☠ Abbas Tijabi ☠

Goûts :
Avoir raison, surtout quand il a tord. L'odeur du soleil et du sable en été. La malbouffe. Se coucher dans un lit chaud. La couleur du sang. Les modifications corporels. Sentir sa peau s’imprégner du soleil. Les jeux vidéos, surtout quand il gagne. Arriver à ses fins. Les bananes. Les feux de camp au bord de la plage. Avoir un restant de parfum féminin sur ses vêtements. Faire pipi dehors. Tenir une cigarette allumée même sans la fumer. Les siestes coquines. Les jeux d'alcool, surtout quand il gagne. Commettre des infractions sans conséquences, juste parce qu'il n'a pas le droit. Boire à la bouteille. Le sang qui coule. La lingerie féminine. Le ciel sans nuage. L'odeur du pain perdu. Sa sœur. Se sentir supérieur. Les échantillons gratuits en plusieurs exemplaires parce que c'est gratuit. Les courbes féminines. Éteindre son réveil lorsqu'il sonne les jours de congé. Qu'on le complimente. Les sorbets à la mangue. Faire comme chez lui. Baiser sous la pleine lune. Tirer la langue lorsqu'on le fixe dans la rue. La levrette. Manger des plats réchauffés devant un film. Sa grande taille. Les road-trip. Se montrer. Regarder les étoiles. Les filles aux cheveux longs. Se battre. Mettre du poivre dans les plats. Jouer à "celui qui a la plus grande", surtout quand il gagne. Les nuits blanches. L'alcool fort en hiver. Réussir à trouver une place assise dans les transports bondés. Les gens expressifs. Dépasser les limites, surtout les siennes. Faire du sport en salle juste pour se montrer. Laisser des traces sur les corps des gens. L’adrénaline que la douleur lui procure. Observer les ivrognes danser. Jouer avec la fumée de cigarettes parce que ça fait sexy. Recevoir des photos coquines.

Dégoûts :
Perdre. Se perdre. Les hommes qui marquent AUSSI leur territoire. Les filles qui rotent. Qu'on s'oppose à sa supériorité. La tartine qui tombe dans la tasse. Les briquets qui ne fonctionnent plus. Les saintes-nitouches. Se retenir. Les chips aromatisés. Qu'on lui manque de respect. Les gamins sur les jeux vidéos. La pluie. Être obligé de dormir chez une fille. L'hypocrisie. Quand il n'y a plus de savon dans les toilettes public. Quand on lui dit "non". Les racines de cheveux qui repoussent. Plier le linge. Les préservatifs. Marcher dans une crotte de chien, même du pied gauche. Les chats. L'haleine après avoir mangé de l'ail. Se cogner le front parce qu'il est trop grand. La pureté. Les nouvelles technologies. Les filles qui sucent pas. Les particules de poussières qui se collent sur les vêtements. Devoir se soumettre. Réfléchir à la notion de moralité. Dormir sur la béquille. Le moment de la dièt' dans son programme de musculation. Les remontés d’égouts. Les règles des filles. Les transports bondés. Se taper le coude. Avoir l'air idiot devant la technologie (informatique, écran tactile etc.). Être frustré et cela dans tous les domaines. Les journées courtes de l'hiver. Les cendres qui s'effritent sans prévenir. Devoir retrouver les paires de chaussettes dans la machine. Les gens qui jettent leurs déchets par terre. Qu'on essaye de le psychanalyser. Le gaspillage.

Caractère :
Chez Abbas, observer des qualités relève de l'exploit. Il faut le côtoyer souvent pour apercevoir des traits que l'on pourrait apprécier à leur juste valeur. Oh, bien sûr, il reste fréquentable. Je vous souhaite juste bon courage pour le supporter au quotidien car ce n'est pas chose tout à fait sain.

