Nom : Sullivan
Prénom : Aloïs
Âge : 21 ans, 22 Mai
Origines : Anglaises
Orientation sexuelle : Bi
Groupe : Junior - a pris beaucoup de retard scolaire
Emploi : 3ème année - club d'art (surtout géométrique)
Dominance : Ambivalent
Famille de race mêlée : Canidé
Animal de race mêlée : Husky de Sibérie de couleur sable
Appellation scientifique : Canis lupus familiaris
Quelle catégorie de poids : Moyen
Identité
Goûts : Je ne suis pas quelqu'un de très compliquer. J'aime les choses simples qu'on trouve partout en se levant le matin. Tout d'abord, un toit pour se protéger, un bon lit pour pouvoir dormir et trois repas par jour minimum pour vivre. Je n'ai guère besoin de plus. Après, j'apprécie les suppléments de la vie comme toute la technologie ou tous les agréments que peut nous apporter la vie moderne. Je suis quelqu'un qui aime bien manger asiatique comme occidental. Il est facile d'attirer mon attention avec un gâteau ou n'importe quoi qui puisse se manger. Je préfère manger les pâtisseries que les faire, même si je suis relativement douée pour travailler la pâtisserie. Mais, je privilégie toujours la nature au monde qui m'entoure. J'aime voir les intempéries mettre à mal la société des hommes. Je peux passer des heures à fixer le ciel s'obscurcir de gros nuages noirs. Et doublée ce temps pour fixer les nombreuses gouttes de pluie tombée sur la terre. Les jours venteux, j'essayais de tuer mes camarades en faisant rentrer l'air frais dans la salle de classe. J'adore me faire pousser par le vent, même si je finis souvent la tête la première dans le sol. Tous ses événements me donnent du baume au cœur et me rendent joyeux. Au contraire, j'ai tendance à être nostalgique quand je vois la neige tomber.
Les gens ont tendance à facilement à m'aborder. D'ailleurs, ils s'approchent souvent aussi rapidement qu'ils partent. Ma première phrase n'est jamais celle qui montre que je suis quelqu'un d'agréable. J'ai parfois fait exprès de parler russe pour que les gens me laissent tranquille. Pourtant, j'aime faire des rencontres de toute sorte. Je n'ai aucun a priori en fonction des espèces donc, sa facilité la communication. Même les félidés ne me dérangent pas, au contraire, j'ai tendance à les apprécier. La seule espèce qui me fait légèrement hérisser le poil, c'est les serpents. Je l'ai trouvé petit et fouines, j'ai toujours un sentiment de mal-être ou de malaises en leurs présences. J'ai des frissons dans tout le corps quand je sens leurs regards ou quand je le touche. La seule chose qui me fait légèrement peur, voir me terrifie complètement, c'est de perdre un combat. Pas n'importe quelle défaite, celle face à un gros gabarit qui voudra me sodomiser. Je n'ai rien contre le fait de me faire prendre, mais l'humiliation à la fin des combats et ce que je redoute le plus. Et aussi, j'ai une vision particulière de la défaite contre les poids lourds.
