Hiram le petit chacal sans cervelle

Hiram Eldestein

Nom : Eldestein Prénom : Hiram Âge : 18 ans - 10/09 Origines : Tunisien Orientation sexuelle : Gay Groupe : Junior Emploi : 3ème année - club de surnaturel Dominance : Dominé Animal de race mêlée : Chacal commun Quelle catégorie de poids : Léger

Goûts :
Il aime les papillons, la musique, les objets qui brillent. Sa couleur favorite est le vert d'eau. Il l'adore et l'affectionne énormément. C'était d'ailleurs la couleur par excellence de sa garde de robe. Sa fleur favorite est le lys. Il est très câlin, tendre et affectueux. Il évite comme la peste les gros gabarits car il est conscient qu'avec leur puissante aura, ils peuvent le forcer à reprendre son apparence humaine et à le bloquer ainsi, lorsque lui a simplement envie d'être un Chacal. Chose dont il n'a aucune envie. Il aime faire des conneries, s'amuser et croquer la vie à pleines dents, ainsi que jouer à créer ses mots, ses propres expressions. Il aime énormément se balader sous son apparence de Chacal commun et ne parle donc ainsi, pas beaucoup en général mais une fois qu'il est lancé sur un sujet qui le passionne - un truc débile - il ne s'arrête plus de parler comme la pire des concierges qui ne vous lâche plus du tout pour baver pendant des heures. Où alors quand il ne comprend pas quelque chose. Ce qui peut vous valoir une longue explication de plusieurs heures. Ses passions ? La couture, la cuisine, et la pâtisserie principalement, à cela on peut ajouter la décoration et le ménage.

Caractère :
La psychologie d'Hiram est à la fois simple et complexe. Il ne voit pas le mal qui l'entoure. D'une grande douceur, quand il fait mal c'est en toute innocence, par méconnaissance même des bobos qu'il peut faire. Il y a un côté enfantin qui demeure en lui et c'est certainement ça qui a fait qu'il conserve sa part d'innocence dans ses actes. Doux, joyeux, rieur, tendre, attentif, affectueux. Les plaisirs de l'amour lui sont totalement inconnus. Au point même qu'il croit encore que les filles naissent dans des roses et les garçons dans des choux. Passionné de décoration, de couture et cuisine, il dévore les magazines dans le domaine en se les faisant expliquer très souvent a cause des mots qu'il ne comprend pas. En ce qui concerne néanmoins le cuisine vaut mieux le surveiller de prêt, car en général cela se solde par une réplique du champ de bataille de Verdun en 14-18. Il est capable de vous faire exploser le four, ce qui ne serait pas le première fois qu'il réussi cet exploit et il fallait voir la tête de sa belle mère qui croyait qu'un obus était tombé sur la maison. Pour la couture Il vaut mieux ne pas faire attention aux mille et un pansements qu'il portera aux doigts car il passe son temps a réussir à se les foutres sous l'aiguille de la machine. Extravagant dans ses tenues qu'il aime confectionner lui-même. Entre Kimonos, belles robes, tenues orientales et les bijoux, grâce aux sous que sa belle mère lui envoie tous les mois et dont il stock une partie - celle qu'il ne dépense pas - dans des boites à chaussures qu'il collectionne maintenant sans comprendre la vraie valeur financière de ce qu'il a dans ces boites. Ce n'est pas un rebelle dans l'âme et s'est toujours plié aux lois de sa famille. Il a son propre langage et aime jouer à créer ses mots, ses propres expressions qui sont toutes tirées par les cheveux, amusantes, et rigolotes. Il n'a jamais été une lumière. D'ailleurs il a sans aucun doute des ampoules de griller au plafond. Nul en math, il sait à peine compter. En biologie pendant laquelle, il ne fait rien que dormir. La géographie où il se serait incapable de dire où se trouve son pays natal. En histoire où il ne pige rien du tout au concept en  pensant que c'est des romans pour adultes et les langues vivantes telle que l'anglais sont pour lui du chinois ancien avec les petites maisons à dessiner. Il boit très peu d'alcools et quand il en boit, vaut mieux avoir un homme mâture et sérieux dans le coin, sinon, il s'offre au premier venu. Il aime courir après des papillons même s'il se pète la tronche cinquante fois, ou de jouer avec des objets brillants qu'il trouve joli. Câlin de nature, il adore faire des papouilles à tout le monde principalement sous son apparence animale. Gaie, joyeux, il fait rarement la bouille. Docile et soumis, il n'est pas contrariant pour un sous. En conclusion, il n'est pas doué d'une intelligence comme on la conçoit. La sienne est manuelle. Accrochée à ses passions. Son caractère en fait une personne douce et attentionnée tournée vers les autres et non forcément sa propre personne comme on pourrait le croire à sa manière de se faire « belle » quand il s'habille.