Il aime jouer de son physique pour provoquer, sachant pertinemment que ses modifications corporels en choque plus d'un. Il en est particulièrement fier et n'hésite pas à le prouver. Son orgueil, d'une manière plus général, n'est plus à cacher. Sa confiance en lui est tel qu'il se permet même d'être irrespectueux, se fichant royalement du regard des autres. Un gamin qui pleurniche un peu trop fort dans la rue ? Il ne se gênera pas le moins du monde pour le faire remarquer aux parents. Un client mécontent dans son club d'air soft ? Qu'il aille se faire voir ! Abbas sait parfaitement manier les armes à feu, il est tombé dedans quand il était petit et n'a besoin des conseils de personne pour gérer son affaire. Il tient à son indépendance et à prouver au monde entier qu'il est débrouillard.
Soyez certain que si quelque chose ne lui plaît pas, il n'hésitera pas une seconde avant de vous le faire remarquer. Il est franc et n'est pas le genre de type à tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de l'ouvrir. Il est assez impulsif. Oh et... Comme si ça ne suffisait pas, Abbas possède le langage de charretier qui va avec. Il n'a pas été élevé dans la délicatesse vous comprenez ? Il ne passera pas par des détours emmerdants mais ira droit au but avec ce regard supérieur qui le caractérise tant.
Si éventuellement l'envie vous prend de lui tenir tête et... Je sais que vous en éprouverez le besoin (après tout, il est insupportable !), je vous informe qu'il n'y réfléchira pas non plus à deux fois avant de vous cogner que vous soyez un homme, une femme ou un gosse. Oui, son sens de la moral est légèrement modifié. Il adore se battre et si vous souffrez, cela provoque en lui des sentiments malsains car oui, Abbas se révèle être un véritable sadique. Vous infliger de la douleur quelle qu'elle soit réveille en lui un réel plaisir qu'il soit sexuel, ou non. Ne lui en voulez pas trop, durant son enfance il a rapidement dû apprendre à apprécier de l'infliger pour éviter de devenir fou. Ou accessoirement mort. Et il lui en a fallut du courage pour passer le capte.
Son arrogance démesurée l'a plusieurs fois amené à entrer dans la jalousie et la possessivité. Si lui s’octroie le droit de faire tout ce qui lui plaît sans accorder d'importance à l'avis d'autrui, en revanche il ne supporte pas ne pas être le centre du monde. Oui oui, le monsieur est très capricieux et pratique la politique du "Faîtes ce que je dis mais pas ce que je fais.". Ainsi, par exemple, si vous êtes une demoiselle collectionneuse d'amants, ne vous affichez surtout pas en présence d'une marque provenant d'une autre conquête qu'Abbas. Attention, ne vous méprenez pas, ce n'est pas qu'il vous apprécie plus qu'une autre, c'est un simple caprice égoïste qui ne concerne que sa personne.
D'ailleurs, contrairement à ce qu'on pourrait penser, même s'il adore les femmes, Abbas ne pratique pas la polygamie. Il n'est, à ce jour, jamais tombé amoureux mais est toujours resté fidèle à ses "copines". Certaines ont, certes, été larguées comme des malpropres au profit d'autres mais le Chacal rayé reste loyal et cela sur tous les plans. Après tout, c'est un canidé.
S'il n'est jamais tombé amoureux, outre son caractère qui ne s'y prête pas totalement, c'est surtout parce qu'il a autre chose en tête que de s'installer et fonder une famille. Oui car avant ça, il aimerai retrouver la sienne avant d'en créer une nouvelle. Son esprit de compétition associé à sa détermination en fait un être borné prêt à tout pour trouver sa sœur. Il n'a pas peur d'utiliser n'importe quel moyen mais fonctionne surtout à l'instinct. Un peu comme un chien.


Physique :
Description rapide :
• 1m90      
• 85kg        
• Silhouette athlétique, muscles apparent
• Peau noire, yeux noirs, cheveux décolorés et lissés.
• Particularités : Tatouage reformant le squelette de son crâne à son torse, percé, écarteurs aux lobes.

Si Abbas est insupportable, il vous a au moins rendu la vie beaucoup plus simple en glissant des indices plus que visibles sur son corps tout entier. Vous voyez ces panneaux "Attention danger de mort" en jaune avec un crâne au centre ? Et bien c'est Abbas.