Je suis quelqu'un qui aime bien manger. Il est facile d'attirer mon attention avec un gâteau ou n'importe quoi qui puisse se manger. Je préfère manger les pâtisseries que les faire, même si je suis relativement douée pour travailler les gâteaux. Il m'arrive d'en faire pour quelques personnes que j'apprécie. Ma mère met tout son amour dans ses gâteaux et pense pouvoir le transmettre à tous ceux qui les mangent. Je pense relativement comme elle, j'aime pâtisser. Mais, je ne suis pas comme ma mère. Elle a une vision de l'amour qui la détruite. Et oui, j'ai peur d'avoir la même. Je n'espère pas me faire aimer d'une unique, et même personne. Je n'ai rien contre le fait d'avoir plusieurs partenaires, voire d'être en couple avec trois ou quatre personnes. Après tout, ça serait stupide de penser qu'on pourrait m'aimer moi et seulement moi. Je ne suis pas fidèle et je serais surpris qu'on le soit avec moi. Je n'ai aucun goût pour l'amour. J'ai tendance à choisir mes compagnons comme je choisis mes fringues le matin. C'est le premier qui me passe sous la main que j'enfile. Enfin, façon de parler parce que, je n'ai aucun a priori sur le fait de prendre ou de me faire prendre. Je surnomme tout le monde Darling ou Honey ♫
Caractère : Je n'ai pas une très grande patience voir, elle n'existe presque pas. Soit la personne ce calme rapidement et me laisse tranquille, soit je la calme de force. Pour cela, j'utilise les mots ou les mains. C'est une de mes rares qualités, pouvoir me défendre quelle que soit la manière dont on m'attaque. Les gros soucis quand on commence à m'embêter, c'est que je suis très rancunier. Je retiens tous les visages et note minutieusement tout ce que font les gens. Aussi bien entre eux que contre moi. Et je ne me cache pas pour faire mes grâces. Je les dénonçais ou vendait l'information au plus offrant ou me venger personnellement. Habituellement, j'ai tendance à empoisonner leurs nourritures. Ça dissuade rapidement les plus téméraires au bout de la troisième indigestion. Je me balade toujours avec des médicaments pour l'estomac ou pour la constipation. C'est un peu mes armes secrètes quand je n'arrive pas à mes fins. C'est traite, je n'ai aucun mal à l'avouer. Mais bon, je prends un certain plaisir à voir ses personnes rejoindre les toilettes en courant. Ensuite, je suis quelqu'un de très logiques. J'aime bien les choses symétriques et j'ai la manie des chiffres impaire. Les 0 et les 5 sont mes préférés, car je peux établir plusieurs raisonnements dessus comme le 0 et le 1 pour faire des codes binaires
Je suis une véritablement petite fouine. J’aime fouiner dans ce qui ne me regarde pas et je suis aussi très curieux. Je n’ai pas mon pareil pour m’incruster dans la vie des gens sans qu’il le veuille. J’adore les mettre dans l’embarras et trouver leurs petits secrets qu’il cherche a cachais au fin fond de leurs placards. Avec les filles, je m'entends relativement bien, ce sont tous plus ou moins des commères. Mais, ce n'est pas à cause de leur beau sexe que je les ménage. J'ai tendance à les traiter comme les garçons en oubliant parfois mes manières avec elle. Je suis pourtant prévenant. La première chose qu'on remarque sur moi, c'est mon éternelle bonne humeur. Je souris toujours de toutes mes dents à n'importe qui, même les vieux pervers dans les rues. J'ai totalement confiance en moi, donc je n'existe pas souvent dans ce que je veux faire. De cette manière, ils croient tous que je suis qu'un garçon frivole et facile à duper. Mais y a rien de mieux pour que tout le monde te confie ses petits secrets. Quoi que, je devrais arrêter d'exagérer, on ne me prend pas autant pour une truffe. Ce n'est pas le top de l'élégance, mais bon, si c'était mon seul défaut, on le saurait. Après en qualité, je suis plutôt du genre prévenant et très protecteur envers mes amis.
Physique : Bon part où commencé... J'ai de longs cheveux blonds coupés à l'arrachent. Si je les portent aussi long, c'est parque, j'ai la flemme de me les couper. Ne crois pas que je veux faire ma fille avec mes cheveux blonds. J'aimerais bien changer de couleur, mais franchement, je ne comprends rien à leurs histoires de poses. C'est deux fois moins long de les laisses poussait comme ils veulent. Ouais, parfois, je vais à ce truc, le coiffeur, pour qu'il m'arrange le dégradé. Faut quand même que je puisse attirer les autres avec ma crinière de lions. Je ne cherche pas vraiment à me faire beau le matin, je le suis au naturel. Parait que j'ai des reflets bruns blanc en fonction de la lumière, c'est certainement vrai. J'ai une mèche qui me cache la moitié du visage. Je l'arrange sur mon œil droit pour pouvoir voir de l’œil gauche Malheureusement pour moi, mais cheveux son dense et épais. Un véritable bonheur à touché, mais une horreur à coiffer. Parfois, je les attachent ou je me cache le haut derrière ma capuche rouge. Enfin, je dois être motivais le matin pour chercher à dompter ces mèches rebelles. Jamais ! Je ne laisserais personne me faire d'adorables boucles blondes, c'est moi qui surnomme les gens comme ça par l'inverse ! Je préviens si vous voulez par finir en sang Dans mon lit-
Tu t'écartes, idiot !
