Alexy, fille ou garçon?

Goûts :
Aime : La solitude, les balades au grand air, l’art et tout ce qu’elle trouve beau, les romances et la science-fiction, la couleur rouge et le noir, le sport (plus ça fait mal plus c’est bon), le sexe, chercher à tout comprendre et tout savoir.

N’aime pas : Le jaune, avoir peur, ne pas pouvoir bouger, les gens timides, ce qui endort, les histoires qui font peur.

Alexy a sa nature de renard qui ressort beaucoup autant dans son caractère que dans ses goûts. Elle peut vivre en communauté, elle est sociable mais elle aime la solitude. Être seule lui permet de se recueillir et elle trouve cela apaisant. Elle ne peut pas rester enfermée à l’intérieur très longtemps, elle a besoin du grand air et déteste ne pas pouvoir bouger. Durant les beaux jours, vous la verrez faire toutes sortes d’activités sportives, trouvant par ailleurs que plus ça fait mal et mieux c'est. En froide période d’hiver, elle privilégiera les balades en forêt, qu’elle trouve particulièrement belle déshabillée de toutes ses feuilles et appréciera la texture du sol dur et gelé.

Le bordeaux, étant sa couleur préférée, c'est l'une des couleurs maîtresses dans son style, avec le noir. Si elle n’a pas au moins l'une de ses deux teintes sur elle, c’est qu’elle doit être devenue folle. De même si vous la voyiez avec du jaune, appelez les secours ! Elle hait cette couleur.

Alexy pratique toutes les formes d’expression artistique et c’est pourquoi elle a un goût pour tous type les arts, chérissant et prisant tout ce qu'elle considère comme beau. Artiste et extravertie comme elle est, elle n’aime pas les gens timides où tout ce qui l’endort, comme la musique qui ne bouge pas assez ou les discours longs et inutiles... Elle a besoin d’action. C’est pour ça qu’elle a inventé sa propre idée du « néo-romantisme », qu’elle appelle aussi « romantisme-Rebelle ». Elle n’aime pas ce qui est plat et fade, alors même dans ces histoires de cœurs, elle cherche une part de mystère, de brutalité tout en restant extrêmement passionnelle et torride.

Alexy ne peut passe se passer du sexe et veut tout tester (notre petite adorant tout ce qui est nouveau), chercher à tout comprendre et tout savoir, pensant toujours à ce qu’elle n’a pas encore expérimenté sur le plan sexuel (fille, garçon, les deux ?). Elle n’a pas encore eu l’occasion de faire sa vie avec quelqu’un et la place est par ailleurs toujours à prendre mais attention de pas vous brûler les ailes.


Caractère :
Alexy est un personnage très ambigu.

Elle est très maladroite, il n’y a pas un jour sans qu’il y ait de la casse, qu’elle se fasse mal ou qu’elle tombe. Mais parfois, on ne sait pourquoi, elle a de tels réflexes qu’elle deviendrait presque adroite. Elle rattrape en moins de temps qu’il n'en faut pour dire « oups » ce qu’elle ou un autre fait tomber. C'est pour ces mêmes réflexes qu’elle est un adversaire redoutable et apprécié dans les sports qui demandent de la rapidité. Il en va de même pour sa mémoire, elle est très tête en l’air (se souvenir de faire quelque chose dans la journée signifie un bras remplit de note. N’espérez pas qu’elle vous souhaite « Joyeux Anniversaire » parce si elle le fait, c'est qu’elle tient tellement à vous qu’elle a passé des heures à apprendre la date et soyez patient pour qu’elle se rappelle de votre prénom, c’est très dur pour elle). Par contre, tout ce que vous lui direz, vous concernant ( qui lui seront donc important selon elle), elle le gardera dans un coin de son esprit dans le but de ne pas vous embêter à lui répéter ( que serait une bonne amie sans que celle-ci ne vous connaisse comme si vous aviez été frères ou sœurs).

Alexy a conscience qu’elle est souvent froide, ce qui la rend, pour certains, dérangeante et pour d’autres même hautaine. Elle part du principe que si elle devait exprimer chacune des émotions qu’elle ressentait, les gens prendraient peur, car ils recevraient une bombe de couleurs, de joie, de tristesse et de malaise… Tous cela en même temps. Ce côté froid était peut-être accentué par son coté solitaire. Alexy est sociable, mais la solitude ne la dérange pas et l’apaise. « Vivons heureux, vivons caché », c’est ce qui se dit non ? Les courageux qui passeront au-delà du mur qu’elle se dresse autour d’elle, n’y perdront pas au change. Alexy chérit ses proches, elle a un don pour aider les autres. Son honnêteté et sa droiture qu’elle a appris au cours du temps, alliée à sa fine attention et compréhension de l’autre, l’aide à trouver les mots justes. Pour aider autrui, elle dépasse assez facilement son impatience et son aspect impulsif et imprudent.