Déjà parce qu'il a littéralement un crâne tatoué sur son visage et qu'on ne peut évidemment pas y faire abstraction mais aussi parce qu'il en impose. Il en impose vraiment. Contrairement à ce qu'on pourrait penser d'un chacal.
Il est grand, comptez un bon mètre quatre vingt dix si ce n'est plus pour quatre ving kilogrammes de muscles qui ne cessent de varier suivant la Junk Food de la semaine et les séances de musculation. C'est qu'il est coriace le bestiaux. Il s'entraîne souvent en plus de participer à quelques parties d'Air Soft et n'imagine pas une journée sans sport. Spécifiquement avant un rencard parce que, vous comprenez, il faut que ses muscles soient bien congestionnés et formés histoire d'impressionnés la donzelle. De toute façon, étant un ancien enfant soldat, le sport fait partie intégrante de sa vie. L'exercice passe avant tout.

En plus de sa grande taille, Abbas possède tous les clichés qu'on attribue à sa couleur de peau. Lèvres plus ou moins charnues, nez épaté, peau douce et qui sent le soleil, yeux noirs, cheveux crep... Oh wait. Non. En fait... Non. Abbas loin d'être physiquement parfait et se cache bien de le montrer. Il est d'ailleurs impossible de le remarquer sans le savoir. On peut éventuellement se poser la question mais c'est tout.
Oui, en fait Abbas est atteint de Vitiligo depuis l'adolescence et assez sévèrement puisque qu'il a touché quelques parties de son crâne et de son visage ce qui explique pourquoi cette brute s'acharne à se décolorer les cheveux à blanc. Ça justifie également son tatouage mais de toute façon il aime bien l'idée d'incarner la mort. La petite référence au Baron Samedi n'est pas pour lui déplaire, oh que non ! C'est pour cette principale raison qu'on le craint, ça et sa corpulence bien sûr alors évidemment qu'il ne crache pas dessus et qu'il est plutôt fier de s'en être bien sortie. En revanche à cause du Vitiligo, il est obligé de réduire ses expositions au Soleil et il déteste ça. Vraiment. Ça le déprime même carrément. Le Soleil c'est beaucoup de choses pour lui.




Histoire :
Abbas n'a pas vraiment eu d'adolescence. Il a dû apprendre à faire avec, s'adapter pour ne pas crever et s'il est ce qu'il est aujourd'hui, ce n'est pas tout à fait de sa faute. Malheureusement, personne ne saura jamais ce qu'il aurait pu être s'il n'avait pas vécu ces emmerdes.

On ne sait pas exactement quand est né Abbas, on peut émettre des hypothèses sur son âge ou sa date de naissance mais c'est tout. Il est originaire d'un petit village entre le Mali et le Niger. Vous savez le genre de village paumé, sans électricité, sans internet, sans technologie et eau courante ? Et bien ouais, c'est de là qu'il vient. Sa famille est nombreuse car il n'y a évidemment pas de contraception (comme la plupart des villages d'Afrique) et une infidélité est très vite remarquée. Abbas n'est pas le seul thérianthrope mais en revanche c'est le plus gros gabarit et très vite il s'impose respectueusement au près de ses deux grandes sœurs et de son petit frère. Rien de bien méchant. Mais il a toujours été frustré de ne pas savoir si ça aurait été le cas avec la petite dernière dont l'aura a été scellée très jeune. Abbas adorait sa petite sœur. Il la chérissait et aurait adoré lui apprendre à maîtriser son aura mais il en a été décidé autrement.

Il aurait pu vivre comme sa toute sa vie dans ce village tranquille, organisé et sympathique. Il aurait vécu les différentes étapes de sa vie, serait devenu un homme correct, marié et aurait eu des enfants aussi, entouré de toute la chaleur de sa famille. Il aurait pu oui. Il aurait pu.
Mais ça n'a pas été le cas.
A douze ans, son petit village tranquille est attaqué par un groupe militaire. Il en a fait des cauchemars pendant des années et sans doute qu'il en rêve encore aujourd'hui. Ce sont des images insoutenables, qui restent gravées à vie et il n'est pas prêt de s'en débarrasser. Voir ses parents, ses grands-parents se faire tuer et mutilés est traumatisant pour un gosse ou... Quiconque d'ailleurs. Évidemment, le groupe armé n'en tient absolument pas rigueur. Tout ce qu'ils veulent eux, se sont des nouveaux guerriers alors... Ils mettent une Kalachnikov entre les petits bras de tous les jeunes garçons. Abbas et son frère compris.

