RSS
RSS


NC16 - Romances hétérosexuelles et homosexuelles
 
Forum fermé !
Si tu veux des thérianthropes, va faire un
tour sur Chicago's Pulsions
-45%
Le deal à ne pas rater :
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre 14 couverts – ...
339 € 622 €
Voir le deal

Le premier qui m'appelle par mon premier prénom je lui donne non pas un sandwish à la fraise mais mon poing dans la g... || Saturnin

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Jeu 31 Mar - 12:28
Saturnin Peter Uriel Rainsworth


Nom : Rainsworth
Prénoms : Saturnin Peter Uriel
Âge : 26 ans (2 décembre)
Origines : Anglo-français
Orientation sexuelle : Gay
Groupe : Personnel
Emploi : Caissier à la supérette
Dominance : Ambi a tendance dominé
Famille de race mêlée : Serpent
Animal de race mêlée : Serpent des blés blizzard
Appellation scientifique : Pantherophis guttatus "Blizzard"
Quelle catégorie de poids : Léger (je table sur la taille minimum du bestiaux éè si ça passe pas, je trouverais autre chose éè)


Identité


Goûts :
Saturnin, il aime ce qui est sucré. Les friandises. Les bonbons. Le chocolat. Les pâtisseries. Le chocolat chaud et le thé avec beaucoup de sucre. Il aime la musique et a pratiqué piano et violon pendant de longues années avant de faire un blocage et arrêter. Depuis, malgré sa passion pour la musique, il éprouve tout de même quelques difficultés à en écouter longtemps et encore plus à en jouer. Il aime la chaleur, les contacts charnels qui réchauffent, prendre des bains de soleil, en ne faisant rien. Ah, ça… il adore ne rien faire. Glander, c’est la joie ultime pour lui. La nature, aussi. Il aime la nature. Prendre son temps pour simplement se poser, les fesses dans l’herbe, et regarder le vent souffler, faisant danser les brins d’herbe, les branches des arbres. Regarder les oiseaux picorer, manger. Les nuages voguer dans le ciel. Voilà ce qu’il aime… passer du temps, tranquillement, seul, si possible. Ah, ça… la solitude… ne pas s’attacher aux gens… ne pas avoir besoin de ressentir quoi que ce soit…

Il aime le tricot aussi. Oui. Le tricot. Et le premier qui se moque de lui, il aura, non pas un sandwich à la fraise mais… bref. Il aime les animaux, et aimerait pouvoir adopter un chat dès que possible. Il aime cuisiner aussi. Oh, ça… oui, il adore. Seulement, il n’a pas grand monde à qui faire des repas, et cuisiner pour lui, c’est agaçant. Ha et puis son petit plaisir, dessiner… Enfin, pas mal de chose quoi.

Dans ce qu’il n’aime pas… avant tout, les gens qui ne comprennent pas que l’ouverture d’esprit n’est pas une fracture du crâne. Ensuite… s’attacher. Enfin, plus parce que ça lui fait peur plutôt que vraiment par dégoût de la chose. Les jugements, aussi. Il déteste que l’on porte des jugements sur autrui, sans le connaître. Les mensonges. Ça, il ne le supporte pas. Sauf si, vraiment, c’est pour le plus grand bien de l’autre. Mais faut vraiment une justification béton pour qu’un mensonge trouve grâce à ses yeux. Il n’aime pas les haricots verts, les salsifis et les endives. Et il hait, par-dessus tout, les mathématiques, quand c’est plus compliqué que « addition », « soustraction ». Et les donneurs de leçon… les connards, les criminels, ceux qui poussent les grands-mères dans la rue ou leur vole leur sac à main, les gens bourrés qui conduisent et causent des accidents bêtement, et… ah oui, la guerre ! Voilà. Voilà voilà.

Ah. J'allais oublier : il déteste, également, son premier prénom, Saturnin, et se fait connaître partout sous son troisième prénom, Uriel.


Caractère : Saturnin est quelqu’un de plutôt complexe à décrire, niveau mental. Tout simplement parce que ses qualités peuvent se transformer en défaut, ou tout simplement être contrées. Que tout dépend d’avec qui il est, dans quelles conditions et dans quelle situation.

Au premier abord, il semble être un homme calme, distingué, paisible et mystérieux. Il est effectivement friand de tranquillité, de quiétude. Et son éducation passée lui a enseigné la politesse et le respect, autant dans son attitude que dans son vocabulaire. C’est un bon médiateur, lorsqu’il veut bien endosser ce rôle. Quant à ce côté sombre et mystérieux, ce n’est pas un genre qu’il se donne. Simplement… simplement une part de son passé qu’il n’aime pas révéler, car avec cela, on pourrait découvrir les fissures, les plaies profondes qui entaillent son petit cœur barricadé derrière d’immense murailles érigées par lui-même.

Car lorsqu’on a l’occasion de gratter un peu, on découvre un homme marqué, blessé au plus profond de son être. Un évènement tragique, la perte d’êtres chers, tant de choses qui vous touchent et vous laissent une trace pour les années à venir.

Ces évènements ont entrainé un renfermement sur lui-même. Un refus de s’ouvrir. Un refus de s’attacher. Parce qu’il a appris à ses dépens que lorsqu’on s’attache à quelqu’un, on court le risque de perdre cette personne. Et que la perte de cette personne entrainera une souffrance sans nom. C’est la principale raison pour laquelle il tente de conserver une distance de sécurité avec les autres. Raison pour laquelle, pour assouvir ses envies de chaleur corporelle et de plaisirs intimes, il choisit des gens au hasard, sur quelques critères simples comme la catégorie s’il s’agit de thérianthropes, le physique ou tout simplement le feeling lorsque le premier contact visuel s’établit. Il lui arrive de frémir d’un simple regard, sensible à l’effet qu’il peut produire sur les autres.