Tu l'as dit ! Ensuite, ben, j'ai un visage légèrement ovale. Heureusement pour ma pomme. Je n'ai pas gardé mes bonnes joues de gamin. Mon visage ces affinée en même temps que je grandissais. Bon commençons par le bas. J'ai un cou pour rattacher ma nuque à mes oreilles. Elles ne sont pas très grosse, ni trop en avant. Ce sont de gentilles petites oreilles bien comme il faut. J'ai six piercings à boucle et une boucle d'oreille simple attachaient à chacune d'elles. En suivant les courbes de ma mâchoire en redescendant. On arrive à mon menton volontaire hérité de mon cher ''papa''. Qui se trouve juste, en dessous de ma bouche. Comme pas hasard si je trouve ma bouche au-dessus de mon front, tu dois être le fils d'Héphaïstos. Que dire sur ça ? Bah, c'est une bouche quoi ! J'ai des dents blanches et une langue sensuelle de couleur rose de préférence. Comme je souris tout le temps le bout de mes lèvres est un peu gerces. Après, ce sont des lèvres, elles sont ni trop grosses, ni difformes, mais charnues et assez fines. Aussi, si je me retrouvais avec de belles petites princesses, j'aurais peur pour ma virilité. Qu'est-ce que je peux dire encore... J'aime embrasser les gens surtout quand ils s'y attendent le moins
Ce n'est pas de la description physique ça !
Ah zut, oublié, je passe à la suite. À la fin, y reste mon front et mes yeux. L'un n'a absolument rien d'exceptionnel. A part si vous aimez regarder ma peau blanche, mais, ce n'est pas le meilleur endroit, Darling. L'autre, on arrive aux meilleurs endroits de ma personne : mes yeux. Entouraient de cils longs noirs. Le fond blanc laisse apparaître une prunelle bleu ciel. Sa couleur est un peu particulière, car elle change en fonction de la tension électrique dans l'atmosphère et réagis à mes humeurs. Quand je suis en couleurs, j'ai les yeux d'un bleu profond électrique où des éclaires semblent prendre forme à l'intérieur. Mon regard est assez intense à soutenir pour les personnes sensibles. Certaines personnes me disent avoir ressentis un frisson les premières fois que je l'ai fixé. Je n'y suis absolument pour rien, c'est totalement involontaire. Après au-dessus, il y as mes sourcils étrangement bruns. Il ne pouvait pas être blond comme le reste non ? Eux aussi, ce sont des rebelles de source. J'ai trouvé l'origine de mon caractère de merde, ça vient de mes sourcils fins.
Tu as fini tes conneries ? Tu peux finir ta description s'il te plaît ? N'oublie pas que tu as une jolie cicatrice sur le coin de l'oeil que tu cache avec t'as mèche.
Au final, je suis du type caucasien. Je suis grand grâce au basket que j'adorais pratiquer pendant les yeux de pauses. Plutôt bien battis, j'aime mon corps musclé, mais pas déformée. On voit que j'ai des becs et des points pour me battre. De plus, ça permet de rendre encore plus impressionnant mes nombreux tatouages. Le plus impressionnant est celui qui part au niveau du tronc et qui finit à la raie des fesses. Il montre ma taille d'athlète bien raide sans un bout de gras qui dépassent. Même mon cul est parfaitement dessiné. Et je te rassure Darling ! J'ai tout ce qu'il faut aussi devant ! C'est certainement le plus important dans cette vie non ?
Tu es un véritable obsédé ...
Tu l'as ferme ?
Soit sérieux... Par pitié !
Tu me saoules... t'as qu'à finir !
Quel lâcheur, surtout que je n'ai plus rien à dire à parque que tu as des jambes musclées, des chevilles, des orteils ?
