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NC16 - Romances hétérosexuelles et homosexuelles
 
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Gwendoline Jeasly ou la cinglée de sous-directrice ♥

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Dim 8 Nov - 20:49
Gwendoline Jeasly


Nom : Jeasly
Prénom : Gwendoline
Âge : 28 ans | 17 Novembre
Origines : Australienne
Orientation sexuelle : Je suis bie ♥
Groupe : Direction
Emploi : Sous directrice
Dominance : Dominante
Famille de race mêlée : Crocodile
Animal de race mêlée : Gavial du Gange
Appellation scientifique : Gavialis gangeticus
Quelle catégorie de poids : Lourd


Identité


Goûts : Les personnes qui ont plein de défauts quoi que je sois capable d'être jalouse de leurs gaucheries. Il faut avoir un minimum de défauts pour ne pas attirer trop mon regard. Quoi qu'après, ils deviennent terriblement ennuyants. Finalement, je n'aime pas ses gens-là. Ils n'ont rien que je puisse jalouser et baisse facilement la tête devant moi. En tant que crocodile, je suis un prédateur de nature. J'aime quand ma «traque» est divertissante, et surtout quand ma proie ne tomber pas facilement sous mes crocs. J'aime énormément les félidés d'ailleurs, je les trouve assez imprévisibles. Je suis naturellement attirée par ce que je ne peux pas prévoir. Ce sont peut-être les seuls que je peux supporter en tant que petit et moyen gabarit. Ils sont tellement adorables que ça ne me donne presque pas envie de les détruites. Ce sont principalement les individus de cette espèce que j'apprécie le plus. Les ours, les crocodiles et les serpents, je m'en moque bien par contre les chiens commence sérieusement à porter sur les nerfs. Ils sont trop facilement influençables.

J'aime prendre le thé pendant que je travaille, je trouve ça relaçant. Ca calmer mes envies de plans sordides. D'ailleurs, je pense qu'un malin dans l'académie le bien compris parque, j'ai tous les jours une boite de thé différente sur mon bureau. En fonction du goût de mon thé, je peux radicalement changer d'humeur. C'est assez étrange, mais j'aime en boire pour me détendre. Ça va de paire avec mon travail que j'aime faire dans les règles de l'art. Avec moi, pas de chichi, pas de sentiment : tu bosses et tu te tais. Je ne me montre pas buté en suivant à la lettre les règles de l'administration ou de l'école, mais j'aime quand les choses ailles dans le sens que je veux. J'ai tendance à prendre des décisions justes. Je n'aime pas quand les gens viennent se plaindre, ils sont saoulant. C'est pour ça que j'ai souvent du mal lorsque je reçois des parents dans mon bureau. Particulièrement, les parents de petits canidés qui s’excitent pour un rien en braillant mon petit par ci, mon petit par là. J'ai même tendance à me venger sur leurs gosses pour calmer mes nerfs.

Je suis une grande fan du rangement, même si je préfère le faire faire que me salir à la tâche. J'aime quand il y a de l'ordre sur mon bureau. Particulièrement quand j'ai des dossiers en retard ça me permet de me dire combien de temps encore, il me reste pour accumuler une certaine dose de boulots. Je mesure chaque matin la pile de dossiers à traité, en fonction de sa longueur, je bosse ou je m'occuper un peu le temps qu'elle grandisse de quelques centimètres. Enfin, la dernière chose qui me semble importante et que j'aime par-dessus tout, ce sont les parties d'échec. J'adore ce jeu, j'ai d'ailleurs un très bel exemplaire dans mon bureau tout en verre sur un plateau de bois d'ébène magnifique. Je tue le premier qui ose me casser une pièce ou le toucher sans ma personne. Ce jeu me permet véritablement de tracer la vie de mes étudiants. Je m'amuse parfois à associée les pions à des élèves et des fous à certaines professeurs. Je ne supporte pas de perdre une partie, c'est comme perdre à un jeu de stratégie, je risque réellement de me mettre en colère et de jalouser cette personne qui gagner. Alors quelqu'un veut jouer une partie avec moi ?