Car le Saturnin est un séducteur insatiables, qui a le besoin, malgré ses craintes, de se sentir aimé, ou tout au moins, désiré. Sans admirateur, il ne se sent plus exister. Saturnin n’est pas forcément des plus entreprenants, mais il se plait à attirer l’attention avant d’entrer dans les jeux de la séduction.

Sans ouvrir son cœur, il enchaîne les conquêtes, car il adore le contact et la chaleur humaine. Et qu’il déteste dormir seul. Il est victime de terreurs nocturnes et c’est là le seul moyen qu’il a trouvé pour dormir un minimum chaque nuit. Pour autant, cette technique n’est pas infaillible, loin de là. Aussi, est-il possible que le jour où il trouve l’attrape rêve humain parfait, il ne lui laisse pas beaucoup de nuits seul…

Saturnin est un homme jaloux. Il n’a pas pu beaucoup l’expérimenter, la seule personne ayant jamais réellement compté pour lui n’ayant, lors de son vivant, d’yeux que pour lui en retour. Mais lorsqu’il voyait quelqu’un s’approcher de lui, cela le mettait dans une colère folle, le poussant à faire tout et n’importe quoi pour que son Damon continue à ne voir que lui. C’est sans aucun doute son défaut le plus fort, et pourtant le plus secret. Sinon, dans la panoplie des défauts qu’on peut lui donner… nombreux sont ceux qui lui accordent le fait d’être méfiant et fermé avec ceux qui tentent de l’approcher pour autre chose qu’une nuit de plaisir. Qu’il soit peu bavard, mystérieux et surtout, surtout… versatile. Certains l’ont assez observé pour comprendre qu’il souffre au plus profond de lui-même d’un mal qui, tant qu’il n’aura pas décidé de le combattre, continuera de le ronger. Ce mal que nombre d’humains supportent ou subissent au quotidien dans le monde. Ce foutu chien noir qui vous ronge petit à petit de l’intérieur avant de vous enfermer, puis, petit à petit, vous briser, ou, si vous trouvez le courage de lutter contre, vous libérer de son poids. Ce chien noir que l’on appelle dépression…

Mais il y a tant de choses qu’il cache derrière son mur de perfection visible, derrière ses sourires vides de sens, mais superficiellement remplis d’une infinie gentillesse, ses œillades langoureuses et ses rires aux éclats cristallins, c’est son manque de confiance en lui. Sa peur de déplaire. Sa peur de la solitude. Sa peur de l’abandon. Sa peur de la mort… Sa peur de la perte de contrôle. Car parfois, il lui arrive de ne plus se contrôler. Lui, le gentleman « parfait » qui ne l’est pas tant, qui peut vous loger un coup de poing au creux de l’estomac ou vous éclater la mâchoire d’un coup de genoux. Lui, l’être aussi blanc qu’une brebis qui se roule dans la boue… Un homme qui peut être aussi doux qu’une plume, aussi polit qu’un prince, peut, un peu plus tard, se montrer aussi belliqueux qu’une hyène, peu importe qui il a en face de lui. Surtout s’il s’agit d’un thérianthrope poids lourd. Car il est rancunier, l’homme. Et qu’il a de mauvais souvenirs de quelques poids lourds, qu’il étend en une généralité, malgré le fait qu’il déteste que l’on en fasse, des généralités… la logique dans tout cela ? Aucune. C’est ce qui le rend humain. Son vécu, qui influence sur sa façon de penser vis-à-vis de certains… et ça l’énerve. Il n’aime pas ce côté de sa personnalité. Mais difficile de changer, à cet âge, n’est-ce pas ?

Ses qualités, elles, il ne les montre que peu, puisque sont rares ceux qui peuvent l’approcher assez pour les découvrir. Pourtant, c’est un homme au cœur d’or, qui mériterait de rencontrer des gens suffisamment courageux pour franchir ses remparts et l’approcher de plus près. Découvrir qu’il est un être droit, fidèle, sincère au point d’être critique et dire qualités et défauts d’autrui, souligner les points qui vont et ne vont pas dans l’attitude de l’un, sans pour autant se montrer désobligeant. Un homme digne de confiance, modeste et humble malgré tout. À l’écoute des autres et prévenant. Patient, polit, sauf lorsqu’on le pousse à jurer comme un charretier.

Bref, vous l’aurez compris. Saturnin est quelqu’un de nuancé. Car la perfection n’existe pas. Et qu’il ne cherche, de toute façon, pas à l’être réellement. Voilà qui est Saturnin.
 

Physique : J’ai le souvenir d’une chambre, pas bien grande, dont l’air était moite. Un lit, au beau milieu de celle-ci, occupait les trois quarts de l’espace. Et sur ce lit… un corps. Entrelacé dans les draps, se laissant porter au gré de ses rêves, il dormait, du sommeil paisible de celui qui vient de connaître l’extase. Nu, encore couvert de sueur des efforts fournis quelques dizaines de minutes auparavant. Et moi, je l’observais, sans réellement savoir où poser mon regard.

