The Octopus

Andrew White

Goûts : (Aime, aime pas – 10 lignes minimum)

Caractère :
Un sourire ne veut pas tout dire, c'est pourtant la marque de fabrique de Andrew. C'est un trait de sa personnalité qui le rend aussi attachant que repoussant. Un sourire ça va bien deux minutes mais toute la sainte journée, voir la semaine ça devient éreintant. On aurait presque envie de le faire pleurer, ce qui ne doit pas être dur. Amicaux, amusés, amoureux, rêveurs, moqueurs, froids... Il en a un pour chaque situation mais n'use que ceux qui mettent en confiance les gens.
Ce doit être le côté canin de Andrew mais il ne résiste pas à la promesse d'une étreinte ou d'un simple contact. Il aime qu'on joue avec ses cheveux et qu'on lui gratte le ventre. Il n'hésite pas à rendre la pareil. Se faire prendre dans ses bras, se retrouver à faire la bise ou encore à avoir les cheveux ébouriffer quand on fréquente Andrew c'est monnaie courante. Il faut si faire ou alors établir des règles dès le départ. C'est plus fort que lui, ça en agace certains ça passe au dessus de la tête d'autres. Il tire les joues qu'il trouve creuses, il tapote celles qui ne le sont pas. Andrew trouve toujours le moyen de vous tripoter mais jamais en dessous de la ceinture.
Il lui arrive, comme à tout le monde, de paumer certaines de ses affaires qui ont une incidence sur le reste de la journée. Par exemple ses plans de cours - qu'il connait par cœur mais pour plus de sécurité préfère se promener avec. Ou encore ses lunettes qui sont sur le bout de son nez. C'est souvent plus embarrassant qu'autre chose. Le pire à été quand allé faire les courses il s'était rendu compte que son porte feuille était resté à l'appart. Depuis avant de sortir il vérifie qu'il a ce dont il a besoin sur lui.
Andrew est l'heureux possesseur de deux pieds gauches, il a aussi les mains qui vont avec. Il l'a rapidement comprit et prend son temps pour faire les choses qui comportent le plus de chance de lui attirer des ennuis. Il n'a pas encore fini à l'hôpital mais est devenu un client régulier de la pharmacie. Rien de grave juste quelques doigts qui se prennent dans la porte ou des lacets qui se défont pendant qu'il trottine faire telle ou telle chose.
Andrew White prend son métier à cœur. En début d'année, il prend soin d'observer les élèves auxquels il va faire cours pour s'adapter à chacun. ne dis pas non a une ou deux digressions mais il faut quand même se remettre au boulot. Il lui arrive parfois de se lancer dans de longues tirades sur le monde d'aujourd'hui et qu'il perde du monde sur le chemin. On sait tous que la géographie n'est pas un sujet passionnant et pourtant cela l'étonne de voir que la plupart de ses élèves - surtout les demoiselles - l'écoutent avec attention parler de PIB et autre IDH. Tant mieux.

Physique :
Andrew est un peu trop grand de partout. Ses jambes sont longues mais il en est de même pour son torse et ses bras alors, ne parlons pas de ses bras. Une pieuvre terrestre. Il lui arrive - tous les matins au réveil - qu'il se prenne lui même dans ses membres quand ce ne sont pas les autres qui en font les frais. Un cauchemar surtout lorsqu'il se confond en excuse et qu'il prend son air de chiot battu. Avec cette expression faciale on lui donnerait le bon dieu sans confession. Les petits yeux verts qui s'écarquillent comiquement grand, la petite morsure qu'il impose à sa pauvre lèvre inférieure. Il réussirait presque à retourner la situation que pour que ce soit vous qui vous excusiez. Ce qui n'est évidement pas son but. Andrew a aussi droit au mal de dos en fin de journée. Il lui arrive de rentrer vouter comme un bossu quand la douleur est trop intense.
Le côté pratique de sa taille c'est qu'il peut éteindre son réveil d'un simple geste du bras - quand le dit geste ne l'envoie pas chanter au plancher. Il peut aussi aider dans les supermarchés, les bibliothèques ou à chaque fois que la hauteur devient un problème pour son entourage. Qui a parlé de changer l'ampoule ? On évite de le laisser faire ça quand on sait qu'il a deux pieds gauches.
Andrew a deux yeux verts, que l’on ne voit que lorsque sa vue est dégagée de cheveux et que les lunettes qu’il porte le permettent. Il ne voit rien sans ses binocles et ce depuis qu’il est entré l’école, avec le temps ça ne s’est pas améliorer. Si petit il avait l’habitude d’en détruire une paire au mois, il a compris en grandissant à quoi elles servaient réellement : lui faciliter la vie. Pour qu’il n’ait pas l’air stupide à agiter les mains dans le vide. Il possède une petite boîte dans son armoire avec les cadavres de celles qui n’ont pas survécus à ces années de tortures.
Andrew est bâti comme le sportif qu’il n’est pas. Sous ses pulls trop grands se cache un torse pas tout en muscle mais pas grassouillet. Parce que Monsieur White a un excellent coup de fourchette. Si ses parents prenaient soin qu’il se dépense, il y a du laisser-aller depuis qu’il vit seul. Le petit déjeuner rapidement emballé, l’encas avant le déjeuner, le copieux déjeuner et le dîner qui se compose de restes. Pas très équilibré tout ça.




Histoire : (Naissance, enfance, scolarité – 25 lignes minimum)

Autre : (Précisions de dernière minute)



Le code : Validé.
Ton pseudo : Lux
Ton âge : 21 piges. mIm
Notre découverte : Google
Ta présence : Ça dépend de mon accès au pc. Sinon je peux passer fréquemment en journée.
Ton avatar : Kent - Amnesia
Tes références : A vu et lu jusqu'au tome 5, a lâché après. x x
Un rajout : Pas pour le moment, juste un retrait, le -e à la fin d'emploi. c: