Nom : Kalden
Prénom : Choekyi
Âge : 19 ans le 20 mars
Origines : Tibétaines
Orientation sexuelle : Hétéro curieux (on sait jamais avec lui en fait -_-')
Groupe : Junior (redoublement 1)
Emploi : Tenter de rester en cours, juste ça... ça va être une grande partie de rigolade hem pardon, 3 ème année
Club: Athlétisme
Dominance : Ambivalent à tendance dominant
Famille de race mêlée : Canidé
Animal de race mêlée : Dogue tibétain noir
Appellation scientifique : Canis lupus familiaris
Quelle catégorie de poids : Moyen
Identité
Goûts : Et bien commençons par le plus simple, en nourriture, Choe n'est pas difficile sauf en viande. Il l'aime crue, que ce soit bœuf, mouton poulet, le cru n'a pas son pareil pour l'attirer et lui donner envie de mordre dedans. En parlant de mordre c'est aussi quelque chose qu'il apprécie de faire, que ce soit mâchouiller son crayon, un morceau de chewing-gum ou même un bonbon qui n'a plus de consistance tellement il est travaillé. Pour en revenir au comestible il n'est pas un grand amateur d'épices, et préfère largement les cuissons à l'eau que relevées. Il mange de tout sans faire sa diva, mais sera très triste si la cuisson des aliments ne correspond pas à ses attentes.
Il apprécie la compagnie des autres, aime bien se trouver en groupe mais pas en position dominante. Même s'il en a parfois le caractère, il n'aime pas s'imposer parmi ses semblables. Il déteste qu'on le prenne pour un idiot et peut facilement perdre le contrôle si on le pousse dans ses retranchements. Il aime les grands espaces, sans limite et sans barrière c'est encore mieux ! Il n'aime pas les lieux étroits ou exigus et angoisse rapidement dedans. Il adore courir, c'est sans doute la seule matière dans laquelle il se sent à l'aise. Il n'aime pas les insultes et l'hypocrisie, les "faux" et les narcissiques mais préfère les ignorer et les éviter.
Et pour terminer il adore les fleurs de Lulang et ne résiste pas à leurs odeurs allant jusqu'à se rouler dedans sans aucun contrôle.
Caractère : Il est temps de vous parler plus longuement de qui est vraiment ce jeune homme quelque peu insaisissable. Choe est un garçon qu'on peut qualifier de beaucoup d'adjectifs, je n'en citerais que quelques-uns qui le représente le mieux. Tout d'abord, notons qu'il est impétueux et courageux, face à un danger, il cherchera avant toute chose à préserver les autres personnes présentent, même si l'adversaire est plus puissant que lui. Appelez cela de la bêtise, moi je trouve ça attachant, ce qu'il est aussi tout en restant bien trop naïf. Cependant, ce défaut à ses limites, s'il se rend compte que vous le duper alors il se montrera rancunier et méfiant à la limite de l'insociabilité. Cependant il ne l'est que dans ces cas-là, sans pour autant se lier d'amitié avec n'importe qui.
Il gardera une réserve et une méfiance logique en cas de nouvelle rencontre, d'ailleurs vous qui voulez le rencontrer peut être je dois vous prévenir qu'il est d'une maladresse affligeante. Et aussi qu'il a une tendance au catastrophisme relativement prononcé, n'imaginant que le pire et le pire du pire dans toutes les situations. Malgré tout cela il reste enthousiaste et humble dans ses actions de tous les jours, avec une grande tendance à la débrouillardise ce qui lui permet de sauver les pots qu'il n'a pas encore cassé. Pour terminer je dirais que vous en faire un ami, pour lui c'est pour la vie, fidèle dans ses relations, quand il vous accorde son amitié c'est un véritable engagement à ses yeux. Alors ne gâchez pas votre chance !