Sur ses jambes, longues, finement musclées, presque imberbes, ou en tout cas, aux poils trop clairs pour être visibles dans la pénombre. Ses cuisses, que quelques instants auparavant, je tenais fermement, et contre lesquelles, encore plus tôt, je faisais claquer mes hanches... La peau fine de son ventre, pâle, que je m’amusais à faire rougir outrageusement. Son torse, dépourvu de cicatrice. Ses épaules, ni trop carrées, ni trop arrondies, pile poil ce qu’il faut pour un mélange parfait. Ses poignets, marqués de tracés irréguliers, rougies, qui lui servent de bracelets, à cause de mon obsession du contrôle… Son cou, fin, gracile, que j’ai adoré enserrer plus ou moins doucement. Son menton, légèrement pointu, que j’ai apprécié caresser du bout des doigts, ses lèvres pleines, pâles, cachant une dentition parfaitement alignée et blanche, et mordantes… Son nez, quelque peu retroussé, et droit, ses yeux… oh mon dieu. Ses yeux. D’un gris bleu, pouvant offrir un regard des plus sensuels et qu’il sait si bien lancer... J’ai tout de suite été fasciné par ses yeux. Au-dessus de ceux-ci trônent ses sourcils, blancs comme ses cheveux, fournis, mais bien rangés, au tracé parfait.

Ses cheveux blancs, longs, si longs… lui arrivant aux hanches. Et j’ai remarqué, en l’observant lorsqu’il les attache, que l’on peut alors découvrir ses oreilles, dépourvues de tout piercing.

Je me souviens aussi, qu’alors que je l’observais en train de dormir, il s’est retourné, me dévoilant sa nuque, et ce piercing de surface, qui semblait me narguer, ainsi que son dos, que j’aurais imaginé tatoué tout du long de sa colonne vertébrale, de la nuque, jusqu’aux reins alors qu’il n’en est rien. Rien d’autre qu’une cicatrice partant de l’épaule droite et finissant au-dessus de la hanche gauche. Fascinant de la voir danser sur la musique des gémissements de son propriétaire, d’ailleurs…

En somme… il était bel homme. Élancé, grand. Je crois qu’il m’avait dit mesurer dans le mètre quatre-vingt… et fin. Oui, très fin. J’aurais dit dans la soixantaine de kilos. Au moins soixante-cinq, mais je n’ai pas de chiffre plus exact… Un Apollon que j’ai tenu contre moi, l’espace de quelques heures, avant de l’abandonner à ses cauchemars, suite à l’accord tacite dont nous avions convenus. Une nuit. Du plaisir. Rien de plus. Et moi, cela me convenait parfaitement… même si, parfois, j’y repense, à ce bon moment et à lui… Uriel, personnification moderne de l’astre lunaire. Le Máni du vingt-et-unième siècle. Mon amant d’une nuit. Celui de nombre d’autres hommes…  

[Petite précision concernant ses cheveux blancs : Saturnin est né blond comme les blés, mais a hérité des gènes de sa mère et a subi une canitie précoce. À l'âge de douze ans, ses premiers cheveux blancs ont fait leur apparition. À seize ans, il avait d'ores et déjà la tête entièrement blanche. De même, tous les poils de son corps ont perdu leurs pigments. D'où son beau pelage couleur neige.]


Histoire


Histoire : Il était une fois…
Tous les contes de fées commencent ainsi, non ? Pourtant,  l’histoire que je vais vous raconter est loin d’être une histoire heureuse et elle ne se termine pas bien. Mais elle commence, elle aussi, par cette fameuse phrase. Ainsi…

C’est une histoire qui a pour lieu Londres la belle. Blanche Chevalier, jeune danseuse étoile d’origine française, était à Londres pour tenter d’entrer à la Royal Ballet School. Cette jeune femme, issue d’une famille aisée, avait pour rêve de devenir une grande danseuse et, même si elle aurait adoré tenter l’entrée au Bolchoï, la vie en Russie ne l’a jamais attirée, alors que Londres… ah, le Vieux Continent…  

Ce beau jour de printemps, elle était à Trafalgar Square, en train de s’entraîner pour son audition. Près de la fontaine, elle dansait, ses écouteurs dans les oreilles, se moquant bien de ce qu’il pouvait se passer autour d’elle. Se moquant bien d’être observée. Elle était simplement dans son monde, ses longs cheveux de neige ramenés en chignon sur sa tête.

James-Henry, héritier en devenir de James-Henry Père, PDG d’une firme multinationale dans l’immobilier, rentrait d’une réunion professionnelle, à laquelle il avait accompagné le chef de famille, pour commencer sa formation dans le but de reprendre les rênes de l’entreprise lorsque son père ne serait plus en état ou qu’il estimera le moment venu. Il avait décidé de rentrer à pieds, souhaitant profiter des doux effluves de printemps qui flottaient dans l’air de sa ville chérie.

Le destin a voulu que les chemins de ces deux-là se croisent… pour ne plus jamais se quitter. James-Henry fut subjugué par la passion, le bonheur que dégageait Blanche. Il resta à l’observer des dizaines de minutes, avant de se ressaisir et s’approcher pour venir lui parler. Ne serait-ce qu’entendre sa voix, mettre un nom sur cette apparition qui lui semblait divine.

C’est elle qui a dû entamer la conversation. Il s’est retrouvé planté comme un piquet devant elle, la bouche entrouverte, incapable de prononcer le moindre mot. Elle a ri, doucement, amusée de le voir ainsi, visiblement intéressé ou au moins intrigué à l’idée de lui parler, mais n’y parvenant pas.

« Bonjour… ? »

Elle commence alors, espérant le débloquer. Et elle fut fort avisée de le faire.