Caractère : Mon caractère ? Vous voulez vraiment le connaître ?! Oui ! Bon à vos risques et périls. Par où commencer ? J'adore mes élèves, je suis quelqu'un de très gentille, j'aime énormément aider autrui et faire des choses pour mes adorables élèves ! Ah, vous voulez la vérité, bon,

Je suis jalouse. Terriblement jalouse : je veux toujours ce que je n'ai pas. C'est un trait de caractère extrêmement dominant chez moi. Depuis gamine, je suis comme ça. J'empoisonne la vie de mon entourage en voulant toujours tout. Une amie à moi est en couple, je suis jalouse. Une fille qu'on trouve belle dans un magasine, je la jalouse. Enfin, ce ne serait pas trop grave si ça s'arrêter là. Mais, j'ai tendance à vouloir détruire l'objet de ma convoitise. Je ferais tout pour pouvoir l'avoir, si c'est le petit copain d'une ami, je le séduirai et ferai en sorte qui tombe dans mes filets. Si je ne peux pas l'avoir, je le tue. Du moins, je m'arrange pour détruire sa vie social, genre en le harcèlent ou en faisant en sorte qu'il soit rejeter de tous sinon économiquement, je pique sa carte bancaire ou je paye des hommes pour le tabasser. Je m'en moque s'il essaye de se tuer ou de prévenir la police. J'ai tendance à me défaire de mon envie de possession dès qu'autre choses m’intéresses. Mes crises ne dur donc, heureusement pour victimes, jamais bien longtemps et ça finis par n'être qu'un mauvais souvenir.

Contrairement au autre membre de mon espèce, j'ai tendance à ne pas être impulsive, mais, à tout bien planifier pour avoir ce que je désire. Je peux désirer quelques choses sur un coup de tête, seulement une fois que ça y est ça y reste. Je ferais alors tout pour pouvoir réaliser mon projet. Quitte à devoir faire du mal autour de moi ou a manipuler les gens qui m'entourent. Je n'ai pas réellement de pitié pour les poids moyens et faibles. Seuls les poids lourds ont de la valeur à mes yeux. Tant qu'il s'en montre digne sinon, je pense que je me montre encore plus dure envers eux. Je n'y peux rien, je suis comme ça. Malheureusement pour moi et heureusement pour eux, je finis toujours par me défaire de mes jouets. Ils soit prévisible, soit je désire déjà autre chose. Je m'amuse plus à faire des plans qu'à les réaliser. Ce qui explique qu'à l'ordre du jour, j'enchaîne les coups d'un soir et les relations de haines avec la plupart des personnes qui m'approchent. Je finis toujours par les jalouser d'une façon ou d'un autre. Un jour, je veux quelque chose d'eux que je n'ai pas : le cul, leur vie, leurs amis...

Le reste du temps, quand je ne jalouse pas quelqu'un. Je me montre très professionnel dans mon travail. J'aime l'ordre et la minutie, j'apprécie particulièrement les personnes ayant de la jugeote tant, qu'il n'en non pas plus que moi sinon j'en viens à les déteste et à en faire mes larbins. Je ne cherche par particulièrement à me faire apprécier. Je n'aime pas mentir et ma franchise à tendance à détruire plus d'une personne. Un exemple ? Je n'aurais aucune honte à dire à un jeune couple que je voudrais coucher avec la fille et que le garçon est très moche. De plus, étant une très bonne menteuse, ça ne m'a jamais fait de mal de mentir pour servir mes intérêts ou ceux des personnes que je tiens en estimes. On pourrait me croire sans cœur, et réellement même moi, je me demande si j'en ai un. On pourrait me croire sans cœur, et réellement même moi, je me demande si j'en ai un. Aussi, j'ai des réactions assez extrême et quand je m'énerve, même si c'est extrêmement rare, je n'ai pas de pitié à envoyer celui qui m'a cherché à l’hôpital pour quelques mois.

Je n'aime pas montrer ma forme animale, je trouve sa dégradant quand ce n'est qu'un vulgaire poids léger ou moyen. Mais si un ours ou un gros canidé me chercher noise, je fais exception à la régler. Pourtant derrière mon apparence hautaine et extrêmement jalouse. Je cache une personnalité assez douce. Même si ont à du mal à y croire, je suis assez ouverte d'esprit. J'aime volontiers les initiatives et les personnes qui osent me défier. J'en suis lasse de tous ceux qui baissent la tête devant moi comme des gentils petits chiens. Ce qui ose se révolter m'intrigue, j'ai tendance aussi à ne pas abattre les personnes déjà faibles. Ça ne m'apporte rien, et je trouve bien plus marrant de voir ce que ça donnerait si j'arrive à la sortie de sa mauvaise passe. J'adore jouet avec les gens. Souvent, je sors deux dossiers de personne au hasard et je m'amuse à les observer pendant une semaine. Je m'amuse à les mettre dans des situations particulièrement coquasse en abusant de mon pouvoir de sous-directrice s'il le faut. Est-ce que j'ai des scrupules ? Non ! Pourquoi faudrait ?

Je suis assez bonne comédiennes et j'aime énormément faire semblant. Quitte parfois à me ridiculiser pour parvenir à mes fins. Je suis un manipulatrice, une menteuse, une méchante fille qui mérité une grosse fessée. Pourtant, je sais aimé, m'attacher sincèrement, me montré gentil et même parfois agréable avec autrui. Malgré le fait que personne n'ignore mes mauvais cotés, j'en ai quand même quelques un de bons...