Physique : Dans son pays d'origine, Choe est considéré comme grand, en effet, avec son mètre soixante dix il dépasse la plupart des autres nomades. Cependant, si on le compare à un européen de même âge, il se peut qu'il paraisse petit. Peut-être que sa croissance n'est pas totalement terminée, la remise en cause des privations alimentaires et le manque de certaines substances sont peut-être les fauteurs de troubles. S'il ne le parait pas à première vue, il n'est pas réellement maigre mais plutôt tout en longueur. Ses muscles sont habitués à un travail d'extérieur et usant ce qui fait qu'il est bien musclé pour son âge. Sans pour autant entrer dans des travers de bodybuilding, il est harmonieusement répartit dans tous ses profils, de face ou de dos.
Voilà pour l'apparence générale, plus en détails nous pouvons noter ses cheveux noirs, foncés et court, qui a tendance à négliger et laisser en l'état (la brosse à cheveux est une découverte récente et ils ne s'apprivoisent pas bien...). Son front est encombré par une frange abondante qui ne cache pas pour autant ses yeux. Bleus, profonds, des éclats du lac Namtso comme dirait sa grand-mère paternelle, fragment de son passé qui brillent souvent d'une lueur mélancolique. Pour le reste et bien il a du se mettre à la page et échanger ses vêtements confortables et traditionnels par les vêtements courant sur l'île. Il est cependant mal à l'aise avec ceux-ci et ne perd pas une occasion de s'en défaire pour se sentir plus confortable.
Histoire
Histoire : Vous qui venez de la ville ne pouvez pas comprendre le besoin d'espace et de nature de ce jeune homme. Né dans une hutte de nomade il y a de cela 19 ans, Choe a vécu depuis dans les immensités désertiques du Tibet et de ses plaines sans fin. Comment cela ? Vous imaginez le Tibet dans une montagne isolée ? Et bien c'est faux, les territoires de ce peuple s'étendent jusque dans des plaines où les nomades emmènent leurs troupeaux de moutons. Bien sûr, depuis les bouleversements des gouvernements nombre de ces êtres sans toits fixe se sont résolu à se sédentariser. Ce n'est pas le cas pour la famille dont nous parlons, ils sont depuis des générations attachés à leurs modes de vie. Cependant, l'arrivée de l'enfant bien que presque miraculeuse, Nima ayant presque abandonné l'espoir de mettre au monde une descendance, arriva au moment du dégel des plaines. L'instant où les troupeaux doivent être défendus par les animaux sauvages attirés par la passivité de ces pelotes de laines sur pattes.
C'est donc sa mère qui l'éleva durant les premiers mois de sa vie, qui se révélèrent plus problématique que prévu. Bien que l'aura de l'enfant ne soit que moyenne, le fait qu'il ne la contrôle pas affolait le troupeau, et rendait nerveux les chiens de garde. Sachant combien il est dangereux pour eux de ne pas parvenir à garder le contrôle sur cela, ces premières années de vies furent compliquées pour les parents. A ses six ans, et vu que le petit ne parvenait toujours pas à conserver le contrôle de ses sens, la décision fut prise par eux de sceller son pouvoir. Quand il serait fasse à un être de sa famille autre que ses parents il serait libéré. Il perdit donc tout ses souvenirs de ce que sa famille était réellement, tout le savoir acquis auprès d'eux concernant les thérianthropes, tout fut effacé. Ce qu'il conserva fut comment vivre parmi les hommes dans les plaines. Comme le respect d'autrui, qui est au cœur de cette culture. Par exemple il n'y a pas de porte aux tentes, tout visiteur attend à l'extérieur avant d'être autorisé à entrer par le maître des lieux. A la fin de l'hiver, les bêtes sont tondues, la laine récupérée et tissée pour faire des manteaux et vêtements, des objets comme des paniers ou des décorations de tente. Tout le surplus est conduit au marché où il est vendu ou troqué en fonction des besoins de la famille.