« Oui. Pardon. Je… Bonjour. Je m’appelle James-Henry. Je… Tu… alors comme ça, tu danses ? »

Bon, il a eu du mal à dire ce qu’il voulait, ce qui n’a eu pour effet que faire rire Blanche de plus belle. Puis elle lui intima de se détendre, qu’elle ne mordait pas, avant de lui répondre qu’en effet, elle dansait. Elle en a aussi profité pour se présenter. Et il a sauté sur l’occasion pour lui proposer d’aller boire un café. Et ils se revirent le lendemain, le surlendemain, le sur-surlendemain… et le jour de son départ de Londres pour retourner à Paris arriva sans qu’elle ne le voit approcher. Blanche pensait à ce moment-là avoir raté son audition, aussi, c’est le cœur lourd qu’ils se dirent au revoir à la gare de St. Pancras. Ils gardèrent contact, tous deux jeunes et fougueux, volant sur les ailes de l’amour et pensant –à tort ou à raison, qui sait ?- que, puisqu’ils s’aimaient, ils trouveraient un moyen de se retrouver.

Une lettre. Une réponse positive à cette audition. Un couple allait pouvoir se former avec l’emménagement de la vipère à Londres.

Ils se côtoyaient, se voyaient chaque jour qui passait, dormaient ensemble. Bref, ils vivaient déjà pratiquement d’ores et déjà ensemble. Ils avaient leurs habitudes, comme un vieux couple. Et au bout de deux ans, un évènement marquant l’arrêt de la carrière de la jeune femme arrivant. Un accident de pilule. Un test positif. Un petit être, fruit de leur amour, grandissait en elle. Et alors, ils sentirent tous deux leurs deux cœurs s’agrandir pour accueillir une nouvelle personne en leur sein.

C’est ainsi que le 2 décembre est né le petit Saturnin Peter Uriel. Deux prénoms français en hommage à ses origines. Un prénom et un nom de famille anglais en hommage à sa terre natale.

Saturnin n’a pas eu une enfance hors du commun. Sa mère a mis de côté sa carrière de danseuse étoile de bon cœur, pour suivre des études de secrétariat et réussir, tant bien que mal, au fil des ans, à devenir l’assistante de celui qui, entre temps, est devenu son mari, et pouvoir prendre soin de leur fils, lui consacrer du temps et de l’amour. James-Henry, lui, continuait d’assister son père, qui, étrangement, a très vite et très bien accepté l’union de son fils avec cette jeune et charmante française. Et il a très vite été sous le charme de son petit-fils, également. Bref. Tout leur souriait. Le soleil brillait chaque jour pour eux, les oiseaux chantaient, tout était joyeux, beau, parfait. Une vie de rêve.

Saturnin grandissait, petit à petit. Il fit ses débuts de scolarité dans une petite maternelle privée, où il apprenait à dessiner, former des lettres, représenter ses parents et chanter quelques comptines. Rien d’anormal, en soi. Mais un jour, l’atelier fut nouveau. Musique. Des bacs entiers remplis d’instruments étaient à leur disposition et chaque enfant devait attraper un instrument pour jouer. Le professeur, lui, possédait son piano. Et… il fut impossible de faire choisir au jeune Rainsworth un autre instrument. Le professeur le trouva amusant. Mais fut surtout étonné de l’entendre commencer à pianoter au hasard, comprenant presque instinctivement le mécanisme de l’objet, avant de commencer les toutes premières notes de La Lettre à Élise, avec pour simple repère, ses oreilles.

Il demanda alors à ce que l’on convoque ses parents, pour leur parler d’adultes à adultes. Il leur demanda comme il se fait qu’un petit bonhomme de quatre ans connaisse déjà si bien une telle pièce musicale. Ce à quoi Blanche répondit par la simple explication qu’avec sa passion de la danse classique, elle possédait celle pour la musique classique. Et qu’elle en fait souvent écouter à son fils, qui semble raffoler de Beethoven. L’instituteur lui expliqua entièrement ce qu’il avait observé. Et semblait-il que l’enfant a… comme un don pour la musique. Ou plutôt, une facilité déconcertante. De retour au domicile familial, Saturnin fut donc pris entre quatre yeux. Sa mère et son père lui demandèrent si, comme l’avait dit le prof, il avait été aussi implacable sur son choix d’instrument, et si vraiment, il y avait pris autant de plaisir. C’est ainsi que l’enfant leur confia qu’il avait toujours trouvé l’instrument fascinant, mélodieux et qu’il l’attirait. Avec des mots d’enfants, bien sûr. Mais le sens était là. Ils achetèrent un piano pour leur chérubin et l’installèrent dans le salon, dans un premier temps, pour avoir un œil sur l’enfant. Et son professeur particulier qui venait lui donner cours deux à trois fois par semaine. Et même avec un tel rythme, ce n’était pas assez pour l’enfant curieux et avide de connaissance qu’il était.

C’est ainsi qu’il débuta le piano, en continuant bien évidemment l’école. Il n’était pas vraiment l’enfant le plus populaire ni le plus entouré, et s’en moquait. Il révisait ses partitions qu’il savait décrypter avant même de savoir lire.

Il vivait dans son petit monde de musique, heureux. Parfois, quelques camarades venaient le voir pour essayer de comprendre ce qu’il faisait, ne connaissant nullement le solfège. Alors, Saturnin leur proposait parfois devenir chez lui, si leurs parents étaient d’accord, pour leur montrer sa passion. Il se fit ainsi quelques copains, qui adoraient l’entendre jouer.

Lorsqu’il atteint l’âge de six ans, le piano n’était plus suffisant. Il en voulait plus. Et ce plus, c’était le violon. Sa mère lui répétait que c’était un instrument compliqué pour un si petit enfant. Mais Saturnin le têtu ne lâcha pas l’affaire. Au contraire. Et ses parents, touchés par autant de passion, cédèrent à son envie. Cela ne pouvait être nocif pour lui. Ainsi, tous les soirs, du lundi au vendredi, il enchaînait les cours de piano et de violon. Bien sûr, au début ce fut laborieux. Le violon est réellement un instrument difficile à comprendre et maîtriser. Mais il ne se découragea pas. Au contraire, il continua, s’acharna, et réussi à maîtriser l’objet de ses désirs. Il commença par la même occasion à apprendre à contrôler son aura de serpent, la musique étant un bon entraînement, en plus d'avoir l'âge pour commencer cet apprentissage.