Physique : Je ne suis pas du genre à me vanter. Mais je suis magnifiquement belle. Le genre de femme dont toutes les autres devraient être jalouses. Faut dire que peu d’entre elles peuvent arriver à mes mensurations divines et avoir le même visage d’ange que moi. J’ai tendance à être jalouse des autres pourtant, je n’ai vraiment rien à envier au commun des mortelles. Mes cheveux sont lisses d’une magnifique couleur noire jais. J’ai tendance à les entretenir, car, une jolie chevelure est l’arme fatale de toute femme qui se respecte. Ils sont brillants avec de nombreux reflets clairs qui tiré vers le marron foncé. Je n’ai pas tellement de frisure sur le dessus de la tête, car je prends grand soin de bien les procès et de faire des masques pour éviter qu’il se casse. Malheureusement, je ne suis pas parfaitement lisse et je dois parfois passer des heures dans ma salle de bains pour faire un brushing ou me faire les plaques. C’est vraiment en fonction du temps que j’ai pour me préparer. Soit j’en fais un qui prend du temps soit je vais à la vitesse maximum quitte à cramer ma masse capillaire. Je sais, c’est paradoxal avec mon envie de toujours prendre soin de mes cheveux, mais je mets souvent des soins après les plaques. Je ne voudrais pas subir l’horrible conséquence de voir mes cheveux se casser. Je ne coupe que les pointes pour les entretenir ce qui fait qu’ils sont longs au point d’arriver au niveau des fesses.

Pour dégager mon visage, je me suis fait une mèche partant de la droite vers la gauche. J’aime énormément mon dégradée à l’avant. Mes cheveux souples caressent le contour de mon visage sans pourtant me gêner la vue. J’ai tendance à laisser mes cheveux lâchés pour éviter de dégager mon cou où un tatouage en forme d’étoile est désigné. Dans les rares soirées ou rendez-vous spéciaux, je me fais un chignon décoiffé pour dégager mes oreilles. J’aime énormément cette coupe qui met mon visage en valeur ainsi que mes oreilles. De plus, je n’ai pas peur d’être décoiffé vu que je le suis déjà. J’ai de toutes petites oreilles, ce qui est très élégant avec des boucles discrètes en or blanc. Je porte normalement que de petite boucle d’oreille très discrète et peut de personne les remarques à cause de mes cheveux. J’ai un visage en forme ovale avec des traits très peu marquée. Ma peau est lisse et donne l’impression d’être complètement pur. Je prends autant soin de mon corps que de mes cheveux avec des crèmes hydratantes avant et après la douche. Les jours de grand soleil, je suis couverte de crèmes soleils pour éviter de bronzer. J’aime ma peau blanche même si c'est paradoxal avec le profile des belles australiennes. Mais je suis aussi très sensible aux rayons du soleil. Je rougis facilement est ces extrêmement disgracieux.

En détail, mon visage se compose comme ceci : d’un front qui n’est ni trop grand ni trop fin, il est normal pour un front, c’est un front. Mes cheveux le cachent en partie quand mes mèches me tombent devant les yeux. Juste légèrement en dessous de lui, j’ai deux sourcils fins et bien épilés. Ils sont dessinés de manière à épouser harmonieusement le contour de mon regard. Mes sourcils ont la même couleur que mes cils et mes cheveux, ils sont d’un noir profond. J’ai des yeux à l’occidental, plutôt grand entourée de longs cils fins souvent maquillés d’un beau mascara noir brillant. Mes pupilles sont d’un marron clair virant parfois au vert en fonction de la lumière. J’aime leurs couleurs particulières qui changent en fonction de la saison, de l’éclairage, et même parfois de mon humeur. J’ai les yeux plus foncés quand je suis contrarié que quand je bois tranquillement mon thé dans mon bureau. D’après-certaine personne, les yeux sont le reflet de l’âme. Je ne suis pas sûr que ce soit vrai sinon j’ai des yeux de tueuse. Je suis souvent blasé devant les personnes qui se montrent maladroites ou exubérantes voir même qui se comporte normalement. Je l’ai regard fixement sans me rendre compte que je l’ai mal à l’aise.