Style vestimentaire : Niveaux vêtements Ethan n'est pas bien compliqué. Du genre à mettre un sac à patates sur la tête si c'était nécessaire. Il préfère quand même son vieux sweat rouge qu'il laisse toujours ouvert. Pas du genre pudique, ça ne le dérange pas de sentir les regards dévisagés ses tatouages. Réellement, c'est pour ce plaisir-là qu'il le fait et aussi, ces plus pratiques pour se battre. Il porte des pantalons serrés avec des grosses ceintures. Souvent très long, il aime aussi porter des bottes avec ses tenues dignes d'une racaille de bas étages. Il peut lui arriver de détacher les boutons et la fermeture éclaire de son pantalons sans le remarquer. Au moins ça permet de voir qui regarde par là ~ C'est pour ses tenues globales après, il peut faire un minimum d'effort en portant une chemise ou d'autre vêtement léger. Il déteste les doudounes et les cirés jaunes canaris.
Histoire
Histoire : J'ai passé des jours entiers à regarder ce bout de papier. Une enveloppe cornée sur le côté et papier jaunis. Je l'ai depuis le début de mon existence. C'est, si on veut, le fils rouge de mon histoire. Tout commence ça, comme tous les récits, par une rencontre. Ma mère était anglaise, et issus d'une famille assez riche originaire de Russie. Sa mère avait épousé mon grand-père, un anglais. Ils avaient quitté le pays pour pouvoir réussir dans un pays moins réglementaire. L’entreprise familiale tenait un commerce prospère et fleurissant dans la pâtisserie. C'était un canidé de moyen gabarit. Une femme élégante qui aspirée à une vie en paix et en amour. Elle n'était pas comme la plupart de nos espèces. Son cœur ne voulait aimer qu'une seule personne et être aimée en retour de cette même personne. Mais, il est rare que ce soit possible. Elle avait une pensée de singe, croyant réellement à la sincérité et à la fidélité. Ma mère s'appelait Geny. Ce fut une femme douce et compréhensible qui eut un destin tragique. Un soir, elle rentrait tard du boulot. La pression et la fatigue aidant, elle alla dans un bar pour se détendre. Accolé au comptoir, tranquillement en buvant son cocktail. C'est là qu'elle rencontra la femme de sa vie et ma future mère.
C'était un gros gabarit qui attira tout de suite l'attention. Belle et grande, aux allures sur de soi, elle avait tout pour séduire une fille légèrement coincée. L'étrangère était attirante et mystérieuse. Elle s'installa à côté de Gény pour prendre un verre. D'un regard, ma mère succomba complètement. C'était le véritable coup de foudre. Avec un peu de chance, les charmes de ma mère séduit sa future compagne. Elles partagèrent une grande suite dans un hôtel réputé. Pendant une semaine, les deux jeunes femmes se firent plaisir dans cette grande chambre. Gény tomba éperdument amoureuse de cette féline, mais pas seulement, elle tomba aussi enceinte. Cette femme fut comblée et elle ne demandait pas mieux que partager son bonheur avec celle qu'elle aimée. Mais la nouvelle ne rendu pas heureuse l'étrangère. Bien au contraire, la féline semblait bien désemparée à cette nouvelle. C'est là que ma mère comprit, ce n'était pas une relation amoureuse, ce n'était même pas de l'amour. C'était une simple relation sans lendemain.
Ma mère ce senti terriblement sotte. Son monde s'écroulait sous ses pieds avec cette nouvelle. La femme dont elle était tombée amoureuse été payée par sa famille. Mes grands-parents ne souhaiter pas que Gény puisse reprendre l'entreprise familiale. Pour cela, il fallait la rendre indésirable et rien ne valait mieux qu'une tare entre un canidé et un félidé pour une famille qui ne voyait que par la pureté de l’espèce. Ma mère plus que déçut par la perte de l'entreprise, était effronté par cette trahison amoureuse. Gény s'en alla avec un simple numéro de téléphone. C'était le seul souvenir qu'elle avait le droit d'emporter avec cet enfant. Elle quitta l'hôtel, sa famille et son pays pour l'élever au loin. Ma mère m'emmena, alors à peine âgé de quelques semaines, dans une ville isolée et froide de la Russie. Sur une nouvelle terre, elle a pu repartir à zéro. Seulement, ses rêves avaient été brisés. Le canidé ne croyait plus en rien à part en cet enfant. Ce petit être qui était vrai, du moins pour sa vie à elle. Gény ouvrit une pâtisserie pour m'élever. J'ai grandi dans une maison chaleureuse où malgré l'absence d'une autre mère, je ne manquais de rien.