Ah tient tant qu'on y pense, ne demandez jamais à Choe de vous faire du thé, c'est un conseil d'ami... Là-bas, pour saluer un visiteur, le remercier de son déplacement (il faut parfois des journées de cheval entières pour visiter ses voisins) on lui offre un thé au beurre. La fabrication en diffère suivant les familles, mais le refuser peut vous faire mettre à la porte. Le beurre étant une denrée très rare dans ces milieux-là, c'est une boisson qu'on sert rarement, ou lors de grandes occasions. Revenons à notre emploi du temps annuel, il ne diffère jamais, pendant que les femmes s'occupent de la laine, les enfants gardent les troupeaux dans les montagnes. Vous allez me dire qu'à dix ans c'est bien jeune pour rester seul avec pour seule compagnie des moutons, mais dans ce mode de vie, c'est naturel d'aider à son foyer. Contrairement aux autres thérianthropes, Nima et Zopa se sont bien intégrés, sans doute parce que les contacts avec les singes étaient rares et programmés, et qu'ils vivaient depuis le scellement comme des eux.
Le temps passa, bientôt Choe allait avoir quinze ans, un moment important puisqu'ils allaient l'envoyer dans la famille de sa mère pour le défaire du sceau. Si seulement ils l'avaient fait plus tôt.. En effet, depuis quelques temps dans les plaines courrait un bruit qu'un ours de taille exceptionnel, ravagé par la haine tuait non pas pour se nourrir mais pour agrandir sans cesse son territoire. C'était la veille de l'anniversaire de leur fils unique, le septième jour que le troupeau avait retrouvé sa semi-liberté dans les montagnes que la bête attaqua le campement. Malgré la force des deux thérianthropes, le monstre les terrassa ne laissant que des corps mutilés et des traces sanglantes dans son sillage. Ils ne furent pas les premières victimes de l'ours, mais parmi les dernières. Le conseil des tentes avait lancé sur ses traces des chasseurs expérimentés; et grâces au combat ardent livré contre les parents du jeune homme ils purent le terrasser. Ils croisèrent sur le chemin du retour au village Choe alors qu'il revenait avec les moutons pour la nuit. Partit bien avant l'aube, il avait marché une bonne partie de la journée. Quand on lui apprit la nouvelle il refusa au départ de la croire, abandonnant les bêtes qui le suivirent en bêlant et trottant difficilement pour rester en vue du jeune homme. Il dut se rendre à l'évidence en arrivant près de chez lui et en voyant les prêtres qui gardaient les lambeaux de la tente.
Le choc fut si grand pour lui qu'il fit demi-tour aussi sec et se mis à courir. Quand il s'arrêta il était au milieu de la plaine avec pour seule compagnie Stema, le chien de troupeau de son père. L'animal avait laissé les bêtes à la charge de ses fils et filles pour ne pas perdre de vue l'humain. Ce n'est qu'à ce moment-là que le jeune homme s'écroula et pleura, isolé avec pour seule âme qui puisse le juger ce vieil ami de famille. Quand il cessa il faisait déjà nuit, le temps qu'il trouve le courage de faire marche arrière la moitié du ciel était déjà embrasé d'étoiles. Quand il revint en vue de son lieu de vie, les flammes et le silence des moines l'accueillir. Il ne versa pas d'autres larmes, même pendant l’ascension céleste du corps de ses parents, ses yeux restèrent secs. Devant les autres, il ne s'épancha pas de la douleur que cette perte avait pour lui. Quelques temps plus tard, alors qu'il tondait une des brebis du troupeau, un messager arriva avec le chef des tentes.
Ils avaient prévenus la famille de sa mère de sa mort, celle de son père était éteinte et il en était le dernier représentant. Ces étrangers pour lui étaient prêts à accepter le jeune garçon dans leurs vies. Devant l'homme qui se tenait devant lui, Choe ne baissa pas le regard et toisa l'étranger au moins autant qu'il était toisé. Et ce fut un choc, comme si des vannes cédaient face à la simple présence de l'étranger. Face à la surprise de Choe qui ne manqua pas d'être noté par l'individu, un sourire apparu sur son visage alors qu'il se présentait comme un lointain cousin du tibétain, et que la famille attendait avec impatience sa venue chez eux. Dubitatif, Choe n'avait pas vraiment le choix et dû vendre le troupeau et le peu que ses parents possédaient ne conservant qu'une photographie les représentant tous les trois dans un vieux cadre. Ce fut la seule chose qu'il conserva dans un baluchon. Il s'assura que ses chiens trouvaient de bon maîtres et quitta les plaines immenses pour l'inconnu. Durant le voyage, il eut droit à une explication détaillée sur la façon dont sa mère avait été mise en relation avec son père, et combien la famille avait été ravie de savoir que cette union avait donné un enfant. S'il ne montrait aucun intérêt il ne manqua pas une seule des informations qu'on lui donnait, les recoupant avec les souvenirs qui affluaient maintenant de ses jeunes années, comprenant que sa mère avait tout quitté pour vivre auprès de son berger de paternel. Pour lui c'était là une immense preuve d'amour pour ces deux êtres qui avaient disparus.