Ce n’est pas tellement un signe de colère, ni même signe de ma supériorité malgré le fait que certaine personne le penses. Mais simplement le fait que je ne sais pas faire de regard doux. Quand je suis en colère, les gens ont l’impression de se faire transpercer par une épée, des éclairs ou un essaim d’épines. Je les fusille littéralement sans pour autant changer ma manière de parler ou de faire, les plus sensibles se sont même mis à pleurer pour m’avoir échauffé les nerfs. Pour les parents, je me force à faire un sourire et à prendre un regard doux voir bienfait. Le même genre de regard que je fais quand je veut coucher avec quelqu’un. Je n’ai tendance à faire ma tête souriante qu’une fois le travail terminer ou quand un étudiant vient me pleurer dans les bras et que je n’ai vraiment pas d’autre choix. (pas de secrétaire ou pas de prof à qui le refiler). Encore en dessous de mes yeux, j’ai des joues fines qui non plus rien de mignon. Je suis une femme ! Je n’ai plus mes joues de petite fille ou mes rondeurs de l'adolescence. Je rougis rarement, mais quand ça m’arrive, mes pommettes s’embrassent jusqu’à mes oreilles.

Entre mes deux joues, j’ai un nez droit qui finit légèrement en trompette. Surplombant mes lèvres fines et pulpeuses. Je mets toujours du beurre de cacao pour pouvoir les faires brillé. Elles sont ni trop grandes ni trop petites, elles vont parfaitement avec ma mâchoire. J’ai de petites dents bien blanches que je lave avec mon dentifrice tous les matins. Elles sont tout parfaitement alignées sauf mes canines qui ont légèrement tendance à aller en avant. C’est discret, peu de personnes le remarquent et ça ne me gêne pas dans ma vie de tous les jours. Pour finir mon visage, j’ai un menton volontaire et fier qui va parfaitement avec ma morphologie physique. Ça ne me fait pas une tête plate ni un tête trop ronde. Ensuite, j’ai une nuque longue et fine qui accompagne mes épaules légèrement carrées. Des bras fins et aussi musclés peuvent l’être des bras qui portent des piles de documents toute la journée. J’ai des petites mains au doigt très fin comme celle des pianistes. Mes ongles sont toujours propres et bien manquer, je tiens à être irréprochable face au parent d’élèves ou envers l’équipe de directions. Pour prendre ma morphologie générale, mon corps est taillé en sablier : de bonnes épaules, une taille très fine et de bonnes hanches.

J’aurais pu faire du mannequinat si j’avais moins poussé dans les études. Car, mon corps correspond parfaitement à la formule 90-80-90. Je possède un tour de poitrine généreusement garnie d’un bonnet E, une taille fine avec un nombril en sont centres. Et des hanches bien fermes qui descendent jusqu’à mes genoux droits puis jusqu’à mes fines chevilles d’où partent mes pieds. J’ai des pieds légèrement plats ce qui fait qu’au lieu de me chausser dans le 36, je suis obligé de prendre du 37. C’est légèrement handicapent quand un modèle que je veux absolument y est dans une boutique en 36, mais, pas en 37. Enfin, comme tout le monde, je possède cinq doigts de pied et de mains. Jusqu’à là, je suis normale. En taille globale, je fais 1m75 pour 58 kilogrammes ce qui est vers la moyenne basses pour ma longueur. Dans les couloirs, j’ai tendance à avoir une démarche droite et directe. Je n’aime pas beaucoup devoir faire des virages ou des contours pour pouvoir avançait d’un point "a" vers un point "b". D’ailleurs, on entendant souvent mes talons claquer contre le sol à mon arrivée.

Pour m’habiller, j’ai tendance à apprécier les cachemires en col rouler. Ils sont chauds et bien épais ce qui me permet d’éviter de n’avoir trop froid. Je prends souvent soin de ma température et surchauffe mon bureau pour pouvoir être à l’aise dans les grands froide. Sinon des chemises à col montant ou des t-shirts très épais à manche longue feront l’affaire. J’aime particulièrement les matières douces et crains tout ce qui pique comme les pulls en laine. Avec mon haut, j’aime énormément l’assortir avec une jupe droite voir moulante qui colle bien à la peau à laquelle j’ajoute des collants épais noirs. Sinon un jean slim fera parfaitement l’affaire. Je porte des chaussures montantes, souvent des bottes à talons hauts ou des chaussures de femme d'affaires : c'est-à-dire escarpins. Pour finir une veste noir ou une blouse blanche et je suis au top. Comme vous pouvez le voir, je prends grand soin de mon physique et je pique une véritable crise de nerfs quand on me dit que je suis vieille. C'est ma plus grande hantise avec le fait de prendre des vêtements dépareillés. J'ai tendance à courser les élèves dans le couloir quand leurs vêtements sont mal mis. Oui ! La sous-directrice qui tape un sprint derrière un élève