À dix ans, deux événements vinrent marquer son année. Le début de sa canitie précoce, qui lui valu quelques moqueries de la part de ses camarades qui ne comprenaient pas que c'était génétique et qu'il tenait cela de sa mère, que d'ici quelques temps il aurait tous les poils aussi blancs que neige et l’arrivée d’un nouvel élève marqua sa vie. Damon O’Neill. Un enfant, originaire de Dublin, dont les parents avaient dû déménager pour leur travail et qui arriva dans sa classe. Qui débarqua dans sa vie, comme une tempête se pointe et qui rafle tout sur son passage. Damon. Son premier et seul véritable ami. Ils s’entendirent rapidement bien, Damon s’intéressant énormément aux talents de Saturnin. Si bien qu’au fil des ans, ils devinrent inséparables. Et petit à petit, Saturnin s’est mis de plus en plus à jouer plus pour son ami que pour les autres, lui y compris. Et c’étaient ces moments où il jouait pour Damon qu’il y prenait la plus de plaisir. C’était sans aucun doute devant son ami qu’il fournissait les meilleures prestations et, chaque fois qu’un de ses professeurs lui demandait de venir jouer lors d’un gala, il insistait pour que Damon soit dans le public. Ainsi, il pouvait oublier tout le reste. Le trac, l’angoisse, le stress, la peur. La foule. Les jugements. Tout. Il oubliait tout, pour se livrer cœur et âme à son œuvre.

Inséparables, disais-je. Ils côtoyèrent les mêmes écoles, jusqu’à être diplômés de leur A-Level. Après quoi, ils s’orientèrent chacun différemment. Saturnin, dans l’art, ayant découvert entre temps une passion pour le dessin, même s’il n’était clairement pas un Picasso ou un Rembrandt et la musique, où, pour le coup, il excellait. Damon, lui, rejoint une branche en médecine, voulant et ayant le potentiel de devenir un bon chirurgien. Mais ils ne cessèrent pour autant pas de se voir. Ils dormaient l’un chez l’autre presque tous les soirs de la semaine. Une parfaite petite amitié.

Amitié qui commença à se fissurer pour Saturnin, le jour où il comprit qu’il n’éprouva pas de sentiment aussi noble et simple à l’égard de son ami. Il le sentait bien, ce cœur qui s’emballait. Ce désir qui le tenaillait lorsqu’ils partageaient, en toute innocence, le même lit. Cette joie extrême qui naissait en lui, chaque fois que Damon le touchait. Pour autant, il refusa de se l’avouer. Après tout, être homosexuel, c’était une tare, non ? Son père et son grand père le répétaient assez pour que ça pénètre profondément son esprit. S’il devenait homosexuel, quelle honte cela serait. Quel déshonneur ! Mais… homosexuel, on ne le « devient » pas vraiment…

Son ami était tout son monde. Et lui était le sien. Et c’était parfait ainsi. Il voulait être le seul pour Damon. Quitte à ne jamais pouvoir se permettre de le lui avouer et de l’aimer librement, de ne jamais pouvoir l’embrasser, le prendre contre lui, l’aimer en somme… eh bien, personne d’autre ne l’aurait… il sera le seul. Telle était sa décision.

Le souci dans tout ça, c’est que Saturne ne peut pas décider de tout, et encore moins tout contrôler. Il ne pouvait pas empêcher cette « simple camarade de classe » -Lindsay de son petit nom- de Damon de lui tourner autour. De l’inviter à boire un café. De lui proposer d’aller au cinéma. De l’inviter chez elle, dans sa chambre, seuls, en tête à tête… de l’éloigner de lui. Il avait vingt-quatre ans. Et il l’a mal vécu, dans un premier temps… et comme la jalousie est magnifique vilain défaut… Il a commencé à s’incruster, petit à petit dans leurs tête à tête et s’est mis à séduire la donzelle. Si Saturnin n’a jamais été le type le plus populaire, à cause de sa nature solitaire, il gardait tout de même une aisance à s’exprimer et à séduire tout de même importante. Et cette demoiselle a su tomber sous son charme, et délaisser Damon pour Uriel. Sauf qu’une fois son objectif atteint, il l’a écartée, et ignorée, et… bref, totalement abandonnée. Il a même été jusqu’à l’humilier et la menacer de le lui faire payer, si jamais elle se mettait de nouveau entre Damon et lui. Elle a été la première à mettre un mot sur ces sentiments que Saturne éprouvait.

Mais Damon n’a pas franchement apprécié se faire piquer sa « bonne copine » ni la voir le fuir comme la peste. Il s’est énervé contre Saturnin. Et un soir d’hiver, alors qu’il avait invité son ami comme ils le faisaient souvent, auparavant… la dispute a éclaté. Le blanc a craqué.

« Saturne, tu ne peux pas me menotter à toi en faisant fuir mes amis. Je pensais qu’elle te plaisait, en plus, Lindsay… vu comme tu t’es acharné à la draguer… t’avais l’air à fond sur elle, j’ai même eu l’impression d’être de trop, par moments… »

Cette simple remarque, faite par Damon, a suffi à embraser le serpent.

« Pourquoi tu parles de choses que tu ne comprends ? », cracha-t-il. « T’as pas l’air de bien saisir, Damon. Elle t’éloignait de moi ! Elle nous séparait ! C’était toi qu’elle voulait à la base ! Tu n’as donc rien vu ? T’es con à ce point ?! »

Il continua ainsi de longues, longues, longues minutes, totalement hystérique. Il lui a jeté des objets au visage, a détruit un miroir chez Damon, avant de finalement claquer la porte derrière lui et fuir en courant dans le froid de l’hiver, peu couvert.

