Nom : Kinley
Prénom : Lucian
Âge : 19 ans né le 31 Juillet
Origines : Américain du côté maternel et inconnu du côté paternel
Orientation sexuelle : Homosexuel
Groupe : Junior
Emploi : Dernière année de lycée (changement de cursus), membre du club d'Athlétisme
Dominance : Ambi'
Famille de race mêlée : Ours
Animal de race mêlée : Furet noir
Appellation scientifique : Mustela putorius furo "true black"
Quelle catégorie de poids : Léger
Identité
Goûts : Ce qu’il aime et ce qu’il n’aime pas… Luce est un gars relativement primaire, il ne lui faut pas grand-chose pour être content comme il ne faut pas grand-chose pour l’énerver.
Pour ce qu’il aime, il pourrait citer les trois grands B (Boire, Bouffer, Baiser) mais il a tout de même plus de choses que ces trois essentiels-là. Contrairement à ce qu’on pourrait croire en se fiant à sa tronche, Lucian aime lire, vraiment. C’est d’ailleurs quand il lit, l’un des rares moments où il est totalement calme et détendu (n’allons pas jusqu’à souriant non plus).
On peut aussi rajouter d’autre basiques du genre : Fumer, Dormir, Plaisanter et tout un tas d’autres machins du genre, c’est qu’il n’est
vraiment pas difficile.
Pour ce qu’il n’aime pas -voire même qu’il déteste, en première position se trouverait : Lui prendre la tête. Et le pire, c’est quand c’est pour des détails insignifiants. Il n’aime pas les gros gabarits qui se sentent supérieurs aux autres, qu’on le prenne pour un crétin et selon ses dires « J’suis p’t’être con, mais pas stupide » (ne cherchez pas, chez lui cette phrase a beaucoup de sens), qu’on le réveille brutalement ça a tendance à le mettre de mauvaise humeur pour le reste de la journée et là, il a vraiment une tête à faire peur. Il est également hautement décommandé de lui voler une clope ou de lui vider son verre.
Après s’il fallait vraiment lister de A à Z toutes ses préférences, il faudrait plus d’une vie pour y arriver.
Caractère : Le moins qu'on puisse dire sur ce grand dadais, c'est qu'il a un foutu caractère. On aurait pu croire qu'avec sa famille de "rêve" il aurait fini renfermé, déprimé... mais en fait non, il s'en fout complètement. Son passé est loin derrière lui et il a choisi de tracer sa vie comme bon lui semble, n'ayant finalement pas de compte à rendre.
Que ce soit physiquement ou verbalement, il ne supporte pas de se faire marcher sur les pieds ou même de s’aplatir, ce qui peut parfois le mener à des situations autant comiques que compliquées (avez-vous déjà vu une crevette défier une baleine ? Je vous laisse imaginer le résultat).
Quand on ne connaît pas encore la bête, Lucian semble être un condensé de défauts. Il est je m'en foutiste, grande gueule, bordélique, ce qui finit par terre peut y rester jusqu'à ce que ça finisse par le déranger ou jusqu'à ce qu'il mette simplement le pied dessus. Il a un sens de l'humour qu'il semble le seul à comprendre, n'ayant clairement aucune limite dans ses paroles et parle la plupart du temps sans filtre, ce qui doit sortir sortira, peu importe les mots. Certains diraient qu'il manque cruellement d'éducation et au final, ils ne sont pas si loin du compte.
Par contre quand on le connaît un peu mieux, et ce malgré une façon désastreuse de mâcher ses mots lorsqu'il parle, on peut se rendre compte que ce grand couillon a tout de même quelques qualités (même si elles sont très bien cachées). Luce est quelqu'un de très franc (un peu trop même) sur qui on peut toujours compter lorsque l'on fait partie de son cercle d'amis. Il n'est certes pas très doué pour rassurer ou consoler, mais il sera toujours une oreille attentive en cas de besoin.
Il aime dire de lui-même qu'il est "con comme une table".