Histoire


Histoire : L’obsession est un poison. C’est ce que j’ai toujours pensé en voyant mes parents. Mon père était un grand chercheur dans la médecine génétique, un poids lourd. Il a passé toute sa vie à la recherche d’une solution pour différentes maladies sans jamais les trouver. Cet homme que je nomme mon père était beaucoup plus occupé par ses cultures de bactéries que par sa propre famille. Même après ma naissance. Ce fut plus facile de faire l'acte que mon accouchement. Contrairement à mon grand-frère qui est un petit gabarit, faire naître un gros gabarit fut difficile pour ma génitrice. Mon père avait passée plus de temps à prendre des notes qu'à la soutenir dans cette épreuve. C’est peut-être pour ça que ma mère a fini par désespérer. Elle avait tellement lutté pour se marier avec un premier de classe et pour m'avoir. C'était une obsédée de la réussite et une véritable chienne, dans tous les sens du terme. Pour un petit gabarit, je me demande encore comment elle avait pu m'impressionner ou encore m'avoir sans mourir sur la table d'accouchement. Peut-être parce qu'elle était folle et tenace. Elle a épousé un homme qui la rendrait riche et célèbre. Seulement, il ne pouvait lui offrir le bonheur qu’elle espérait tant. Mon histoire est celle d’un couple au bord du gouffre. Je suis née comme bouée de sauvetage. Mes parents avaient désiré mon grand frère, c’était un vrai prince. Moi, je suis née en désespoir de cause. Ma mère pensait que s’il faisait un nouvel enfant, le bonheur reviendrait dans cette famille. Mais ce ne fut pas le cas, car le bonheur n’a jamais eu sa place chez nous.

Mon père rentrait chaque fois un peu plus tard au fils des ans. Ma mère sombra, chaque jour, un peu plus dans la folie. Ils vivaient sur un équilibre précaire qui reposait sur le travail et les sorties mondaines. Nombreux nous connaissaient comme une famille modèle. Mes parents jouaient parfaitement la comédie devant la caméra et les autres. Ils rayonnaient d’un bonheur apparent qui éblouissait tous ces crétins qui les croyaient. Personnes. Non personne, ne pouvait comprendre qu’elle était la noirceur de notre maison. Je n’étais pas maltraitée pour autant, j’avais tout ce que pouvait espérer une petite fille de mon âge. Des jouets par millier, je ne comptais pas le nombre de poupées que je possédais. J’allais dans une bonne école, j’étais première de ma classe comme mon frère.

Oui, j’avais tout pour être heureuse, un poney dans le jardin et une grande maison. Mais, je ne l’étais pas. Je n’avais aucune attention de la part de ma mère ou de mon père. L’un acharné au travail ne me voyait que pour mes notes et l’autre finit par sombrer dans l’alcool. Quant aux enfants de cette maison, à savoir moi et mon frère, on réagit chacun différemment à la situation. Lui sombra dans un lent déchirement psychologique. Mon frère se sentait responsable de cette situation. Pour se faire pardonner, il se mutilait et faisait tout pour attirer leur attention. Moi, j’avais déjà compris depuis longtemps que ça ne servirait à rien. Et je restais silencieuse. J’étudiais de manière à être plus intelligente que ces adultes incapables. Je voulais trouver la solution pour m’échapper de cet enfer. Je me noyais complètement dans les études. Elles ont été pendant longtemps mon seul refuge jusqu’à la naissance de ma petite sœur.

Elle est née par accident et son destin n’était pas plus joyeux que le nôtre. Ma mère essaya d’avorter, mais mon père l’en empêcha en l’enfermant dans leur chambre pendant neuf mois. J'ai appris bien plus tard, que ce n'était que ma demi-sœur. Elle était de moyen gabarit et son espèce était serpent. Quand on connaissait mon père, on était sûr que ce n'était pas lui le géniteur. La survie de l’espèce disait-il comme excuse pour sauver l’embryon. Personnellement, je pense qu’il voulait plus de cobayes pour ses expériences. Mais, j’avouerais que sa naissance chamboula quelque chose en moi. Je la déteste. Cette lueur dans ses yeux de tout petit être. Ses grandes billes colorées brillaient d'une étrange magie. Je la haïssais cette innocence dans ses yeux. Ce sourire candide qui flottait sur ses lèvres et toute l’ignorance dont ses gestes faisaient preuve. Pour la première fois de ma vie, j’étais jalouse de voir quelqu’un.

Cette jalousie me conduisit à faire des choses dont je ne devrais pas être fière. Mais réellement, je n’en n’ai rien à faire. Ma sœur, Elisabeth, fut élevée par une nourrice, vu l’incapacité de ma mère à s’en charger. Mon frère et moi, nous occupions d’elle aussi quand sa responsable n’était pas là. Je n’avais rien contre cette enfant, bien au contraire, j’adorais ma petite sœur. Mais je détestais tellement cette aura apaisante qui émanait d’elle. Alors, j’ai tout simplement détruit cette innocente pour qu’elle soit comme moi. Je lui ai montré le pire aspect de nos parents, de notre frère et de moi. Elle qui me suivait partout comme un petit chien, je lui ai montré la vilenie des crocodiles. Si bien qu’elle suivît un chemin complètement différent de nous autres.

