ils continueraient. Après s’être rattachés les cheveux, Nocturne descendit à la suite de la demoiselle, les pointes sombres caressant la naissance de ses reins alors que son regard restait fixé sur Jeni, en adoration.

Quand ils étaient petits, survivre avait été très difficile. Des parents qui ne voulaient pas d’eux, qui les avaient abandonnés à leur sort. Une prostituée chien petit gabarit, cupide et en constante recherche d'argent. Ses beaux yeux lui permettaient de traîner auprès des plus riches, des gros gabarits qui ne faisaient pas attention à la fertilité de leur proie. Et ceci plus cela entraîne deux gosses, pommés dans un monde qu’ils n’avaient pas demandé. Jeni avait été la première, un gros gabarit loup asiatique, suivit une année plus tard par son petit demi-frère, Nocturne, gros gabarit loup noir d'Alaska. Leur génitrice n'avait pas survécu à la deuxième couche. Plusieurs personnes les avaient récupérés, d’abord la patronne d’une maison close qui les avait élevé pendant un moment, jusqu’à ce qu’elle veuille les faire travailler. C’est vrai que même à l’âge de 10 ans, les deux petits aux teints pâles et à la chevelure aussi noire que Blanche-Neige, étaient déjà dotés d’une beauté qui se développerait certainement avec l’âge. Mais avant de commencer le ‘travail’ les deux enfants s’enfuirent, retournant à la rue pour échapper au sort qui leur était réservé.

Volant et se cachant pour survivre, les enfants s’affaiblissaient de jours en jours, résistant malgré tout au sommeil dans les nuits les plus froides d’hiver afin de rester aux côtés de la personne qui partageait leur vie.



Le 6 décembre -4 ans, Detroit de Messind/

Jeni courait à travers les rues étroites. Elle venait de voler un morceau de pain. La vapeur blanche qui s’échappait de sa bouche, et l’adrénaline qui emplissait ses veines lui donnaient des difficultés à respirer. Sans regarder devant elle, elle filait à la vitesse surprenante du gamin qui voulait à tout prit garder son butin. Et bien sur, la gamine tomba au sol après s’être cognée contre un homme. Elle releva la tête et croisa en vitesse le regard émeraude du blond qui la surplombait. Elle se redressa en vitesse alors qu’un homme en tablier arrivait derrière elle en gesticulant.

- Attrapez-la ! Elle m’a volé !

La petite fila d’un bond, reprenant sa course pour retrouver son frère. Le blond resta un moment interdit avant d’arrêter le boulanger et de payer le pain volé. L’homme le regarda avec incompréhension, mais s’en fut sans demander son reste.

Le blond tourna les talons et s’enfonça à la suite de la fillette de maintenant 12 ans. Il suivit les petites traces de pas dans la neige, avant d’atteindre un immeuble délabré et aux allures fantomatique. Il poussa la porte qui émit un grincement et tomba directement sur la gamine, les poings serrés, bien campée sur ses petites jambes maigres face à cet homme d’une vingtaine d’années à peine qui semblait robuste. Il leva les mains devant lui, comme pour l’apaiser. Derrière la maigre silhouette était allongé un petit garçon qui semblait avoir son âge et qui toussait fort. Et le pain reposait à ses côtés.

-Doucement, petite. Qu’est-ce que vous faites là ?

La voix douce et rassurante du blond ne calma pas la brune qui sera les dents en sifflant.

-Approche pas. Casse-toi d’ici.

Sans se démonter, l’homme s’approcha encore alors que la petite reculait à chacun de ses pas. Elle s’arrêta juste devant son frère et s’accroupit à ses côtés, son visage pâle et creusé de fatigue tourné vers le blond qui s’agenouilla à côté d’elle. Tout d’un coup, ses yeux émeraudes s'écarquillèrent en voyant des perles transparentes couler rapidement sur les joues froides de la demoiselle. Elle commençait à trembler, de froid, de peur, d’angoisse, de colère. Puis d’une voix brisée, son regard vairon se relevant vers l’homme qui l’avait suivi, Jeni gémit.

-Il va mourir tu crois ?


-On rentre ? Rewan va finir par s’inquiéter.

La traceuse hocha la tête et s’enfonça dans le labyrinthe de ruelles qui conduisaient à la rue principale de la ville. Nocturne sur ses talons se dépêcha de se rapprocher de sa sœur, non par crainte, juste par habitude.
Plusieurs dizaines de minutes plus tard, marchant d’un pas rapide, les deux adolescents avaient rejoints la lisière opposée de la forêt.
Après avoir gravit les dizaines de mètres qui les séparaient de leur domicile, ils le contournèrent pour entrer par la porte arrière. Tout en discrétion, ils traversèrent la réserve pour atterrir dans le salon. Soudain, une lumière vive les aveugla et une voix cinglante s’adressa à eux.