Par réflexe, il fit du stop, demandant à ce qu’on l’emmène jusqu’au Richmond Park, là où il allait souvent en week-end avec ses parents, enfants, puis avec Damon. Il y a son petit coin de tranquillité, où il a toujours aimé s’isoler. Et ce jour-ci, cela lui a semblé être le seul endroit où il pouvait aller se réfugier, comme… un jardin secret. Portable éteint, recroquevillé sur lui-même, les fesses dans l’herbe gelée, il pleurait, tout en tremblant, complètement gelé. Un sang-froid mal couvert dans l’hiver, ce n’est pas la meilleure idée qu’il soit. Cependant… Damon le connaissait trop bien, et il a deviné très rapidement où il pouvait se trouver, après avoir appelé ses parents pour savoir s’il n’était pas chez eux. Il le retrouva et le rejoint en une bonne demi-heure. Après tout, des deux, Damon était le seul à posséder le permis de conduire et la voiture qui va avec.

Il retrouva donc son ami, lui mis son manteau sur les épaules, avant de le tirer contre lui pour le serrer et le réchauffer. Damon a toujours été un radiateur sur patte. Raison pour laquelle, au début, Saturne aimait autant se blottir contre lui, avant que les sentiments ne s’en mêlent… Puis il entraina son ami pour le ramener au chaud, dans sa voiture, avant de prendre la route pour rentrer. Le souci, c’est qu’il fallut que Damon revienne sur leur engueulade, disant à Saturnin qu’il ne comprenait pas pourquoi celui-ci s’était autant énervé, ni pourquoi il avait agi ainsi.

« Mais Damon, putain, ouvre les yeux ! Sors toi la tête du cul, c’est pas un chapeau ! »

Il s’était écrié, se braquant un peu, s’énervant beaucoup.

« Ca me paraît pourtant tellement visible, la raison du pourquoi ! Je t’aime, bordel ! »

Un silence. Des larmes. Damon semblait très sérieux, tout d’un coup. Son visage, d’ordinaire souriant, rieur, se trouvait fermé. Et Saturne, lui, se sentait s’effondrer. Il voulait ne jamais l’avoir dit. N’avoir pas à le dire un jour. Pour ne pas se faire repousser…

« Je me demandais quand tu allais enfin oser me le dire… »

Un murmure. Damon tourna la tête vers son ami, un sourire horriblement heureux sur les lèvres.

« Saturne, je… »

Il n’a pas vu le camion arriver en face de lui, rouler sur une plaque de verglas, déraper, perdre le contrôle du véhicule. Tout se passa rapidement. Pas le temps de vraiment réagir. Pas le temps de crier. Le crissement des pneus. Le bruit de la taule qui se froisse. Des débris de verre. L’odeur du sang…  

Saturne ne rouvrit les yeux que deux semaines plus tard. Désorienté, déboussolé, aveuglé par la lumière, il ne compris pas tout de suite où il était, ni ce qu’il s’était passé. L’angoisse l’envahit, on a dû le forcer à se calmer. Il ne rouvrit, de nouveau, les yeux que le lendemain. Ses parents étaient là, en pleurs.

« Damon est mort sur le coup. »

Un monde qui s’effondre. Son monde. Tout. Il a tout perdu. Par sa faute.

Il s’enferma dans le mutisme, refusant de parler, de s’hydrater, de se nourrir. Il voulait simplement se laisser dépérir, ne plus exister, rejoindre Damon. Mais le rejoindre où ? Il n’y a rien, après la mort. Rien d’autre que le vide. Damon était mort. Damon n’était plus. Saturne était en vie. Mais il n’était plus, lui non plus… Rien d’autre que l’ombre de lui-même. Sans voix. Sans volonté… et sans jambes. Momentanément paralysées, paraissait-il.

On le forçait cependant à se nourrir. Sa mère venait, tous les jours, pour lui donner à manger. Sans quoi, il se serait réellement laissé mourir de faim. Et puis, au bout de quelques semaines, il fut autorisé à sortir. Ses parents louèrent un fauteuil roulant, et il retourna habiter chez eux, pour que Blanche puisse s’occuper de son fils unique. James-Henry, lui, s’occupait de sortir son fils pour lui faire prendre l’air. Il l’emmenait presque tous les jours, en rentrant du travail plus tôt, au Victoria Park pour le laisser profiter de la nature, sans trop s’éloigner de chez eux. Cependant, un soir, il fut appelé en urgence par le travail, et demanda à Saturnin –qui refusait, depuis l’accident, qu’on l’appelle par son premier prénom qu’il s’était mis à détester- s’il pouvait le laisser seul. Saturnin, ou plutôt, dès lors, Uriel, accepta. Le laissa partir, et resta seul. Momentanément, en réalité.

Un jeune punk, rencontré quelques mois auparavant, avec qui il avait chanté en pleine rue, croisa de nouveau sa route. Il fut celui à qui il adressa ses premiers mots depuis son réveil. Et le premier à qui il se présenta officiellement sous le nom d’Uriel.

Des mots. De la chaleur humaine. Un chocolat chaud… Du courage.

Sans cette rencontre, peut être Uriel ne serait jamais sorti de sa léthargie. Mais le fait est qu’après cette rencontre, il se remit petit à petit à parler. Il se nourrit de nouveau, également, de lui-même. Et il put ainsi entamer une rééducation, pour finalement, marcher à nouveau.