Ma mère fut perturbée quand je commençais à grandir. Moi, qui lui ressemblais tellement à ma naissance, je me retrouvais à dix ans avec les traits de la félines. J'avais le même regard légèrement amendé. Les yeux moqueurs et brillants d'une certaine malice. Gény eut du mal à l'accepter. Malgré tout sa volonté d'oublier cette maudite femme, son enfant porté les traces de son patrimoine génétique. Le sort s'acharnait contre elle. J'étais la personne la plus importante à ses yeux. Il était hors de question, que cette étrangère me prenne à elle. Pourtant, je grandissais et Gény n'avait pas assez de force pour passer outre ma ressemblance. Ma mère prit lentement ses distances. Au début, ce n'était pas bien grave, on arrêtait simplement de se regarder dans les yeux. Puis petit à petit, elle ne souhaitait plus voir mon reflet dans le miroir, ne plus voir mon visage. Finalement, c'était être dans les mêmes pièces qui la dérangée. Elle travaillait de plus en plus tard pour éviter de me voir. La rare nuit où elle rentrait à la maison quand je ne dormais pas encore.
Elle rentrait doucement dans ma chambre. Se penchant sur mon lit pour me caresser les cheveux. Sa voix était remplie de tendresse quand elle me chuchotait des mots doux. Gény me disait qu'elle m'aimait quel que soit mon visage, mon apparence ou mon caractère. Elle parlait de ma vie future, de ses envies et de ses désirs pour moi. Et en même temps, je l'entendais pleurer. Ses larmes coulaient en s'excusant de ne pouvoir supporter mon visage. J'ai donc voulu effacer cette image qui me collait à la peau. Une volonté de protéger ma mère autant qu'elle m'a protégé et me protégerais. J'ai commencé à me battre à l'école pour pouvoir rentrer le visage écorché. Je pensais sottement, qu'il suffisait de faire ça pour effacer les souvenirs d'un cœur brisé. Mais je ne fis qu'inquiéter ma mère d'avantage. Chaque soir, on se disputait dans la salle de bains. Elle voulait soigner mes plaies, moi pas. J'aurais préféré que ça s'infecte pour pouvoir garder des marques qui ne s'effaceraient jamais. Seulement, toute la marque finissait par partir.
Ce fut un banal accident qui m'offrit le plus beau cadeau : une jolie balafre sur le coin de l'oeil. Je rentrais de l'école à vélos. Sur le chemin de la maison, j'ai fait un écart de trajectoire à cause d'une voiture qui roulait trop vite. Le vélo quitta la route et je fus projeté contre les rochers qui longeaient la route. La poudreuse avait amorti ma chute, mais pas suffisamment pour me protéger. Cachait sous une bonne tonne de neige, un coin aiguisé me lacéra le visage. Sous le choc, j'avais perdu connaissance. Ce sont les gamins de l'école qui m'ont retrouvaient et avertis les adultes. Quand je me réveillais, j'étais à l'hôpital avec ma mère morte d'inquiétude. J'essayais de rigoler, mais finalement, elle n’arrêtait pas de pleurer malgré son sourire. Elle caressa mes joues en répétant sans cesse les mêmes mots : « Merci, ton visage n'est pas trop amoché ». Cette phrase était maladroite. Elle fit naître en moi une espèce de malaise. Est-ce pour moi qu'elle s'inquiétait ou avait-elle peur que je ne ressemble plus à celle qui l'avait abandonné ?