Physique :
Ses grands yeux marrons noisettes font un malheur et charme toujours ceux qui les contemplent. Il ne s'est jamais coupé les cheveux, ce qui explique leur longueur démesurée quand il a son apparence humaine. De couleur brun comme un chocolat chaud, ils sont doux comme de la soie. Il les coiffe souvent en natte ou les laissait pendre tout simplement en mettant un serre-tête et un nœud à la base, parfois en attachant sinon simplement les deux mèches de devant pour libérer son visage. Petit, malgré le fait qu'il soit un homme, il ne fait qu'un mètre soixante. Mince, avec ses quarante-huit kilo, il arbore néanmoins une silhouette équilibrée. Un corps fin, imberbe, des hanches étroites, de longues jambes fuselées. Il a un très beau visage aux traits fins et élégants digne d'une grande dame de la noblesse, et est le portrait craché de sa mère. D'ailleurs, ses manières sont très efféminées et on le prend souvent pour une femme. Il faut avouer que ses lèvres charnues et désirables, ainsi que l'expression si douce de son visage, aide bien à cela. Hiram ne possède pas une grosse garde de robe, aux vues qu'il aime se balader les trois quarts du temps sous son apparence animal. Mince et ayant un physique androgyne, le peu de vêtements qu'il arbore est du genre un peu excentrique comme une femme et qu'il a souvent lui-même créés, mis à part son uniforme scolaire, qu'il a tout de même modifié selon ses goûts. Il aime les bijoux et porte surtout des colliers et des bracelets aux poignets et aux chevilles.



Histoire :
Hiram, un petit Chacal naquit d'un amour interdit entre une musulmane et un noble juif. Qu'il y avait-il de plus beau qu'un enfant, issu d'un espoir sans concession ? Un amour, qui n'avait pas de frontière ? Rien. Mais malgré cela, le conte de fées n'alla pas plus loin. Le père de Yasmine (la mère d'Hiram), Ali, décida de tuer sa propre fille, après qu'elle eut mit au monde l'enfant qu'elle portait. Ali l'avait déjà séparée de l'homme qu'elle aimait plus que tout au monde, juste parce qu'il était juif et non musulman comme la « loi » le voulait. Elle avait prié jour après jour pour que l'homme qu'elle aimait, n'ait pas de soucis comme elle, pour que son bébé survive, pour qu'un miracle se réalise. Malheureusement, le miracle ne vint pas pour elle. Elle fut tuée après qu'on lui ait arraché des bras l'enfant qu'elle venait de mettre au monde.

Son père, Ali, s’apprêtait à faire de même avec Hiram, quand il vit combien il ressemblait à sa défunte mère, sa fille, sa Yasmine... Un petit chacal commun au pelage soyeux, doré et sable. Mais le couteau s'enfonça dans son cœur de père quand, le bébé prit momentanément son apparence humaine, les mêmes cheveux bruns si tendre, presque comme du chocolat au lait et ses yeux, de magnifiques prunelles marrons aux nuances dorées comme ceux de sa mère. Ali ne put se résoudre à le tuer, a tuer une seconde fois sa fille adorée. Il n'en eut pas la force, ni le courage. Ce fut ainsi que dans le plus grand secret et après avoir fait passé l'enfant « du pêché » pour mort, qu'il alla le confier dans le plus grand secret à l'homme que Yasmine, sa fille, avait tant aimé. Jacob Eldestein.

Jacob accueillit l'enfant heureux, mais ses larmes coulèrent en apprenant la mort de la femme qu'il aimait. Lui aussi avait prier Dieu pour qu'un miracle se réalise, qu'il sauve Yasmine et leur bébé... Mais au final... Seul leur enfant, cette petite vie innocente fut épargnée. Il tenait à cet enfant comme à la prunelle de ces yeux et le nomma Hiram. Il était devenu le plus beau des trésors qu'il pouvait posséder sur cette terre. Le clan des Eldestein, accueillir Hiram, les bras grands ouverts, même si certains furent plus que retissant à sa venue. Cependant et comme le voulait la tradition du clan, Jacob dû se marier. Rester célibataire avec un enfant, n'était pas concevable.

Son épouse, Chani, vit d'un très mauvais œil, le fait que son époux tenait à un enfant né d'une musulmane, qu'elle devait s'en occuper mais en plus, que malgré ses efforts, en trois années, elle n'avait su offrir, à Jacob que deux filles. Pour Chani, c'était juste la pire humiliation de son existence. Hiram de son côté, grandissait heureux, et gambadait souvent sous sa forme de Chacal. Tout doux et joyeux, il croquait la vie a pleines dents. Même si Chani l'interdisait de s'approcher de ses filles et demi-sœurs. Elle le détestait, le maudissait et ne rêvait que d'une chose : le voir mort. Était-ce dieu qui l'avait puni ? Personne ne pourrait le dire, mais son époux, Jacob, décéda d'une foudroyante maladie. Mais avant de mourir, il fit d'Hiram son seul et unique héritier et que s'il arrivait quoi que cela soit à son enfant, son épouse China se verrait couper les vivres financièrement parlant. Seules ses filles auraient droit à une pension et seraient ainsi confier à sa famille. Son frère David fut nommé tuteur de son héritage et prit la relève de son défunt frère pour veiller sur l'avenir d'Hiram. Car Jacob voulait le voir toujours rayonnant de bonheur. Quoi qu'il arrive.