Ma sœur se jeta sur la nourriture pour laisser échapper ses frustrations. Elle n’avait pas atteint l’age de raison que j’avais déjà brisé tous ses rêves de princesse et de prince charmant. Contrairement à mon frère et à moi, elle était mauvaise pour les études et fut la honte suprême de notre père. Moi qui pensait qu’il nous aimait pas, j’étais certaine qu’il l'a détestait. Et vous savez ce qui était le plus drôle ? C’était que j’étais jalouse de cette haine. Car il faisait attention à elle au moins. Alors que je faisais partie des meubles depuis 10 longues années. On a tous pensé que notre vie se résumait à rentrer chaque soirée en attendant vivement les lendemains. L’école n’était pas mieux que la maison, mais on n’était plus avec notre mère qui hurlait à travers la maison. Ses cris nous réveillaient pendant la nuit, elle traversait le couloir en pleurant qu’un jour, elle finirait par tuer notre père. Je me rappellerais toujours des larmes silencieuses que j’avais versées en consolant ma sœur qui pleurait dans mes bras. Elle comme moi, on avait fait semblant de ne pas entendre les os que mon frère essayés de briser dans sa chambre. Le gémissement de douleur qui traversait les murs quand il réussissait à se transpercer la chair avec n’importe quel objet.

Si bien qu’un jour, il sauta de la fenêtre de sa chambre. Ce geste désespéré était pour éviter de montrer à notre père qu’il avait eu une mauvaise note. Heureusement, des buissons avaient amortis sa chute du premier étage. Il s’en sortit vivant, mais dû rester un long moment à l’hôpital. Je l'enviai pendant des jours et des jours. Me dire qu’il vivait loin de cet enfer était une idée insupportable. Mais c’est aussi à ce moment-là, que j’ai décidé de prendre ma vie en main. Je n’avais que 12 ans à l’époque, mais j’étais déterminée à écraser tous les obstacles qui seraient devant moi. Même s’il s’agissait de mes propres parents.

Aujourd’hui encore, je me rappelle que cette décision est étonnamment mêlée au choix de ma mère. En désespoir de cause et ne voyant aucune de ces solutions marcher, elle partit comme une voleuse. Elle s’échappa de cet enfer dans un dernier élan de lucidité. Mon frère, ma sœur et moi, avions vu là, un peu d’espoir. Ce fut le premier soir où notre père rentra tôt à la maison. Il n’avait même pas l’air surpris de voir la maison vide. Je me souviens encore du regard froid de cet homme aux yeux clairs et à l'allure si stricte. J’étais jalouse, car même après avoir senti l’abandon de ma mère, je n’avais pas assez d’affection ni même assez de colère à son égard pour pleurer. Je ne l’ai pas regrettée et je n’ai pas non plus souhaité la revoir.

Ma vie pris un autre tournant, je me suis démarquée des deux autres par mon intelligence et mon implication dans les études. Mon père eut pour la première fois, un intérêt en moi. Je pense, que ce moment fut à la fois le plus heureux et le plus tragique de ma vie. Car en étant reconnue de lui, je ne pouvais plus m’échapper de son emprise. Mon frère prit lui aussi la fuite comme il put. Il fut pris dans une grande université pour étudier le droit. Il nous quitta presque aussi rapidement que notre mère. Ma sœur fut envoyée chez mes oncles qui vivaient à la campagne. Là-bas, elle a eu la chance de pouvoir vivre dans une famille chaleureuse. J’étais jalouse de les voir partir et m’abandonner dans ces ténèbres. Ce que j’avais pris pour un refuge était en réalité une prison dorée. Je me retrouvais seule dans les ténèbres du savoir. Depuis lors, mon père m’emmena partout avec lui. Je me montrais très douée dans tous les travaux qu’il me fit faire. Autrefois, j’étais jalouse de ses expériences et de tous ses cobayes qu’il traitait mieux que nous. Mais, désormais, je me rends compte à quel point j’avais tort. Je n’étais pas différente que ses boites de pétries. Il me scrutait avec le même intérêt cupide. J’étais une simple expérience pour lui. Après tout ce qui nous était arrivé, son travail était toujours le plus important. Malgré tout ce que je faisais, je n’étais toujours la première. Le bonheur est une illusion et l’obsession un poison.