Imprudente, ça elle l’est, car elle se met régulièrement et sans vraiment s’en soucier dans des situations difficiles à gérer et qu’on pourrait même qualifier de dangereuses. Par chance, son instinct d’opportuniste et son goût pour le travail de son intellect, lui permettent de s’adapter rapidement et de parfois même tirer profit d'une mise en danger.

Cet être fidèle est très possessif, une fois qu’elle marque son territoire personne n’y touche, sinon il sort les crocs. Impulsivement, si elle se sent menacée, elle commence par devenir mal polie puis elle peut même être violente de manière à stopper le plus vite possible le conflit, envers ceux qui l’ont trahi ou mise dans une situation durant laquelle elle ne savait sur quel pied danser.

Elle s’est très vite rendu compte qu’elle aimait aider les autres, alors une fois qu’elle eut décidé de devenir professeur, elle ne changea pas d’avis. Son orgueil l’obligea à devenir perfectionniste, il fallait qu’elle apprenne sans pouvoir admettre qu’elle pouvait avoir tort. Elle fut très assidue et garda cette qualité.

Ceux qui suivent ses cours, savent forcément avant même d’avoir assisté à la première leçon, qu’elle est exigeante mais a la volonté que chacun comprenne au prix de réflexions cinglantes ou d’explications aussi nombreuses que souhaitées de sa part.

En clair, le seul moyen de vraiment connaitre Alexy est de la côtoyer et d'évoluer avec elle.


Physique :
Alexy ? La décrire… C’est difficile, elle aime changer tout le temps. Elle mesure 1m 70 (71 exactement, mais elle trouve les chiffres ronds plus esthétiques). Elle a des formes assez développées. Elle n’est ni maigre, ni grosse. Son poids ? Ça ne se demande pas à une fille, mais elle ça ne la dérange pas d’en parler. Elle pèse 69 kilos (là, elle n’arrondit pas ! 69, c’est mignon comme chiffre ! Crade, tu dis ? Mais pourquoi ?) elle a un visage entre le rond et le carré. Elle a une coiffure en carré court dégradé roux. L’alliance de son visage et de ses cheveux, lui permet de pouvoir adopter tous les styles. Elle en profite donc, elle n’a pas vraiment de style propre, elle passe du style masculin métalleux à celui de la femme d’affaire chic en passant par le style androgyne qui sème le doute sur ce qu’elle est. Elle change de l’un vers un autre sans transition. Ce qui signifie que niveau vestimentaire, son apparence change tous les jours si ce n’est plusieurs fois par jour. Il n’y a qu’une chose qui reste constante, c’est l’attention qu’elle porte à coordonner les couleurs et à faire des mélanges les plus beaux possibles.

De plus, son expression change en fonction du temps, des gens avec qui elle est et de son humeur du jour. Allant du robot froid et intimidant à la joyeuse enfant presque folle qui incite à la chaleur et l'amitié.

Elle a les yeux vert émeraude tirant sur le vert fluo à la lumière. Elle se maquille que peu : eye-liner et crayon noir pour les yeux et rouge à lèvres rouge ou violet, c’est tout.

Elle inspire le doute et la domination par sa seule apparence.




Histoire :
Un bébé Renard, non Renarde !!


Alexy (Alexy V, devrais-je préciser) devait être le premier bébé de la dixième génération de la famille Bryan. La famille Bryan n’était composée que d’individus masculins, les nouveaux nés étaient exclusivement le fruit de gay-mix. Alexy avait été planifiée un peu plus de 3 années avant sa naissance. Il ne fut pas aisé pour les deux pères (Henry et Clark) d’enfin réussir à attendre un enfant. Quand la période de gestation commença, son arrière-grand-père (Alexy IV, grand-père d’Henry) fut si content qu’il fit promettre aux deux pères de donner à leur enfant son nom. Des complications obligèrent la mise à bas prématurément. Toute la famille était réunie pour faire connaissance avec le futur homme qui reprendrait les rênes de la famille. Cependant, les parents ne laissèrent personne voir le bébé.

Alors les paris commencèrent (anglais oblige, les paris sont un des plus grands passe-temps des Bryan) certains clamaient que l’enfant était entre la vie et la mort ; d’autres affirmaient que ses parents ne sachant pas que chaque bébé était laid, cachaient le leur de peur de leur jugement. Ils eurent ainsi encore beaucoup d’idées farfelues imaginées. Quand les nouveaux parents décidèrent enfin de présenter leur descendance, ils n’appelèrent que leurs pères respectifs, ainsi qu'Alexy qui se glissa parmi eux. Le choc fut le même pour les cinq, le fils tant attendu était une petite fille ! Une petite crevette aux yeux déjà perçants et au sourire ravageur, mais les grands-pères jetèrent des insultes à leurs fils. Il ne s’agissait que d’incapables, ils auraient mieux fait de ne donner aucun enfant plutôt qu’une fille.

Les exclamations furent telles que cela ameuta le reste de la famille, qui découvrirent à leur tour, l'outrage. Le père d'Henry, Toby envoya à Clark qu’il avait était l’erreur de la famille et qu'ils n'auraient pas du accepter sa mise en couple avec Henry. Il ajouta qu’un dominé ne pouvait donner naissance à un vrai mâle. Ils faillirent tous se faire la peau, avant qu'Alexy n'intervienne. Il fit s’écarter les nouveaux grands-parents et demanda à Clark, qui avait la petite dans les bras, de le laisser la prendre. Une fois la petite dans les bras, il dit alors « Bonjour petite Alexy. Je suis ton arrière-grand-père tant que je serais là, tu auras tout mon soutien, ta vie ne sera pas toujours très facile, mais sache que tu pourras marcher la tête haute parmi nous. »


Ce gamin ne sera jamais un Bryan…

Alexy IV mourrut deux ans après la naissance de la petite. La famille se déchira alors en deux clans : Ceux qui acceptaient Alexy, qui étaient pour la plupart, de la famille de Clark et donc qui n'apportaient donc pas un si grand intérêt à avoir une famille purement composée d'hommes et les autres qui vouaient un mépris incommensurable à celle qui venait dénaturer leur famille à la lignée si pure. Elle ne fut tolérée sous le toit des Bryan que si elle était élevée de manière à devenir un homme une fois adulte.

Ses pères l’élevèrent donc comme telle. Si bien qu’à 5 ans, on n’aurait pas pu faire la différence avec un autre petit garçon de son âge. Elle avait les mêmes expressions que les mâles de sa famille, les mêmes habitudes. On pressentait même l’aspect très dominant d'Henry dans son comportement. Mais au cours d’un dîner familial durant lequel toute la famille Bryan était conviée. La jeune Alexy, ingénue qu’elle était, eut l’audace de demander à Henry de lui faire porter une robe. Il ne pouvait rien lui refuser, alors. Et pensant que l’animosité qui avait ébranlé la famille à sa naissance s’était calmé, il accepta.

Mais quand la petite se rendit là où eu lieu la réception, les foudres s’abattirent sur elle. On ordonna à Henry et Clark ainsi qu'à Alexy de partir et de ne plus jamais revenir. La peur fit ressortir à la petite ses oreilles et sa queue. Ce qui donna une idée à Charles, l'un des pères de Clark qui ne voulait ni perdre son fils, ni sa petite fille qu’il avait appris à apprécier au fil des années. Cet homme savait que le seul moyen de garder son fils à ses côtés était qu’Alexy apprenne à vivre normalement au milieu de cette famille qui ne l’acceptait pas, pour lui, l’aura animale à apprendre à gérer en parallèle était bien trop compliquée pour la petite. Il proposa que la renarde d’Alexy soit scellée jusqu’à temps qu’elle soit adulte.

Mais la proposition de Charles ne convenait pas à Toby qui haïssait au plus haut point son beau-fils et sa petite fille. Pour dissuader de sceller la petite et qu’il se retrouve enfin débarrassé des deux fardeaux de la famille, il demanda à ce qu'Alexy soit scellée jusqu’à qu’elle devienne l’homme qu’elle devait être, sans quoi « elle ne mérite ni d’être de la famille ni d’être supérieur au singe » . Il était certain que Henry et Clark refuseraient car ils étaient trop attachés à la nature de leur fille. La sceller l’exclurait aussi de la famille (même si d’après l’accord, elle continuerait à participer aux fêtes et autres) car sans sa nature animale, elle aurait encore moins sa place parmi eux.

Henry et Clark scellèrent malgré tout leur fille. Selon eux, être élevée par deux pères était déjà assez difficile pour une petite et avec une vie plus « normale », Alexy pourrait compter sur le soutien de la famille Bryan (on ne sait ce de quoi l’avenir est fait. Ils pensaient que s’ils leur arrivaient malheur, il lui resterait un toit sur la tête et des gens sur qui compter), au moins jusqu’à devenir autonome et pouvoir subvenir à ses besoins. Donc contraints et forcés, ils scellèrent leur fille « jusqu’à ce qu’elle prenne conscience de ce qu’elle voulait être ».


Un vrai homme, celle-là.

Ses pères s’éloignèrent d’une grande partie de la famille pour laisser le droit à leur fille de devenir ce qu’elle voulait, Alexy grandit donc normalement. Elle ne supportait plus tout ce que touchait à la féminité. Elle avait beau avoir oublié sa nature de renarde, elle n’avait pas oublié que son rejet était dû à sa féminité. Elle avait donc pris l’initiative de devenir un véritable garçon. Elle s’investissait vraiment à comprendre les gens donc elle lisait tout ce qu’elle trouvait sur ce qui touchait à la psychologie. Fille et garçon n’étaient jamais distingués. Elle apprit donc à comprendre les sentiments et comportements de quelqu’un sans distinction de genre.

Elle avait 16 ans quand lors, d’une balade en forêt, elle rencontra Sully, un loup, mais ça elle l’ignorait. Ils devinrent amis et plus elle passait du temps avec lui et plus elle sentait que quelque chose clochait. Elle se sentait femme, mais en plus de ça elle sentait que quelque chose voulait sortir d’elle. Elle s’essaya donc à tous les moyens artistiques pour pouvoir exprimer ce qu’elle avait au fond d’elle. Seule des œuvres autour de l’amour en sont sortis. Un jour Sully voulu lui montrer sa passion. Il l’emmena dans un sous-sol où se trouvait déjà une bonne quarantaine d’homme tous en rond autour de combattants. Sully joua des coudes pour qu’ils soient placés au plus proche de ceux qui se battaient. Les combats s’enchaînaient et elle se sentait de moins en moins à sa place. Il vint le tour de se battre pour un maigrichon et une montagne de muscle. Elle se blottit contre Sully. À ce moment précis, elle le détestait tant de l’avoir emmené dans un endroit pareil, même si elle aimait qu’il puisse la réconforter par son seul contact. Le petit maigre se fit envoyer à terre plusieurs fois en même temps que des traînées de sang. Le grand costaud le regarda avec mépris et lui lança qu’il n’était qu’une « femmelette » et que sa place n’était pas au milieu de tant de « vrais mâles ». Alexy sentit quelque chose se serrer en elle et une autre se libérer. Le grand s’élança sur le petit. Elle réussit en un mouvement à faire un croche-patte et la montagne tomba bruyamment. Alexy avait compris au fond d’elle, qu’elle était la femme qui allait devenir l’homme de la famille Bryan et non pas l’homme-femme qu’on voulait qu’elle soit. C'est alors qu'elle avait donc trouvé ce qu’elle voulait être. Elle vit alors toute les auras animales qui étaient autour d’elle. L’homme se releva et se mit face à elle, elle le fixait droit dans les yeux. Elle avait beau être un poids plume, elle n’avait pas l’intention de se laisser faire par ce reptile moyen. Une atmosphère de défi violent avait envahi l’espace. C’est alors que Sully entra en action et déploya son aura de loup. Elle en fut paralysée, elle ne comprenait pas grand-chose à ce qui lui arrivait. Elle ne sentait plus ses jambes à cause du mélange de la peur et des effets de l’adrénaline qu’elle avait. Ses jambes ne la soutenant plus, au point qu'elle tomba. Sully la prit dans ses bras et partit avec elle. Elle trouvait déjà Sully attirant, mais à cet instant précis dans ses bras, il aurait pu faire ce qu’il voulait d’elle, elle qui était si vulnérable. C'est a ce moment qu'elle tomba amoureuse de lui.


Une catastrophique histoire d’amour pour trouver le sens de sa vie


Sully voulut se faire pardonner pour ce qu’il avait fait risquer à Alexy, alors il lui promit une protection éternelle. Il la ramena chez elle et lui donna son premier baiser. II était si inattendu et surprenant qu'Alexy perdit l’usage de ses jambes, mais aussi le contrôle de son aura. Quand Henry et Clark virent leur fille rentrer queue et oreilles sorties (elle avait attendu près de 2 heures devant chez elle pour ne pas y rentrer sous forme animale), ils furent des plus heureux. Ils ne lui demandèrent pas d’explication sur le descellement et commencèrent à lui réapprendre à se contrôler.