Cependant, après cet épisode, la vie à Londres lui était devenue insupportable. Ses parents lui parlèrent d’un endroit où vivait un de ses cousins. Une île, sur laquelle ne vit que des gens de la race-mêlée, tout comme lui, et ses parents. Ce n’est pas tant cela qui le poussa à aller s’y installer. Plutôt… l’envie de départ à zéro. D’appartenir à quelque chose, plutôt que s’installer quelque part où rien ne le raccroche aux autres. Ses parents l’aidèrent à déménager, à se trouver un petit appartement. Il trouva rapidement un petit boulot, lui permettant de payer son loyer et quelques à côté. Et il fit son maximum pour oublier au maximum son passé. Oublier la musique, qu’il aimait tant et qu’il a stoppé en songeant à son ami, incluant le piano, le violon, le chant. Oublier cette période sombre, post-accident. Oublier… tout, en somme. Jusqu’à ce jeune punk qui pourtant lui a tant apporter…

Victime de terreur nocturne, il se mit à batifoler à droite à gauche, ne trouvant le repos qu’entre les bras d’hommes, différents, chaque fois. Mais se faire de nouveaux amis... non. Il ne laisserait personne s’approcher et s’attacher à lui. Personne ne toucherait son cœur. Personne ne le ferait plus souffrir comme il a souffert.

Voilà… vous savez tout de Saturnin… ou plutôt devrais-je dire, d’Uriel.


Suppléments


Le code : Validé.
Ton pseudo : Irianedhel
Ton âge : 22 ans
Notre découverte : Partenariats '^'
Ta présence : 7/7 sauf cas de fatigue, de baisse de moral ou de boulot
Ton avatar : Superbi Squalo - Katekyo Hitman Reborn
Tes références : Lu le manga + a été sur Adamovitch
Un rajout : Kamoulox !

Saturnin U. Rain
Invité
Anonymous
Revenir en haut Aller en bas
Jeu 31 Mar - 12:36
Bienvenue <3
Code bon, je signale tout de même que l'hermine est déjà prise par un membre, Mero S. Kohen, mais étant une espèce commune, ce n'est pas un problème de l'avoir en doublons Wink

Bonne continuation !
PNJ - SPA
un PNJ du forum
PNJ - SPA
Animal : Le premier qui m'appelle par mon premier prénom je lui donne non pas un sandwish à la fraise mais mon poing dans la g... || Saturnin 8m32
Race : PNJ
Messages : 474
Humeur : Bête et méchante !
Emploi/loisirs : Recueillir les animaux abandonnés~
Localisation : Partouuuuuut !
https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t6-fiche-exemple https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t13-fiche-relations-exemple https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t14-fiche-rps-exemple
un PNJ du forum
Revenir en haut Aller en bas
Jeu 31 Mar - 12:38
Réactivité oo"
Merciiiiiii o/
Oui, j'ai regardé les recensements itoo et... enfin, moi, ça m'dérange pas de pas être seul à être hermine. Si ça ne gêne pas le (la?) camarade qui a choisi en preum's, bien évidemment. Sinon, je me débrouillerai autrement. :3
Invité
Invité
Anonymous
Revenir en haut Aller en bas
Jeu 31 Mar - 12:47
Saturnin c'est pas une hermine c'est un canard enfin '-'
Bienvenue ♥
Invité
Invité
Anonymous
Revenir en haut Aller en bas
Jeu 31 Mar - 13:25
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche !!
Invité
Invité
Anonymous
Revenir en haut Aller en bas
Jeu 31 Mar - 15:08
Bienvenue et bon courage pour ta fiche ♥
Squalo ♥
Awww Saturnin Uriel ♥♥ J'adore tes prénoms damn *ç*
Cela aurait été mieux d'avoir écrit Saturnin P. U. Rainsworth comme pseudo :3
J'aime déjà beaucoup ton personnage et m'y intéresserai de près 8D
Edën Drymärchen
un poisson échoué ~
Edën Drymärchen
Animal : Le premier qui m'appelle par mon premier prénom je lui donne non pas un sandwish à la fraise mais mon poing dans la g... || Saturnin Wn62
Race : Narval/Lycaon du Sahara - Moyen
Orientation : Homosexuel
Messages : 199
Humeur : Narcissique
Emploi/loisirs : Senior - 5ème année - club de natation

Carte d'identité
Dominance: Dominant
Taille: 1,76m
Poids: 70 kg
https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t298-love-is-instinct-oo https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t300-look-look-a-mermaid-oo-noooo-fuckin-damn-ya-ewe https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t689-it-s-a-mermaid-oo-fuckin-stories
un poisson échoué ~
Revenir en haut Aller en bas
Jeu 31 Mar - 15:14
*va chercher un mouchoir pour stopper les saignements de nez* Foutus beaux vavas...
Merci ;A;
Céjontil ;A;
Oui j'y ai pensé en fait. J'ai juste eu peur que ce soit trop long oo"
Mais dans l'idéal, j'aurais bien aimé le "Saturnin P. U. Rainsworth" >.>
Invité
Invité
Anonymous
Revenir en haut Aller en bas
Jeu 31 Mar - 15:33
Je pense que ça pourrait passer. Ce ne sont que deux initiales en plus ^^
Edën Drymärchen
un poisson échoué ~
Edën Drymärchen
Animal : Le premier qui m'appelle par mon premier prénom je lui donne non pas un sandwish à la fraise mais mon poing dans la g... || Saturnin Wn62
Race : Narval/Lycaon du Sahara - Moyen
Orientation : Homosexuel
Messages : 199
Humeur : Narcissique
Emploi/loisirs : Senior - 5ème année - club de natation