J’ai sauté de nombreuses classes, remporté des diplômes en sortant major de ma promotion. Mais sur cette grande route de succès, je n’ai jamais eu ce que je voulais. Malgré tout, j’obtenais tout et finalement, je me retrouvais avec rien. À 25 ans, je pouvais me vanter d’avoir fait médecine et d’avoir terminé mes thèses. Mon père me proposa une place dans ses laboratoires. Je n’ai pas pu la refuser et j’ai continué de travailler à ses côtés. Ça ressemblait à ses longues journées de mon enfance où je l’assistais pour tout et n’importe quoi. Mais mon cœur gondait d’impatience et de jalousie. Je voulais dépasser mon père. J’avais trouvé par hasard sur son bureau les notes de ses recherches. Mon père cherchait un moyen pour qu'un thérianthropes devienne un simple singe. Il s’intéressait particulièrement à l'atavisme. Ces êtres si spéciaux à la capacité génétique tellement impressionnant. J’avais trouvé le moyen de le dépasser, j’allais créer des ataviques ou du moins trouver l’élément déclencheur pour produire plus de cette espèces « rarissime ». Parallèlement, à mon projet, j’avais décidé de devenir professeur en biologie en université. J’enseignais quelques années en m’amusant à faire des expériences variées et diverses sur mes étudiants. J’ai détruit presque autant d’amourette sans lendemain que construit de dangers publics. Je ne faisais que travailler et récolter des données sur les différentes espèces humaines, même sur les singes. Ma vie sociale n’avait jamais été une grande réussite, mais cette période-là était vraiment sous le signe de l’abandon total. Je ne faisais que travailler. Tout ça pour rater toutes mes recherches, et tout finit par un monstrueux échec, du moins en apparences. On ne réussit jamais du premier coup. Mes actions entraînèrent les chutes du laboratoire après la découverte de certains cobayes illégaux. Mon père en perdit, la raison et me jeta en disgrâce :
« Tu n’es pas digne d’être une scientifique, tu es un monstre ! »

Oui, un monstre que tu as toi-même créé, j’étais tellement jalouse de tous ses enfants, de toutes leurs histoires que je ne vivrais jamais et de toute cette ignorance des gens qui étaient censés m’aimer. Je pouvais tous obtenir, mais rien ne me satisfaisait jamais. J’étais comme une affamée qui ne pourrait jamais remplir le creux de son estomac. J’étais devenue comme mon père, obsédée par la recherche. Ce poison avait pourris mon existence et commençait à me ronger petit à petit. J’avais passé ma vie à haïr mes parents que j’avais finis par les envier. Les envier d’avoir pu éveiller en moi de pareil sentiment. Depuis toujours, j’étais jalouse, des enfants qui jouaient entre eux, des mères qui venaient les chercher à l’école, de l’amour qu’elles leur portaient. Oui depuis, toujours, j’étais jalouse de ceux qui réussissaient dans les études, de ceux que je n’arrivais pas à manipuler, de ceux que je ne comprenais pas. Je suis jalouse de tout, tout simplement. Je suis une femme jalouse, car la petite fille que j’étais fut frustrée par une famille de cinglée.

« Tu n’as qu’à tuer le monstre que tu as créé dans ce cas »

Je me souviens lui avoir répondu cette phrase. Il ne m’a jamais répondu. Ses yeux bleus m’avaient fixé au bord des larmes. Sa forme animale était parfaitement visible. Cette forme qui me faisait trembler pendant les disputes de mes parents. Mais pour la première fois, je n’avais pas peur. J’étais comme lui, un monstre, un animal féroce et imprévisible. J’étais simplement un crocodile…

Quelques années plus tard, je pris un poste en tant que directrice adjointe dans un établissement. J’avais remis sur pied l’affaire de mon père et en était la première héritière. Mon frère y travailla à ma place pendant que ma sœur, encore jeune retourna à la ville pour travailler. Je ne m’en étais pas mieux sortie que ces deux-là en fin de compte. Mais, ce n’était pas grave, désormais, je suis loin de l’influence familiale. J’ai un bureau à moi et d’adorables subordonnés à martyriser. Tout un établissement d’étudiants à étudier. Et personne ne sait que je garde secrètement dans un tiroir de mon bureau, des nouvelles notes pour retenter différentes expériences. Je souhaite toujours autant le dépasser. Après tout, j’ai toujours quelques choses que je n’ai pas réussis. Une seule chose, trouver l’élément déclencheur qui conduit à l’apparition des atavique. Et c’est devenu une obsession, un véritable poison…

Autre : Je n'ai jamais été une personne très sociable. Je reste le plus souvent seule. Les quelques amis que j'ai ne me supportent qu'à petites doses. Sinon, ce ne sont que des profiteurs. Je m'entends plus facilement avec les garçons que les filles bizarrement. J'ai un sens particulier de la famille. J'adore maltraiter mon frère Alfred et ma soeur Elysabeth mais, je ne supporte que quelqu'un d'autre les touches. Mon thé préféré est moonlight. J'apprécie les thés anglais particulièrement. Je le bois toujours dans la même tasse en porcelaine, par contre, pour le thé chinois, j'ai ma tasse avec écrit "mochi" dessus. (aucun rapport, mais j'aime cette tasse). J'adore squatter les laboratoires de science (et y mettre le feu)