Autant dire que la haine de la veuve de Jacob ne fut que plus forte encore envers le pauvre Hiram qui n'avait rien demandé pour mériter cela. Bien qu'elle fut obligée de s'occuper de cet enfant qui incarnait sa honte et sa déchéance, elle s'amusa à lui faire vivre les pires humiliations, qu'il prenait toujours avec le sourire à son plus grand drame. Car il ne voyait jamais le mal que l'on pouvait lui faire subir. Avec le temps qui passa, et le fait qu'Hiram adorait sa belle-mère malgré tout ce qu'elle lui faisait endurer, elle piquait crise sur crise à son encontre et cela rendait juste folle Chani qui chercha longtemps comment se débarrasser d'Hiram sans le tuer et sans que la famille de son défunt époux ne lui coupe les vivres. Sans parler du fait que David s’immisçait dans sa vie privée pour s'occuper d'Hiram. Pour faire son éducation. Une éducation compliquée vue qu'aucune école ne voulait de lui tellement il était stupide. Sans parler de ses origines moitiés musulmanes qui ne passaient pas non plus. Le seul établissement qui l'avait accepté était un établissement pour garçon, qui le vira après deux semaines, car il ressemblait trop à une fille. Et que cela pouvait donner des mauvaises pensées aux autres garçons de l'école.  

Alors qu'Hiram atteignait ses douze ans, son oncle David décida d'en faire un androgynus en voyant son beau physique féminin qui se confirmait. Il désirait ainsi lui offrir la possibilité de se trouver un bon partie chez les gros gabarit. Un mariage stable. Un mari aimant. Pas ici. Il savait qu'en Tunisie, c'était impossible pour qu'il puisse faire une vraie existence heureuse. Ailleurs par contre, Hiram pouvait espérer le meilleur. Ce fut sur cette idée que son épouse éduqua Hiram. Lui apprenait tous les travaux manuel dont il était capable de réaliser. Ses talents fleurirent au grand jour : La cuisine, la pâtisserie, la couture, le ménage, la décoration, entretenir un jardin, s'occuper des fleurs. David était fier de lui. Bien que totalement nul en histoire-géo, en biologie, en math ou encore en langue vivante écrite, il avait ce don. Sans doute dans le fond le plus important pour son avenir.

De l'autre côté, il voyait bien que Chani le maltraitait… d'une manière sournoise. Pourtant, Hiram était un ange avec elle. Dès qu'elle était malade, il était au petit soin pour elle. Le repas au lit. Les médicaments. Les prises de température. Une vraie petite infirmière. Il s'occupait même de ses petites sœurs en leur faisant le repas. Lavant leur linge. S'occupant de leurs affaires pour l'école. Même son épouse disait qu'il avait toutes les qualités nécessaires pour fonder un foyer heureux et équilibré. Quand Chani s'amusa soit disant pour le bien être d'Hiram, à chercher un établissement scolaire à l'étranger qui pourrait l'accueillir, mais désirait secrètement surtout s'en débarrasser, David l'aida. Pour le bien de son neveu. Pour l'éloigner de l'ambiance malsaine de sa famille. Il ne voulait pas que la belle fleur qu'il était fane un jour… La famille tout entière fut d'accord quand ils trouvèrent une académie uniquement peuplée de Thérianthrope se situant sur une île de la côte ouest de l'Europe. Chani s'en frottait les mains. Elle pouvait enfin se débarrasser de lui, sans le tuer et s'assurer de toujours avoir l'argent de son époux dans les mains. Enfin presque, mais bon c'était déjà mieux qu'avec cet enfant qu'elle ne pouvait plus voir même en peinture.

Ce fut ainsi qu'Hiram parti étudier en Europe. Son oncle croisant les doigts pour qu'il fasse la rencontre de sa vie et se trouve un mari là-haut. En étant Androgynus… à ses yeux… il avait normalement toutes ses chances.

Autre :
Il est totalement débile, et ce n'est pas parce qu'il est fou, c'est juste le cerveau qui a arrêté de fonctionner. Il fait grève pour une durée indéterminée et les neurones n'ont pas encore décidé de la suite à donner au mouvement.

Il dort généralement pendant les cours, et reprend son apparence de Chacal, quand il n'est pas en cours de biologie où il se transforme carrément pour aller dormir sur son bureau, allongé sur son livre.

Il a le don de rendre fou ses profs tellement c'est un vrai débile et qu'il comprend rarement les choses du premier coup.

Chani sa belle mère est forcée par son beau frère David, d'offrir des pots de vin à l'établissement scolaire pour qu'Hiram réussisse à passer chaque classe malgré ses notes catastrophiques.



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