Carte d'identité
Dominance: Dominant
Taille: 1,76m
Poids: 70 kg
https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t298-love-is-instinct-oo https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t300-look-look-a-mermaid-oo-noooo-fuckin-damn-ya-ewe https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t689-it-s-a-mermaid-oo-fuckin-stories
un poisson échoué ~
Revenir en haut Aller en bas
Jeu 31 Mar - 17:33
Ça peut passer, mais avec uniquement une initiale^^ (ce qui ne t'empêche pas d'avoir tout de même trois prénoms ! Wink) À toi donc de voir quel prénom tu mets en valeur =)
PNJ - SPA
un PNJ du forum
PNJ - SPA
Animal : Le premier qui m'appelle par mon premier prénom je lui donne non pas un sandwish à la fraise mais mon poing dans la g... || Saturnin 8m32
Race : PNJ
Messages : 474
Humeur : Bête et méchante !
Emploi/loisirs : Recueillir les animaux abandonnés~
Localisation : Partouuuuuut !
https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t6-fiche-exemple https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t13-fiche-relations-exemple https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t14-fiche-rps-exemple
un PNJ du forum
Revenir en haut Aller en bas
Jeu 31 Mar - 20:23
Dans ce cas là, je veux bien le U. éè Si c'est pas trop demandé ? éè ♥♥ Je donne même des cookies si vous voulez éè ♥♥

Jefferson : ... o///o Volonté partagée ? 8D
Invité
Invité
Anonymous
Revenir en haut Aller en bas
Jeu 31 Mar - 21:26
Voilà, pseudo changé^^
Floodez pas trop quand même ! Jeff, tu dois montrer l'exemple voyons èé
Aaron C. Williams
a fucking sexy Doc ~♥
Aaron C. Williams
Animal : Le premier qui m'appelle par mon premier prénom je lui donne non pas un sandwish à la fraise mais mon poing dans la g... || Saturnin P7gn
Race : Caïman noir | Poids lourd
Orientation : Bisexuel
Messages : 1023
Humeur : Joueuse~
Emploi/loisirs : Infirmier de l'académie
Localisation : Tu veux pas savoir~

Carte d'identité
Dominance: Dominant
Taille: 1,86m
Poids: 89kg
https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t8-aaron-cain-williams-un-croco-pas-si-sage-termine https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t27-les-relations-douteuses-d-un-croco-alcoolo https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t26-les-deboires-d-un-croco-pas-net
a fucking sexy Doc ~♥
Revenir en haut Aller en bas
Jeu 31 Mar - 23:31
Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue Leblanc !!! (Squalo ♥)

Ouais alors viens avec nous au Port, en plus de la gratte de Jeff, y'a aussi une girafe remplie de bière. MAIS JE VOUS PRÉVIENS ! Si ça part en trucs gay, je vous lapide D8< !!!! *sort loin*

Dépêche de sortir ton caractèèèèèèèèèèère ♥ !
Beusous ~
Abbas Tijabi
un distributeur de câlins !
Abbas Tijabi
Animal : Le premier qui m'appelle par mon premier prénom je lui donne non pas un sandwish à la fraise mais mon poing dans la g... || Saturnin Gubj
Race : Chacal à flancs rayés d'Afrique occidentale. Gabarit moyen.
Orientation : Hétérosexuel
Messages : 45
Humeur : Cogneur
Emploi/loisirs : Propriétaire du club de Air Soft

Carte d'identité
Dominance: Dominant
Taille: 1,90m
Poids: 85kg
https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t741-abbas-tyabi https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t950-repertoire-d-abbas-tijabi https://sexpistolsacademyv2.forumactif.org/t951-agenda-d-abbas-tijabi
un distributeur de câlins !
Revenir en haut Aller en bas
Mar 5 Avr - 23:58
Abbas doit être content, il a le caractère tant attendu ^^

Pour ce que je vois de ta fiche, je n'ai rien à dire pour le moment, j'imagine que ton histoire n'est pas terminée car tu nous annonce du pas joyeux et pour le moment tout est calme et limpide ^^ (pis e m'attends à une looooonnnnnggguuueeee histoire donc bon <.<). Juste une petite remarque, il faudrait que tu enlève l'année de naissance de Saturnin dans ton histoire, vu qu'on ne prend pas en compte les années ici =)

J'attends la suite avec impatience du coup =)
Invité
Invité
Anonymous
Revenir en haut Aller en bas
Mer 6 Avr - 0:05
Voilà qui est fait, désolé c'est le vieux réflexe ^^"
A priori je devrais avoir terminé demain, après mon partiel -raté d'avance- de PHP Smile
Me tape pas pour la longueur, je te donnerais des cookies éwè ♥️
Invité
Invité
Anonymous
Revenir en haut Aller en bas
Mer 6 Avr - 21:33
Alors alors, simplement quelques petites fautes d'inattention persistantes, rien de grave en soit, fais y attention dans tes rps ~

En somme

♣ Tu es validé(e) ♣

Va maintenant faire ta fiche de relations pour pouvoir faire plein de liens différents avec les autres membres du forum, ainsi que ta fiche de RPs pour que tu puisses tout de même savoir où tu en es dans tes aventures sur le forum ! Une demande de logement peut-être intéressante aussi, si tu veux avoir un petit chez toi et surtout... si tu n'es pas un étudiant et que tu en as les moyens~ Et pourquoi pas une demande de parrainage si tu es un junior qui a besoin d'aide ou un senior qui veut proposer son aide ? Tiens ! Nous te donnons même la liste des parrainages pour que tu puisses voir qui est libre ou non ! Allez, va vite faire une demande de RP pour pouvoir découvrir de grandes aventures !



MA PREMIERE VALIDATION OMG *o*
Invité
Invité
Anonymous
Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1
Sauter vers :

Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sex Pistols Academy-