Physique : « Oooh ils sont beaux tes yeux, ce sont des lentilles ? »
Hé bien non, cette couleur si attirante est tout autant naturelle qu'agaçante. Oh oui ce grand couillon d'un mètre quatre-vingt-huit à la peau légèrement bronzée naturellement, aime ses yeux (comme tout le reste chez lui d'ailleurs, mais passons). Ce qu'il leur reproche en revanche, c'est la mauvaise vue qui va avec ainsi que d'autres petits inconvénients. Lucian est venu au monde en "souffrant" d'albinisme oculaire lié à l'X, un charmant gène supplémentaire qui lui viendrait du côté paternel inconnu. Il switch donc entre lunettes de vue pour y voir plus clair et lunettes de soleil pour se protéger des trop fortes luminosités.
Bien que ses yeux soient un sujet fascinant, il ne faut tout de même pas oublier de décrire le reste du physique qui, au final, est relativement banal et passe-partout.
Ses cheveux sont naturellement aussi noirs que le charbon et il se débrouille seul pour les couper (c’est qu’il a appris à faire beaucoup de choses seul ce grand nigaud).
Niveau carrure, Luce est musclé mais alors juste assez pour laisser voir des muscles joliment dessinés sans se retrouver dans les extrêmes du tas de muscles tellement gonflé qu’il ne serait plus capable de se gratter le dos. Loin d’être narcissique, il prend relativement bien soin de lui tant dans les soins qu’il lui apporte que dans le sport qu’il pratique pour se garder en forme (l’essentiel à ses yeux est de garder son corps le plus agile possible et surtout de ne pas prendre de gras, il pèse actuellement 75Kg et essaie de ne pas passer à 80) et n’étant ni pudique ni gêné, ça ne le dérangera absolument pas de se balader avec peu de tissu sur le corps.
Histoire
Histoire : « Cette chose n'est pas mon fils ! »
Voici les premiers mots qui accompagnèrent sa naissance en cette chaude journée d'été dans l'état de Virginie, quoi de mieux pour bien commencer dans la vie ? Il n'avait pas la bonne couleur, pas les bons yeux, sa mère avait forcément fauté n'est-ce pas ? Et c'était effectivement le cas, on l'avait faite mariée pour cacher cette grossesse dont personne ne voulait à part elle, pour donner un nom à cet enfant bâtard. Mais la génétique fut plus forte que des générations et des générations de gênes et au lieu de naître zibeline comme sa mère et son mari, il était né noir comme son réel géniteur. Pour ces familles pour lesquelles le sang et la race étaient primordiaux, ce fut le choc, la honte, le déshonneur même. Chez eux, Il n'était pas question de partenaires multiples (et ne parlons même pas de partenaires du même sexe) alors imaginez l'arrivée de cet enfant... Le mariage fut rompu, les accords entre les deux familles également et il restait cet enfant dont seule la mère désirait la garde. Il fut décidé que l'enfant et sa mère resteraient sur le domaine familial jusqu'à ce qu'il soit en âge de se débrouiller seul, mais jusque-là, il devrait rester caché aux yeux du reste du monde, hors de question que ce bâtard ne salisse le nom et la réputation de la famille.
Peut-on rêver mieux qu'un petit pavillon perdu au fond du jardin pour y vivre avec sa mère pour seule compagnie ? Clairement, oui. Il aurait pu aller à l'école, il aurait pu se faire des amis aussi, mais ça reviendrait à afficher cette erreur aux yeux du reste de monde, vous n'y pensez pas ? De plus le pauvre gamin n'a même pas de nom de famille, un prénom c'était largement suffisant pour l'appeler, pas besoin d'un nom pour l'apparenter.
Il reste seul dans ce qui lui sert de maison et sa mère se charge seule de son éducation, elle lui enseigne ce qu'elle sait, ce qu'elle a dû apprendre mais ce n'est pas facile tous les jours, il s'ennuie plus qu'autre chose et regarde par la fenêtre en rêvant d'aller jouer dehors dans l'herbe fraîche. Au lieu de ça, il est coincé à l’intérieur, roulé en boule sur un coussin en observant d’un œil sa mère, l’écoutant à moitié. Son apprentissage fut long, plus long que prévu. A six ans, ses oreilles pointaient le bout de leur nez à n’importe quelle émotion un peu trop forte et il avait beau y mettre toute la volonté du monde, il n’arrivait pas à faire mieux. S’il avait eu un meilleur enseignement, peut-être que ça se serait passé différemment.