La vie au camp n'est pas facile. Ils ont tous du mal à s'adapter à leur nouveau village, leur nouvelle vie. Certains se font tuer, d'autres maltraités, les filles sont parfois violées et Abbas, en tant que grand frère protecteur avait du mal à supporter.
Vous imaginez, vous, à peine entrer dans l'adolescence que vous devez déjà vous entrainer à tuer de sang froid et si par malheur vous refusez, une importante correction vous attend. On vous bat, on vous prive de nourriture ou même d'eau. On peut aussi se venger sur les membres de votre famille...
Lors de la mort de son frère à la première saison sèche, Abbas a eu un déclic. S'il voulait survivre, il DEVAIT s'adapter. Il n'avait de toute manière plus le choix et peut être qu'en devenant meilleur, sa petite sœur aurait des privilèges ? Alors Abbas changea et se montra rapidement violent, zélé, retords et sans pitié car il était hors de question qu'il termine comme son frère. Pire encore, il commençait même à aimer ça. Inconsciemment, sans doute pour se protéger et ne pas finir fou, il perdit toute humanité et finit comme tous ces hommes, humiliant même les filles de son village. Sa sœur ne le reconnaissait plus. Contre toute attente, Abbas était devenu un des meilleurs éléments du camp. Il participait même à certains pillage, c'est pour dire !

Malheureusement, si lui s'adaptait finalement à sa nouvelle vie, ce n'était pas du tout le cas de sa petite sœur qui réussit à s'évader. Pour ça, il fut battu et humilié. Encore un coup dure pour Abbas qui perdit le dernier membre de sa famille qui lui restait. Cependant, les soldats lui pardonnèrent rapidement, ne pouvant décidément pas se priver d'un si bon élément dans leur rang. Ce qui ne manqua pas de gonfler l'égo d'Abbas un peu plus.

Quelques mois plus tard, l'année de ses quinze ans, une des récoltes d'enfant à laquelle il participe tourne mal. La moitié du groupe est tué et Abbas ainsi que d'autres enfants soldats sont capturé et confié à une ONG chargé de leur apprendre à vivre normalement. Le paradis après l'enfer non ? Reprendre enfin une vie tranquille, normal, sans violence. Faire autre chose de sa vie que de tuer et voir du sang. Entendre d'autres sons que ceux des balles et des cris apeurés. Oui, le paradis pour de nombreux enfants mais pas Abbas. Lui, il s'y était un peu trop fait à sa nouvelle vie et être obligé d'apprendre tout ça alors que c'était lui qui commandait jusqu'à présent, très peu pour lui. Alors, bien sûr, il s'est adapté, encore une fois, mais n'est jamais parvenu à vivre une vie complètement normale. Il a été suivis par plusieurs psychologues à tel point qu'il ne peut plus les voir en peinture et que la simple idée d'être psychanalysé à nouveau lui est insupportable. Encore aujourd'hui il est obligé d'y aller. A reculons.
Sa vie au camp l'a changé pour le restant de ses jours, il est bien comme ça et même s'il a plus ou moins acquis certaines règles, il y en a d'autres dont il se fiche complètement. Heureusement qu'en prenant de l'âge et de l'expérience, il s’assagit un minimum le bougre car croyez moi sinon il n'aurait jamais réussi son insertion dans la société actuelle. Il ne l'avouera jamais mais sans doute que les séances de psychologue l'aident également.