-J’avais dit, pas de sortie nocturne.

Le visage de Jeni se tordit en une grimace alors que le brun passait sa main dans ses mèches aux reflets bleutées.
En face d’eux, un blond au regard d’émeraude tranchant les fixait, un brin agacé, posé dans un fauteuil en cuir marron.

-Vous êtes soulants comme mômes. Demain, Jen’, je te rappelle que tu dois rejoindre Tokyo. Le voyage sera fatiguant, alors file te reposer.

Les sourcils froncés de leur boss les dissuadèrent de toute forme de protestation, alors, les deux adolescents en faute montèrent les escaliers, afin de disparaître dans les ténèbres de leur chambre.

13 mars +1 an/

Allongé sur le canapé en cuir, les yeux fixés sur le plafond et les mains croisées sous sa tête, le brun était songeur. Il ne s’inquiétait pas trop pour sa sœur, ce n’était la première fois qu’ils se trouvaient être séparés. Elle devait accompagner Rewan au pays de soleil levant, en faisant escale en Corée du Nord. C’était sans doute cette escale, l’arrêt le plus dangereux du voyage. Le blond devait la rejoindre une semaine plus tard, et Nocturne resterait seul au manoir. Le voyage à but instructif devait les tenir éloignés l’un de l’autre une année entière. Rewan quand à lui, faisait des allers-retours entre ici et là-bas. La dernière fois, ça avait été au brun de s’exporter jusqu’au Japon.
Et il y a à peine un an, ils étaient rentrés de trois années d'études à Londres. Mais au moins à ce moment,  ils étaient ensemble. Grâce ces voyages,  les adolescents maitrisaient une bonne panoplie de langue. Ils parlaient l'anglais couramment comme l'italien, et se débrouillaient en espagnol et en japonais. Nocturne avait même commencé à apprendre les bases du portugais alors que Jeni se penchait davantage sur le russe. Mais bref...

C’était dur mais c’était ainsi. La compagne (ou plutôt le compagnon) du parrain ne devrait pas tarder à le rejoindre dans le manoir. Mais ce soir il était seul, seul avec ses pensées.

14 février +1 an/

Rewan était revenu seul. Ce qui n'avait que moyennement plus au brun. Apparemment, il avait laissé sa soeur là-bas dans le but de la laisser gérer les affaires de dernières minutes. Parce qu'il avait un autre travail pour lui. La question n'était même pas de refuser ce boulot, après tout ce n'est pas comme s'il avait le choix, mais ne pas pouvoir dire au revoir à sa soeur tiraillait légèrement le jeune homme.
L'ordre de la mission? Investir une île à côté du Royaume-Uni, afin de se rapprocher de celui-ci. De plus, le manque d'informations sur cette île agaçait le "bibliothécaire de la famiglia", et autant dire que même Nocturne n'aimait pas le voir trop remuait.

Quelques mois plus tard, les dossiers étaient remplis, et le brun envoyé sur l'île en question, pendant une durée inconnue.
N'étant pas allé à l'école tôt à cause de  à son enfance, il intégra les cours  à avec deux  années de retard  à et cela fait maintenant plusieurs années qu'il y était, et aujourd'hui, le mafieux en sixième et dernière année. Le chien grondait en son fort intérieur, alors qu'il tentait plus ou moins bien d'obtenir des nouvelles de chez lui, tout en faisant son travail correctement.


Autre :
Alors déjà, Nocturne et Jeni sont demi-frère et demi-soeur, avec un peu plus d'un an d'écart (Jeni étant l'aînée). La demoiselle est un madararui gros gabarit de type loup asiatique, et a préféré garder son nom japonais, l'imposant à son frère.
Les deux ont appris extrêmement tard à contrôler leur thérianthropie. Ils ont dû attendre d'être pris en charge par Rewan, lui même madararui gros gabarit (un ligre). De leur prise en charge tardive a résulté un apprentissage long et rigoureux, avant de réussir à posséder un contrôle suffisant.




Le code : Validé.
Ton pseudo : Jen', A-Delta au choix
Ton âge : Plus que l'âge requis en tout cas
Notre découverte : On m'a traîné ~
Ta présence : C'est assez aléatoire, mais normalement si le rp m'intéresse je réponds plutôt vite (entre quelques minutes et trois jours max').
Ton avatar : Yû Kanda dans D-Gray Man
Tes références : Nop
Un rajout : J'ai vu quelques fautes de ci de là, mais personne n'est parfait, ce n'est pas bien grave. Sinon, c'est plutôt pas mal =3
Ah oui... DES AVATARS EN 200x400 PITIE. Nan sérieux, c'est hyper chiant à faire les 200x300 pour les graphistes :c