Je n'ai jamais eu les réponses. Quelques années après, ma mère tomba malade. On a dû rentrer en Angleterre qui était le seul pays où on pouvait la soigner. On a commençait une nouvelle vie, mais sa maladie s'aggrava rapidement. Elle fut opérée un mois après notre arrivée. Gény s'en sortis sans complication et je venais la voir tous les jours pendant les heures de visites. Un soir, parmi tant d'autres. Je trouvais une inconnue dans sa chambre. Une femme belle qui avait l'air devenir d’un autre pays. Elle me regardait comme un bout de viande qu'elle allait dévorer. Je venais de les couper dans leurs conversations. Ses yeux me tétaniser. J'étais complètement mort de trouille :
« C'est ton fils aussi ! C'est notre fils » pleura ma mère « J'étais obligé de t'appeler ! Si je ne m'en sors pas, il faut que tu t'occupes de lui ! Par pitié ! Je sais que je ne devais plus rien te demander ! Mais, pitié, c'est quand même ton enfant aussi »
Elle me fit signe de venir contre elle. Je m'exécutais sans rien demander en me cachant dans ses bras. Ma mère me caressa les cheveux en essayant de terre ses sanglots. L'étrangère adoucit son regard avant de soupirer. Ma mère m'expliqua rapidement les choses, en prenant grand soin de me cacher les détails sanglants. L'opération n'était pas une si grande réussite, elle était toujours malade et ne pouvait pas s'occuper de moi. Mes grands-parents ne voulaient pas se charger de moi. Il refusait de mettre à mal leurs images pour un enfant sortis de nulle part. Par manque de solution, elle avait appeler ma seconde mère pour s'occuper de moi. Ma seconde mère me récupéra et m'emmena avec elle dans un grand hôtel pendant quelques jours. Elle m'expliqua qu'elle avait une autre famille, d'autre obligation. J'ai compris rapidement que le message était que je n'étais pas un enfant désiré. Elle ne m'aimait pas, mais semblait le vouloir, je l'espérais tellement. Elle me rédigea une lettre avant de me l'a donner.
« Je t'ai inscrit dans une bonne école, Gény est d'accord avec moi et tu as un grand-frère qui t'attend là-bas ! Je t'ai tout noté là-dedans, tu en feras ce que tu veux ! »
Ma mère biologique m'expédia dans une école privée qu'elle jugeait digne de moi. D'après elle, je n'étais pas totalement un déchet. Même si je n'étais pas un grand canidé ou un mixte entre canidé et félidé, je n’étais pas une tare pour autant. J'ai gardé précieusement la lettre en étudiant dans cet nouvelle école. Ma seconde mère ne me donna que peu de détail de sa vie privée. A part un numéro de téléphone comme avec ma mère douze ans auparavant. Jusqu'à aujourd'hui, je ne me moquais de trouver les traces de mon frère. Mais arrivé à dix-huit ans, ça serait peut-être sympa de lui mettre mon poing dans la figure. Seulement, j'ai préféré arrêté l'école pour bosser dans les bars. Je gagnais de quoi survivre et de quoi économiser pour me tatouer tout le corps. Je ne l'ai jamais aimé donc autant le camouflée sous de l'encre. Malheureusement, sans diplôme, tu peux pas faire grand chose de t'as vie. Donc une fois tatouer et sermonné par ma mère, je suis retourner à l'école avec les gamins.
Autre : Les seules choses que je pourrais ajouter, c'est que je n'ai pas passé plus de deux semaines avec ma seconde mère et je n'ai plus revu ma mère après son opération. Enfin, je ne porte pas le même nom de famille que mon frère, je ne sais même pas si on se ressemble physiquement ou intellectuellement. Je m'en moque un peu, l'étrangère m'a donnée que très peu d'information sur elle ou sur lui a par ce contenu dans la lettre. Si je ne l'ai jamais lu, c'est parce que, je n'avais aucune envie de le rencontrer. Mais bon, arriver à la majorité, c'est ma curiosité qui me pousse à l'ouvrir. Je me pose pleins de questions. Mais je ne suis pas forcement jaloux de lui. Ma mère s'est bien occupée de moi et je l'aime même si on était que tous les deux. Après, je ne dis pas que je ne vais essayer de défier l'autre ou de lui piquer son copain. Je suis sûr d'être le genre de petit frère chiant qu'on préfère ne pas connaître. Mais c'est justement ça qui est drôle...
Suppléments
Le code : Validé.Ton pseudo : Alois
Ton âge : 18 ans
Notre découverte : Je le connaissais grâce à un partenariat puis par ma sœur.
Ta présence : Une fois par jour minimum.
Ton avatar : Gunji de Togainu no chi
Tes références : OAV + Manga
Un rajout : Rien, c'est parfait pour le forum. Mais j'aimerais faire une demande un peu égoïste. Si c'est possible, si ma fiche à besoin de modification, pouvez-vous m'envoyer les remarques en mp ?