Elle mit presque un an et demi pour être presque comme un Thérianthrope des plus normal. Il avait été simple pour elle de garder le contrôle sur ses émotions (merci les recherches de psycho !!) et par la même occasion, son aura. Elle ne se retrouvait avec des oreilles dressées sur la tête qu’en présence de Sully ou dans un moment de colère. Ces sentiments pour Sully ne faisaient que se développer. Plus elle l’aimait, plus elle se sentait capable de tout, elle apprit à lire en chacun comme des livres ouverts. On ne pouvait lui mentir ou lui cacher quelque chose, elle le découvrirait. Le seul en qui elle ne semblait pas pouvoir lire était Sully.

Un soir alors qu’elle allait le rejoindre après ses cours, elle trouva une lettre de sa part lui étant destinée. Elle ne disait que : « Adieu, je t’aime trop pour pouvoir rester avec toi. Sully ». Cette note lui brisa le cœur. Il avait promis de la protéger mais il l’avait détruite. Elle réussit à s'en remettre grâce à l'étude de la psychologie qui lui a permis de comprendre comment elle avait pu ressentir cela.


D’élève à professeur


Elle commença sa formation à l’université du Kent au Sud-est de l’Angleterre, en analyse appliqué du comportement. Elle s’avéra douée (être passionnée aide à s’investir). Elle développa une compréhension critique des grands principes qu’on lui enseigna. Elle se rendit compte que le semblant de compréhension qu’elle avait des gens n’était qu’une analyse de façade. Elle apprit donc à tout remettre en question. Son établissement obligeait leurs élèves à faire des recherches en parallèle de leurs cours, pour permettre l’apprentissage de méthodes d’observation et d’analyse. Elle mena donc des recherches sur les comportements animaux. Le lien entre le comportement animal et humain, lui permit de pressentir les grandes règles de la psychologie thérianthropique.

À la fin de ces deux années, elle voulut continuer dans le domaine de la psychologie. Elle intégra alors l’université de Bolton au Nord de l’Angleterre pour obtenir un MRes en Psychologie (équivalent d'un master français). Elle suivit durant les trois ans des cours sur six grands thèmes :

Concepts and Principles of Research Design (concepts et principes de conception de la recherche);
Qualitative Inquiry (enquête qualitative);
Quantitative Inquiry 1 – Analysing Multivariate Relationships (Enquête quantitative 1 - Analyse des relations multivariées) ;
Quantitative Inquiry 2 – Advanced Experimental and Non-experimental Techniques (Enquête quantitative 2 - expérimentale avancée et Techniques non-expérimentales);
Psychoanalytic Approaches to Psychotherapy (approches psychanalytiques à la psychothérapie);
Computing & Cyberpsychology (informatique & cyberpsychologie);

Ces cours favoris dans lesquels elle se débrouillait le mieux étaient ceux sur les relations et ceux sur la psychanalyse.

Son professeur d’analyse des relations était lui aussi Thérianthrope. Voyant ses capacités, il lui enseigna tout ce qu’il savait (connaissances Thérianthropes, mais pas que) et quand il eut fini de la former, il la poussa à adopter les rangs des professeurs de l’Académie. Il y était demandé pour y enseigner, mais il était tellement passionné par la psychologie des race-mêlées/singes qu'il ne voulait pas quitter l’établissement dans lequel il se trouvait. Elle accepta la proposition alors qu’elle n'y avait jamais mis les pieds (Clark avait voulu l’y inscrire, mais elle ne voulait pas quitter le monde dans lequel elle avait vécu jusque-là). Elle prit son poste a 25 ans et depuis elle ne fut jamais si épanouie.

Elle ne voyait sa famille (autre que ces pères) uniquement durant les repas de famille. Elle avait pour règle de s’y rendre la plus féminine possible même si le style masculin ou androgyne ne la dérange pas, il ne s’agissait que d’une question de principe. Il y avait toujours autant de dégoût envers elle, mais elle était devenue si dominante dans ses relations sociales que les critiques ne remontaient jamais jusqu’à elle.

Autre :

La description, précédemment faite, est celle d’Alexy, son comportement ou même ces goûts peuvent changer en fonction des gens avec qui elle se trouve. À vous de choisir si vous la côtoyiez. Je vais finir avec une phrase que l’on a déjà dite à son sujet : « Alexy est comme un hérisson si on s’approche de trop près, on se pique. Sauf qu’avec elle, se piquer peut devenir une drogue. »




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Ton pseudo : Pan
Ton âge : 17 ans
Notre découverte : Une amie m’a priée corps et âme pour que je vous rejoigne …
Ta présence : ça dépend, je ne peux prévoir à l’avance
Ton avatar : Suzuka, de … Suzuka
Tes références : J’ai vu les OAVs et je pense débuter la lecture du manga d’ici peu
Un rajout : J’en sais rien à vrai dire…