Il apprit entre autre que sa mère s'appelait en fait Poornima Kalden, et que sa race avait fait qu'elle n'avait pas eu de choix. Il ne comprit pas vraiment pourquoi elle n'en avait pas eu, bien qu'il se rappelle de ce qu'on lui avait enseigné dans ses jeunes années il n'avait pas tout retenu. Il devait attendre d'être en présence de son arrière-grand-mère pour mieux saisir. Il resta donc silencieux, et patienta jusqu'au moment de rencontrer la femme qui l'avait fait venir près d'elle. Le voyage fut long, et les côtes grisâtres qui s'ouvrirent à sa vue n'était pas des plus réjouissantes et signes de mauvais augure à son sens, et il n'eut pas tort de le penser. La première rencontre se passa relativement mal, elle le toisa comme s'il était un enfant, lui.. Et bien avait accumulé pas mal de choses et s'emporta avant de balancer au sol la majorité des vêtements qu'on l'avait forcé à enfiler avant de décamper par la fenêtre... Pour courir une fois encore. Seulement cette fois-là il se trouva face à d'autres personnes qui courraient au moins aussi vite que lui, voire plus, et qui surtout le ramenèrent sans plus de cérémonie en parlant entre elle de choses peu agréables aux oreilles du jeune homme. L'aura qui lui échappait et qui n'était pas contrôlée, le même problème que quand il était enfant... Face au caractère affirmé et indépendant de son petit-fils, elle parvint à l'obliger aux études avec comme promesse de le laisser retourner au Tibet, sous la réserve qu'il obtienne un diplôme en bonne et due forme.
Si son orgueil piqué au vif répondit qu'il ferait cela et bien plus, une fois devant les cahiers de cours il se rendit compte que bien que le plus savant de la tribu des nomades, il était loin d'avoir seulement le niveau pour entrer dans une école. Il prit cela comme un défi, étudiant autant qu'il pouvait les matinées, les après midi consacrées en divers exercice de contrôle de l'aura auprès de son aïeule. Qui ayant pourtant un âge avancée avait tout de même un contrôle et une pédagogie sans faille. La seule chose qu'elle ne pouvait pas contrôler était ses nuits, qu'il passait à courir pour ensuite dormir à la belle étoile. Au bout de quatre années de dur labeur, et alors qu'il n'était toujours que semi apprivoisé, la décision fut prise par Lasya de l'envoyer à l'école pour lui faire tenir sa promesse de diplôme. Et même s'il avait appris à maîtriser relativement son aura, elle ne voulait pas courir de risques inutiles dans une école de singe. Elle l'envoya donc au seul endroit qu'elle estimait qu'il aurait suffisamment d'influence sur lui pour lui faire renoncer à son rêve de plaines tibétaines et de vie de berger. Après tout, c'était le dernier enfant qui portait les gênes de sa famille. Il devrait tôt ou tard rendre des comptes et perpétuer leurs races même s'il avait pris la forme de son père.
Autre : (Précisions de dernière minute)
Suppléments
Le code : Validé.Ton pseudo :Ton âge : Dinosorifique 30+ ça ira ? xD
Notre découverte : En me perdant dans le web xD
Ta présence : Je suis quelqu'un de régulier mais il est peu possible avec mon emploi du temps de passer + de 3 fois par semaine
Ton avatar : Nanase Haruke de Free!
Tes références : Nope et nope
Un rajout : Pas grand chose à dire pour le moment ^^