Suppléments


Le code : Validé.
Ton pseudo : Gwenny
Ton âge : 17 ans ... u_u"
Notre découverte : Je suis le forum depuis un moment en tant invité ! C'est mon frère qui vous a trouvé ♥
Ta présence : Normalement une fois par jour
Ton avatar : Yagiri Namie dans Durarara!!
Tes références : J'ai toute la série (enfin jusqu'au dernier tome sortie) et j'ai regarder les OAV *sage fille*
Un rajout : Non ♥ moi j'aime ~
Gwendoline Jeasly
Invité
Anonymous
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Dim 8 Nov - 21:35
Hellow~ Alors comme dit sur la cb, Rize est déjà prise par une autre membre, il te faudra donc changer pour une autre personnage ^^ (si tu veux de l'aide, ma boite mp t'es ouverte Wink )
Bonne continuation pour le reste de ta fiche !
Aaron C. Williams
a fucking sexy Doc ~♥
Aaron C. Williams
Animal : Gwendoline Jeasly ou la cinglée de sous-directrice ♥ P7gn
Race : Caïman noir | Poids lourd
Orientation : Bisexuel
Messages : 1023
Humeur : Joueuse~
Emploi/loisirs : Infirmier de l'académie
Localisation : Tu veux pas savoir~

Carte d'identité
Dominance: Dominant
Taille: 1,86m
Poids: 89kg
https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t8-aaron-cain-williams-un-croco-pas-si-sage-termine https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t27-les-relations-douteuses-d-un-croco-alcoolo https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t26-les-deboires-d-un-croco-pas-net
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Lun 9 Nov - 8:15
Oui, j'ai juste mis les images pour voir les dimensions, je changerais ce soir avec un ordinateur performant ~

Est-ce que Yagiri Namie est prise ? je l'ai pas vu recensée mais j'ai pas vu non plus que Rize l'était en m'inscrivant XD donc j'aimerais ne pas faire de tord à une autre personnes ♥
Invité
Invité
Anonymous
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Lun 9 Nov - 8:43
Namie~ Non elle est libre, tu peux la prendre ^^
Rize était recensée au nom de Kamishiro, c'est peut-être pour ça que tu ne l'avais pas vue Wink
Aaron C. Williams
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Aaron C. Williams
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Mer 11 Nov - 19:44
Bienvenue et bon courage pour la suite de ta fiche x)
Edën Drymärchen
un poisson échoué ~
Edën Drymärchen
Animal : Gwendoline Jeasly ou la cinglée de sous-directrice ♥ Wn62
Race : Narval/Lycaon du Sahara - Moyen
Orientation : Homosexuel
Messages : 199
Humeur : Narcissique
Emploi/loisirs : Senior - 5ème année - club de natation

Carte d'identité
Dominance: Dominant
Taille: 1,76m
Poids: 70 kg
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un poisson échoué ~
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Dim 6 Déc - 2:20
Bonsoir, du nouveau ? ^^
PNJ - SPA
un PNJ du forum
PNJ - SPA
Animal : Gwendoline Jeasly ou la cinglée de sous-directrice ♥ 8m32
Race : PNJ
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Humeur : Bête et méchante !
Emploi/loisirs : Recueillir les animaux abandonnés~
Localisation : Partouuuuuut !
https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t6-fiche-exemple https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t13-fiche-relations-exemple https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t14-fiche-rps-exemple
un PNJ du forum
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Ven 12 Fév - 20:29
Tout est bon, je valide ^^ (Tu vas pouvoir faire chier ton adorable collègue de directeur adjoint~)

♣ Tu es validé ♣

Va maintenant faire ta fiche de relations pour pouvoir faire plein de liens différents avec les autres membres du forum, ainsi que ta fiche de RPs pour que tu puisses tout de même savoir où tu en es dans tes aventures sur le forum ! Une demande de logement peut-être intéressante aussi, si tu veux avoir un petit chez toi et surtout... si tu n'es pas un étudiant et que tu en as les moyens~ Et pourquoi pas une demande de parrainage si tu es un junior qui a besoin d'aide ou un senior qui veut proposer son aide ? Tiens ! Nous te donnons même la liste des parrainages pour que tu puisses voir qui est libre ou non ! Allez, va vite faire une demande de RP pour pouvoir découvrir de grandes aventures !

Aaron C. Williams
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Aaron C. Williams
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