Pourtant vint un moment où il n'est plus possible de le garder à la « maison ». Il faut qu'il aille à l'école et ce, même si personne ne doit connaître son identité. Malheureusement on ne peut pas envoyer un gamin sans nom à l'école, ça serait plus que suspect et surtout, on finirait par se poser des questions, par fouiller dans ses origines de naissance... Non vraiment, il faut trouver un nom à cette chose, un nom n'ayant aucun lien avec le leur. C'est à grands coups de magouilles et de pot-de-vin qu’ils parvinrent à officialiser l'existence de l'indésirable, en tant que "Kinley" un nom suffisamment loin de "Collins" à leur gout. Une fois ce détail résolu, il est alors question de l'envoyer à l'école, loin, une école avec le plus de singes possibles pour que personne d'autre ne fasse attention à lui, pour qu'il se fonde dans la masses et étonnamment, tout se passe bien, sans aucune difficulté et ce jusqu'à la fin du collège. Seulement ce n'était que le début, il lui faut de meilleures études pour finalement s'en débarrasser et concrètement, lui aussi commence à avoir envie d'aller vivre ailleurs. Il l'aime sa mère, c'est son point de repère, la première et seule personne à l'aimer, l'encourager, le soutenir... Mais l'ambiance est lourde, l’atmosphère en devient irrespirable et il veut quitter tout ça. Si on ne veut pas de lui ici, c'est pas grave il ira ailleurs.
Certain de sa décision, il commence à faire des recherches mais ça ne donne rien -c'est qu'il est pas doué pour chercher seul non plus. En dernier recours, il finit par faire part à sa mère de son projet et malgré sa tristesse, cette dernière met tout en œuvre pour lui trouver des renseignements susceptibles de l'aider. Au bout de quelques temps de recherche, il finit par faire la découverte d'une île dont il n'avait encore jamais entendu parlé jusque-là. L'île en elle-même l’indifférait complètement, mais l'académie qu'il y trouva beaucoup moins, elle semblait être ce qu'il avait toujours recherché et il ne lui fallut pas longtemps pour se décider, c'est là qu'il irait point. Le plus long ne fut pas de préparer ses affaires pour ce voyage -c'est qu'il avait pas grand-chose à emporter-, ce fut surtout toute la partie financière et administrative.
Une fois tout prêt, il ne se fit pas prier une seule seconde pour foutre le camp de ce pavillon qui lui avait servi de maison. Le voyage jusqu'en Grande-Bretagne fut relativement long, mais pour la première fois il se sentait libre, serein. Arrivé sur l'île, c'est à contre cœur qu'il sauté la partie « tourisme » pour aller régler les derniers papiers d'admissions, il aurait tout le temps plus tard pour partir en exploration.
*****
Aujourd'hui, il est dans sa dernière année Junior en économiques et sociales. S'il ne s'était pas planté de cursus, certain qu'il serait déjà Senior... Mais il avait beau aimer lire, suivre la voie littéraire lui avait pris la tête et avant d'en être totalement dégoûté, il avait tout arrêté en choisissant de garder sa passion pour les livres en tant que passe-temps. Oh il aurait pu prendre une matière qui lui aurait ouvert de grandes portes, mais elle était loin l'époque où il acceptait de faire des choses qui l'emmerdaient et au pire, il recommençait quelques années de plus ou même directement une formation s'il n'arrivait pas bien loin dans la vie, ça ne l'inquiétait pas plus que ça.
Autre : Il ne connait rien de son géniteur et ne cherche pas à en savoir plus, ce n'est qu'une vague interrogation de plus dans sa vie.
Suppléments
Le code : Validé.Ton pseudo : Shiya
Ton âge : 27 ans et presque toutes mes dents !
Notre découverte : On est venu poser un partenariat sur mon forum et j'ai fini par cédè à la tentation
Ta présence : Je peux passer tous les jours
Ton avatar : Shiki de Togainu no Chi
Tes références : J'ai vu les OAV et lu tous les tomes parus en France (sauf le dernier que je viens de commander)
Un rajout : Nope