C'est à ses dix-huit ans qu'il prendra la décision de retrouver sa sœur évadée. Parcourant tous les orphelinats et les villages pour obtenir une rumeur il finit par entendre parler, via les bénévoles de son ONG, qu'une fillette a été recueillie il y a six ans par les gardes côtes italiens. Son histoire ressemble vaguement à la version qu'il donne. Il mise tout sur cet espoir et le grand-frère protecteur en lui qui n'a jamais vraiment quitté son cœur se met en quête.

Il n'a vraiment pas été simple pour lui, ancien enfant soldat dont le comportement est encore aléatoire, d'obtenir un droit de séjour en Italie. Vous n'imaginez pas tout ce qu'il a du faire et combien de test il a dû passer pour enfin quitter l'Afrique. Il faut bien lui céder que sa sœur doit être actuellement la seule femme pour laquelle il est prêt à tout.
Une fois en Italie, la vie n'a pas été facile non plus. Le barrage culturel et surtout de la langue sont les principaux problèmes. Même si l'ONG a tenté de lui enseigner l'anglais, Abbas n'est vraiment pas doué pour ce genre de chose. En même temps, essayez d'imaginer... Un grand black décoloré  avec un crâne blanc approximatif (vous croyez qu'en Afrique y'a des bon tatoueurs vous ? Heureusement qu'il se l'est refait après) sur le visage (les piercing viendront après) qui viens vous parler avec un dialecte Anglo-africains peu compréhensible, avouez que vous auriez du mal. Mais...
Mais il y est parvenu après quelques cours d'anglais en plus (et d'italien, tant qu'à faire) et des bons contacts, il a fini par apprendre que sa sœur se nomme désormais Aqila Lewis et a obtenu la nationalité anglaise. C'est donc naturellement qu'il s'est mis à chercher le moyen de partir pour l'Angleterre.

Encore une fois, c'est une nouvelle lutte qui se créer et Abbas a dû passer encore quelques années en Italie afin de réunir les fonds nécessaire pour partir en Angleterre. Ce n'est que très récemment qu'il a obtenu un droit de séjour et pu contacter Lord Lewis. Tout s'est débloqué ensuite. L'autorisation à rejoindre l'académie, le poste de gérant d'Air Soft, le droit de séjour renouvelé grâce à l'emploi... Bref tout roule ENFIN sur des roulettes. Lord Lewis est un mec bien sympa et Abbas lui doit une fière chandelle. C'est grâce à lui qu'il peut actuellement rester en Angleterre. Cependant, il lui a bien précisé de ne pas se bercer d'illusion concernant sa sœur... Car personne ne sait exactement si c'est bien elle.

En attendant d'oser à la rencontrer en face à face. Il veille de loin sur elle, qu'importe, il est persuadé de l'avoir enfin retrouver. Il attend juste le bon moment.

Autre :
• Il parle africain, anglais et italien parfaitement.
• Il est vraiment maladroit avec les technologies et déteste ça. Même si la découverte des jeux vidéos lui a changé la vie.
• Il est très débrouillard dans tous les domaines. Merci l'ONG et la vie au camp.
• Il déteste VRAIMENT le gâchis, n'oubliez pas qu'en Afrique, l'eau et la nourriture ne se trouvent pas dans des supermarchés géant.
• On peut dire que les seuls sentiments humains qu'il lui reste réside dans la protection de sa sœur. Si elle fait tout péter, vous avez le droit de la lyncher.
• Actuellement il a un titre de séjour obtenu grâce à un CDI en tant que gérant du club d'Air Soft.
• Il déteste la paperasse et a plusieurs fois été obligé de retourner en Afrique pendant son séjour en Italie parce qu'il fallait renouvelé son droit de séjour. C'était vraiment la merde. Il aurait fait un massacre.



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Ton âge : J'ai arrêté de compter après 18 ans....
Notre découverte : Partenariat mais surtout par connaissances.
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Un rajout : Niveau amélioration, j'allais dire le graphisme et votre typographie mais depuis que je connais votre forum, celui-ci s'est largement amélioré donc... Continuez, il ne reste plus que quelques détails, c'est vraiment super cool franchement ! Ah et votre forum a une bonne réputation huhuhu ! Donc j'ai hâte de commencer à vous connaître itout *w* !